Et si c’était +4…

Un réchauffement climatique de +4 degrés Celsius entraînerait des impacts profonds et irréversibles sur la planète, dont la plupart seraient négatifs pour les entreprises. Les températures plus élevées, les événements météorologiques extrêmes plus fréquents et plus intenses, la montée du niveau de la mer et l’acidification des océans auraient un impact significatif sur les activités des entreprises, leurs chaînes d’approvisionnement, leurs employés et leurs clients.

Pour se préparer à ce scénario, les entreprises doivent adopter une approche proactive et intégrée de la gestion des risques climatiques. Cette approche doit comprendre les éléments suivants :

  • Une évaluation des risques climatiques : Les entreprises doivent identifier les risques climatiques auxquels elles sont exposées, en tenant compte de leur secteur d’activité, de leur localisation géographique et de leurs activités.
  • La mise en place de mesures de mitigation : Les entreprises doivent prendre des mesures pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et leurs impacts sur le climat. Ces mesures peuvent inclure des investissements dans les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, la réduction des déchets et la protection de la biodiversité.
  • La mise en place de mesures d’adaptation : Les entreprises doivent se préparer aux impacts du changement climatique qui ne peuvent être évités. Ces mesures peuvent inclure la résilience des actifs, la diversification des chaînes d’approvisionnement et la gestion des risques financiers.

Voici quelques exemples spécifiques de mesures que les entreprises peuvent prendre pour se préparer au réchauffement climatique à +4 degrés :

  • Réduire leur consommation d’énergie : Les entreprises peuvent investir dans des technologies d’efficacité énergétique, telles que les LED, les systèmes de gestion des bâtiments intelligents et les véhicules électriques.
  • Passer aux énergies renouvelables : Les entreprises peuvent installer des panneaux solaires ou éoliens sur leurs sites ou acheter de l’énergie renouvelable auprès d’un fournisseur.
  • Diversifier leurs chaînes d’approvisionnement : Les entreprises peuvent s’approvisionner auprès de fournisseurs situés dans des zones moins exposées aux risques climatiques.
  • Assurer la résilience de leurs actifs : Les entreprises peuvent investir dans des mesures de protection contre les inondations, les incendies et autres événements climatiques extrêmes.

La préparation au réchauffement climatique est un enjeu important pour les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activité. En adoptant une approche proactive, les entreprises peuvent réduire les risques et les coûts associés au changement climatique, et améliorer leur résilience et leur compétitivité.

Voici quelques exemples d’entreprises qui se sont engagées à réduire leur impact sur le climat :

  • L’entreprise de vêtements Patagonia s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2025.
  • L’entreprise de cosmétiques Lush s’est engagée à utiliser 100 % d’énergie renouvelable d’ici 2025.
  • L’entreprise de technologie Apple s’est engagée à réduire de 75 % ses émissions de carbone d’ici 2030.

Ces entreprises montrent que la transition vers une économie plus durable est possible et rentable.

Plan d’action pour réduire la consommation d’énergie des entreprises

Étape 1 : Évaluation des risques

La première étape consiste à identifier les risques climatiques auxquels l’entreprise est exposée. Ces risques peuvent inclure :

  • Une augmentation des coûts énergétiques
  • Des interruptions de l’approvisionnement en énergie
  • Des dommages aux actifs physiques
  • Une perturbation des activités commerciales

L’entreprise peut utiliser une variété d’outils et de techniques pour évaluer ses risques climatiques, notamment :

  • Des analyses de scénarios
  • Des enquêtes auprès des employés
  • Des audits énergétiques

Étape 2 : Mise en œuvre de mesures de mitigation

Une fois que les risques climatiques ont été identifiés, l’entreprise peut mettre en œuvre des mesures pour les atténuer. Ces mesures peuvent inclure :

  • Réduction de la consommation d’énergie
  • Passage aux énergies renouvelables
  • Diversification des chaînes d’approvisionnement
  • Assurance de la résilience des actifs

Réduction de la consommation d’énergie

La réduction de la consommation d’énergie est l’une des mesures les plus efficaces pour atténuer les risques climatiques. Les entreprises peuvent réduire leur consommation d’énergie en prenant les mesures suivantes :

  • Investir dans des technologies d’efficacité énergétique, telles que les LED, les systèmes de gestion des bâtiments intelligents et les véhicules électriques.
  • Mettre en place des politiques et des procédures pour optimiser l’utilisation de l’énergie, telles que l’extinction des lumières et des équipements lorsqu’ils ne sont pas utilisés.
  • Sensibiliser les employés aux enjeux de l’efficacité énergétique.

Passage aux énergies renouvelables

Le passage aux énergies renouvelables est une autre mesure efficace pour atténuer les risques climatiques. Les énergies renouvelables, telles que l’énergie solaire et l’énergie éolienne, ne produisent pas d’émissions de gaz à effet de serre.

Les entreprises peuvent passer aux énergies renouvelables en installant des panneaux solaires ou éoliens sur leurs sites ou en achetant de l’énergie renouvelable auprès d’un fournisseur.

Diversification des chaînes d’approvisionnement

La diversification des chaînes d’approvisionnement peut aider les entreprises à réduire leur exposition aux risques climatiques. Les entreprises peuvent diversifier leurs chaînes d’approvisionnement en s’approvisionnant auprès de fournisseurs situés dans des zones moins exposées aux risques climatiques.

Assurance de la résilience des actifs

Les entreprises peuvent investir dans des mesures de protection contre les inondations, les incendies et autres événements climatiques extrêmes pour assurer la résilience de leurs actifs. Ces mesures peuvent inclure :

  • L’installation de systèmes d’alerte précoce
  • L’aménagement de zones tampons
  • L’utilisation de matériaux résistants aux intempéries

Exemples de mesures concrètes

Voici quelques exemples de mesures concrètes que les entreprises peuvent prendre pour réduire leur consommation d’énergie :

  • Remplacer les ampoules incandescentes par des ampoules LED
  • Réduire la température de chauffage et de climatisation
  • Éteindre les lumières et les équipements lorsqu’ils ne sont pas utilisés
  • Optimiser les réglages des systèmes de ventilation et de climatisation
  • Réduire la consommation d’eau chaude

Ces mesures peuvent être mises en œuvre à court terme et à long terme, et elles peuvent apporter des économies importantes.

Que faire pour les employés ?

Un réchauffement climatique de +4 degrés Celsius entraînerait des impacts profonds et irréversibles sur la planète, dont certains seraient négatifs pour les employés. Les températures plus élevées, les événements météorologiques extrêmes plus fréquents et plus intenses, la montée du niveau de la mer et l’acidification des océans auraient un impact significatif sur la santé, la sécurité et le bien-être des employés.

Pour protéger les employés dans un scénario à +4 degrés, les entreprises doivent adopter une approche proactive et intégrée de la gestion des risques climatiques. Cette approche doit comprendre les éléments suivants :

  • Une évaluation des risques climatiques : Les entreprises doivent identifier les risques climatiques auxquels leurs employés sont exposés, en tenant compte de leur secteur d’activité, de leur localisation géographique et des activités de leurs employés.
  • La mise en place de mesures de mitigation : Les entreprises doivent prendre des mesures pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et leurs impacts sur le climat. Ces mesures peuvent inclure des investissements dans les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, la réduction des déchets et la protection de la biodiversité.
  • La mise en place de mesures d’adaptation : Les entreprises doivent se préparer aux impacts du changement climatique qui ne peuvent être évités. Ces mesures peuvent inclure la résilience des actifs, la diversification des chaînes d’approvisionnement et la gestion des risques financiers.

Voici quelques exemples spécifiques de mesures que les entreprises peuvent prendre pour protéger leurs employés dans un scénario à +4 degrés :

  • Évaluer les risques pour la santé et la sécurité des employés : Les entreprises doivent identifier les risques pour la santé et la sécurité des employés liés au changement climatique, tels que les risques d’exposition à la chaleur, aux polluants atmosphériques et aux maladies infectieuses.
  • Mettre en place des mesures de prévention : Les entreprises doivent mettre en place des mesures de prévention pour réduire les risques pour la santé et la sécurité des employés, telles que des programmes de formation sur la santé et la sécurité, des politiques de contrôle de l’exposition à la chaleur et des plans d’urgence en cas d’événements météorologiques extrêmes.
  • Procéder à des ajustements des conditions de travail : Les entreprises peuvent devoir procéder à des ajustements des conditions de travail pour protéger les employés des effets du changement climatique, tels que l’installation de climatisation dans les bureaux ou la mise en place de pauses plus fréquentes pour les travailleurs manuels.
  • Aider les employés à s’adapter : Les entreprises peuvent aider les employés à s’adapter aux effets du changement climatique, tels que les changements de conditions météorologiques ou les déplacements dus à la montée du niveau de la mer.

Voici quelques exemples concrets de mesures que les entreprises peuvent prendre pour protéger leurs employés dans un scénario à +4 degrés :

  • Les entreprises de construction peuvent mettre en place des mesures pour protéger les travailleurs des fortes chaleurs et de la déshydratation, telles que la mise à disposition d’eau fraîche et d’abris ombragés.
  • Les entreprises de fabrication peuvent mettre en place des mesures pour protéger les travailleurs des polluants atmosphériques, tels que l’installation de filtres à air et la mise en place de programmes de surveillance de la santé.
  • Les entreprises agricoles peuvent mettre en place des mesures pour protéger les travailleurs des maladies infectieuses, telles que la mise en place de programmes de vaccination et la mise à disposition de douches et de vestiaires.

Ces mesures peuvent être mises en œuvre à court terme et à long terme, et elles peuvent contribuer à améliorer la santé, la sécurité et le bien-être des employés.

Envie d’en discuter ? N’hésitez pas à me contacter !

Mon offre « vendredi vert »

Pour dénoncer les effets néfastes sur l’environnement occasionnés par le Black Friday (symbole de surconsommation s’il en est) et pour proposer des alternatives francophones et conscientes, je me suis posé la question :

  • Comment agir ?
  • Comment faire plus pour l’environnement ?
  • Que puis-je proposer de pertinent pour être à la hauteur des enjeux climatiques, à mon humble niveau ?
  • Pré-diagnostic
  • Diagnostic
  • Plan d’actions prioritaires

C’est le fameux trio magique des missions d’accompagnement !

Pour faire simple, je vous propose donc un package de 3 heures d’accompagnement par visio conférence (1 heure de pré-diagnostic pour déterminer ce qui est le plus pertinent pour vous, 1 heure de diagnostic pour voir où vous en êtes sur les sujets prioritaires pour votre organisation, et 1 heure pour vous aider à mettre en place votre plan d’action) pour 750 francs suisses.

L’accompagnement pour sur un des six sujets liés à la responsabilité sociétale, i.e.

  • Direction
  • Société
  • Processus internes
  • Environnement
  • Santé, sécurité
  • Economie

Pour profiter de l’offre, et planifier vos séances, je vous invite à prendre rendez-vous avant vendredi 24 novembre 2023 minuit.

https://meetings.hubspot.com/yves-zieba/15-min ou à m’écrire par mail yveszieba@ik.me, en mentionnant comme titre « vendredi vert ».

38% de la population affectés par des maladies psychiques, sommes-nous tou.te.s en train de devenir folles et fous ?

Même dans les pays financièrement très bien dotés, la portion de la population qui souffre de troubles ou de maladies psychiques est en croissance. On ne voit sans doute pas encore les effets des guerres Russie-Ukraine ou du Proche Orient.

Ce chiffre de 38%, est donc très vraisemblablement sous estimé.

Sommes-nous en train de devenus fous ?

Sommes-nous déjà toutes et tous concernés par ces maladies psychiques ?

Comment se préparer à la croissance (qui semble inévitable) de ces troubles pour nous et pour les autres ?

Les neurosciences peuvent elles nous sauver ?

On peut se poser la question et commencer à chercher des réponses et des parades pour prévenir ces maladies et ces troubles.

Photo de Bahram Yaghooti sur Pexels.com

La prévention des maladies psychiques implique une approche holistique qui prend en compte le bien-être mental, émotionnel et social.

Voici quelques conseils généraux que je partage avec vous pour nous aider à prévenir les problèmes de santé mentale :

1. Maintenir un équilibre de vie :

  • Équilibrez travail et vie personnelle en établissant des limites claires.
  • Accordez une importance particulière au sommeil. Un bon sommeil contribue au bien-être mental.

2. Gérer le stress :

  • Apprenez des techniques de gestion du stress, comme la méditation, la respiration profonde et le yoga.
  • Identifiez les sources de stress et essayez de les gérer de manière proactive.

3. Maintenir une vie sociale active :

  • Cultivez des relations sociales solides. Le soutien social est essentiel pour la santé mentale.
  • Participez à des activités sociales et engagez-vous avec la communauté.

4. Adopter un mode de vie sain :

  • Faites de l’exercice régulièrement. L’activité physique est liée à une amélioration de l’humeur et à la réduction du stress.
  • Adoptez une alimentation équilibrée. Certains nutriments peuvent avoir un impact sur la santé mentale.

5. Éviter les substances nocives :

  • Limitez la consommation d’alcool et évitez les drogues illicites. Ces substances peuvent aggraver les problèmes de santé mentale.

6. Apprendre à reconnaître les signes précoces :

  • Éduquez-vous sur les signes de détresse émotionnelle et apprenez à reconnaître les premiers signes de troubles mentaux.

7. Équilibre professionnel :

  • Assurez-vous d’avoir un équilibre sain entre les exigences professionnelles et votre bien-être mental.
  • Prenez des pauses régulières et des vacances lorsque cela est possible.
  • Certaines professions avec beaucoup de pression doivent probablement en faire davantage.

8. Demander de l’aide lorsque nécessaire :

  • N’hésitez pas à parler à des amis, à la famille ou à des professionnels si vous ressentez le besoin de partager vos préoccupations.
  • La recherche d’un soutien professionnel, comme un psychologue ou un conseiller, peut être bénéfique.

9. Promouvoir une culture de bien-être au travail :

  • Les employeurs peuvent jouer un rôle crucial en créant des environnements de travail favorables à la santé mentale, en fournissant des ressources de soutien et en encourageant l’équilibre travail-vie personnelle.

10. Participer à des activités qui procurent du plaisir :

  • Engagez-vous dans des activités qui vous procurent du plaisir et qui contribuent à votre bien-être émotionnel.

11. S’informer sur la santé mentale :

La prévention des maladies psychiques est un processus continu qui nécessite une attention régulière à votre bien-être global.

Il est important de reconnaître que demander de l’aide et prendre soin de sa santé mentale sont des signes de force, et non de faiblesse.

Surtout que le domaine des neurosciences est en pleine évolution, et que l’on peut comprendre de plus en plus d’éléments et de causes de burnout et de problèmes de santé mentale.

Si vous avez des préoccupations concernant votre santé mentale, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé mentale.

L’IA, l’interdire ou la démocratiser ?

C’est une des questions que nous avons explorées à l’occasion de la table ronde à l’Espace André Malraux de Nantua, un magnifique écrin, tout proche du lac, dans un des haut lieux de la gastronomie, de la nature et de la résistance, pendant une soirée débat dans le cadre du MAIF numérique éthique tour qui présentait des solutions pédagogiques et numériques pour les petits et pour les grands.

Le soleil était au rendez vous sur les rives du lac de Nantua et aux abords de la médiathèque et de l’espace André Malraux.

Il y avait foule pour découvrir les robots, les casques de réalités virtuelles, les stands de sensibilisation à la cyber sécurité, aux risques de harcèlement en ligne. Cette journée était une belle occasion de présenter les solutions de recyclage des appareils électroniques et les imprimantes 3D des fablabs voisins, mais aussi de mettre en valeur les filières et les matériaux naturels comme le bois local, et de trouver des alternatives pour sortir du plastique.

Très impressionné par le travail de préparation, d’animation, de sensibilisation des conseillers numériques de Haut Bugey Agglomération, et par la mobilisation des acteurs de l’écosystème de Nantua à cette occasion.

Le numérique éthique tour fédéré par la MAIF propose notamment d’aller de ville en ville avec un camion et des stands/présentoirs amovibles en bois très bien conçu. Une sorte de fablab itinérant pour aller à la rencontre des territoires et des citoyen.ne.s.

Ce tour faisait escale à Nantua cette semaine, et j’ai eu le plaisir de participer à la table ronde sur l’impact de l’intelligence artificielle sur les métiers d’aujourd’hui et de demain. Après avoir été chaleureusement accueilli par Monsieur le Maire de Nantua, Jean-Pascal Thomasset, nous avons pu explorer les nouveaux risques et les belles opportunités que l’intelligence artificielle créé, notamment du point de vue de l’avenir des métiers.

Ravi de revoir pour l’occasion, Pascal Minguet Deschamps, avec qui nous avons pu échanger lors de cette table ronde. Nos parcours se croisent décidemment lors de belles occasions, souvent sur les sujets de médias, de santé, de protection de la nature, de gastronomie, de tiers-lieux et de fablabs et j’apprends beaucoup à chacun de nos retours d’expérience !!!

A l’évidence, l’IA représente une opportunité à saisir pour l’avenir d’une ville de 4000 habitants, telle que Nantua et pour une agglomération telle que celle du Haut Bugey.

Les questions posées par le public ont porté sur les conséquences éthiques et sociétales de l’IA.

Ravi d’avoir pu soutenir cette belle initiative de sensibilisation à l’importance du numérique éthique et durable. Les sujets sont très proches de ceux que nous traitons dans les chartes et dans les labels de l’Institut du Numérique Responsable (INR / l’ISIT) en France ou en Suisse.

Je n’oublie pas que la MAIF avait déjà été il y a 10 ans notre premier assureur lorsque nous étions quelques pionniers à vouloir faire de l’innovation numérique dans des espaces ouverts et inclusifs, (des fablabs, des makers spaces ou des hackerspaces : anglicismes pour ateliers partagés et lieux de créativité et d’innovation ouverte), et dans des tiers-lieux et que leurs conseils nous ont sensibilisé aux risques à couvrir dans de tels espaces créatifs et à la responsabilité des dirigeants de tels lieux hybrides.

A l’époque, ils nous ont ouvert la porte et ont accepté de nous assurer quand d’autres assureurs ne comprenaient pas ce que voulait dire « fablab » ou refusait tout simplement de couvrir (comprendre?) un concept qui ne rentre pas dans leurs cases.

Notre format coordonné et animé de main de maître par Odile Verdure Labeille, (Conseillère Numérique France Services), sur l’intelligence artificielle et sur les métiers de demain, est désormais bien rodé !!!

Au plaisir de poursuivre les débats aux quatre coins de la Région Auvergne Rhône-Alpes, de la France ou sur les chemins de l’Europe ou de la francophonie 😉 !!!

Chacun sa rentrée

Grosse ambiance et du très beau monde hier soir, à la rentrée des réseauteurs au Village du Soir à Genève. C’était blindé de monde (on m’avait prévenu) !!!

Et oui, pour les grands, pas question de stresser pour savoir quel prof on va avoir, dans quelle classe on va tomber ou quel va être notre emploi du temps !!!

Pendant que les petits reprennent le chemin de l’école, les grands repartent sur de bonnes bases pour ce mois de Septembre pour affronter la dernière ligne droite de l’année.

L’occasion aussi pour le réseau qui monte, @Cartonner, de se présenter et d’épicer la soirée avec des techniques de ludification pour briser la glace, se chercher, se trouver et inciter les plus timides d’entre nous à aller à la rencontre de la myriade d’entrepreneurs genevois, qui font tout le dynamisme et toute la beauté de la région.

C’est une opportunité unique de voir ou revoir les animatrices et animateurs des écosystèmes innovants à Genève.

J’y étais, et j’ai adoré revoir celles et ceux perdu.e.s de vue depuis le COVID, et découvrir de nouveaux visages, de nouvelles idées, de nouvelles activités.

A chaque occasion, j’ai pu pratiquer et re-pratiquer le pitch de Syntezia Sàrl, parfois en 10 secondes, parfois en 10 minutes (selon affinités 🙂 !!!)

Une bien belle soirée, on a réseauté à bloc, et c’était un vrai plaisir de reprendre contact avec le réseau des réseaux, les amis des amis, et de se rappeler au bon souvenir de toutes les organisations qui souhaitent s’engager dans la durabilité et la décarbonation, et (osons le dire!) trouver une nouvelle quête de sens pour leur belle carrière !!!

Vivement la prochaine occasion de vous revoir, chers réseaux de réseaux et amis d’amis !!!

PS: note pour les absents : vous avez raté des super lots, dommage pour vous 😉

6 bonnes raisons d’aller vers un engagement plus fort pour la durabilité

J-7 pour encore plus de durabilité de la part des TPE/PME dans le canton de Genève

Si vous avez une TPE ou une PME; c’est une opportunité en or pour vous lancer dans un processus d’amélioration de votre approche de la durabilité ou pour aller plus loin dans vos engagements.

Le programme « Diagnostic-action » de la DG DERI (Direction générale du développement économique, de la recherche et de l’innovation) permet aux bénéficiaires, les TPE et les PME basées dans le Canton de Genève, dès cet été, de profiter d’un accompagnement sur mesure afin de vous adapter aux enjeux actuels de la durabilité: diagnostic à 360° suivi de propositions de mesures concrètes et d’un plan d’action.

Pourquoi postuler ?

Voici 6 bonnes raisons de répondre à cet appel et autant de raisons de saisir cette opportunité maintenant.


– Contribuer à l’effort collectif contre le réchauffement climatique et la perte de biodiversité terrestre et marine

– Développer l’image de votre marque employeur et l’image d’une entreprise responsable et engagée

– Assurer la pérennité stratégique et financière de votre PME / TPE


– Attirer et retenir vos employés, collaboratrices, collaborateurs et partenaires, tous vos talents de plus en plus en quête de sens 

– Crédibiliser votre démarche et vous différencier par rapport aux praticiens du greenwashing, en mettant vos propos en cohérence avec votre action.

– Anticiper l’évolution des normes, des réglementations et de la législation sur le plan environnemental pour avoir un coup d’avance sur vos concurrents.

Quand postuler ?

Il reste encore une semaine, jusqu’au 14 mai, pour postuler au programme « Diagnostic-action » de la DG DERI.

Vous pouvez indiquer que vous venez de la part de Syntezia Sàrl pour que votre entreprise et vous soyez accompagné.e par un des experts de l’équipe de cette entreprise genevoise, spécialisée dans la durabilité et la décarbonation.


Pour tout savoir sur comment en bénéficier, voici le lien pour postuler : https://www.ge.ch/soutien-aux-entreprises-leurs-premiers-pas-dans-durabilite/postuler-diagnostic-action-entreprises

Dis-moi quelle est la couleur de ton hydrogène et je te dirai qui tu es.

La transition énergétique, depuis le temps qu’on en parle, on se dit que ce serait sans doute bien le moment de migrer des énergies fossiles vers les énergies décarbonnées.

Dans le mix énergétique du futur, l’hydrogène semble voué à jouer un rôle. Oui, mais quel rôle exactement ?

Certains l’annoncent comme le remède miracle, d’autres nous disent « pas avant 30 ans », finalement on se demande bien par où on commence, qu’est-ce qu’on migre, qu’est-ce qu’on change…

Si les technologies sont prêtes et n’attendent plus que nous, pourquoi alors les migrations (passage du fossil à l’hydrogène) et les changements d’habitude, de comportements et d’achats se font encore attendre ? C’est quoi l’excuse !!!???

En cherchant à comprendre ce qui motive ou freine l’adoption de l’hydrogène, le code couleur semble important !!!

Pour se faire une idée, l’article de Mickaël CORREIA publié le jeudi 19 Aout 2021 sur Mediapart et sur Slideshare, nous donne quelques pistes pour comprendre.

« L’hydrogène est vanté par les industriels et les gouvernements du monde entier comme la nouvelle énergie «propre» censée nous sauver du chaos climatique. Financé à coups de milliards d’euros d’argent public, l’hydrogène s’avère pourtant nocif pour le climat comme le révèle une dernière étude scientifique » selon Joëlle Leconte.

POur Lombard Odier, c’est la voix à suivre.

Alors, cet hydrogène, solution miracle ou nocive ? Rêve de la transition ou cauchemar de la décarbonation ?

Il y a débat, alors comment savoir ?

S’il existe plusieurs couleurs, comment s’y retrouver ? Quelle couleur choisir ? Comment être sûr de ne pas se tromper ?

Pour les non-initiés, l’hydrogène existe en vert, en bleu, en jaune, en gris, ou en « nature » et tous les pays ne semblent pas choisir la même couleur. On évoque même 50 nuances !!! Et oui, on arrive même à faire du sensuel dans l’industrie de l’énergie !!!

La pile à combustible, elle aussi, fait débat.

Perdu au milieu de ces débats d’experts aux enjeux économiques colossaux, comment faire pour faire la part des choses et pour décider par soi-même de la meilleure option de décarbonation ?

Qu’en pensez-vous ? Sur quelle option misez-vous ?

Du plan climat à votre cahier d’idées

Urgence climatique, plan climat, loi pour le climat, journées mondiales diverses et variées, COP 25, 26, 27, 28, débat sur la transition énergétique ou l’économie bas carbone… ce ne sont pas les grands plans stratégiques et les grandes rencontres au sommet qui manquent, avec pour objectif commun la baisse des émissions de CO2 et de gaz à effets de serre. Fresque, jeux, colloques, votes, les initiatives s’enchaînent, il y a urgence. Malgré toutes ces bonnes volontés, on a parfois l’impression que rien ne bouge.

A l’autre bout de la chaîne, vous, moi, en train de nous demander ce que nous pourrions bien faire à notre humble niveau, dans nos habitudes ou comportements de tous les jours pour contribuer concrêtement à améliorer les choses, ou au moins à ne pas les empirer.

Entre ces approches macro (que certains critiqueront comme étant « hors sol », sans plan d’action et donc sans réel impact ou résultat), et votre cahier d’idées ou le mien sans moyen, comment trouver le bon chemin, celui qui consiste à avoir un impact plus grand qu’au niveau individuel, sans pour autant tomber dans les pièges de la réunionite qui n’avance pas et ne mène à rien ?

Dès lors, comment passer du « micro au macro » et du « macro au micro » sans se perdre ?

Ce « morceau du milieu » qui manque, je crois qu’il tient en fait, aux outils et aux méthodes qui permettent aux bonnes idées d’être testées et expérimentées à une plus grande échelle, et d’être facilement adaptable, réplicable, modifiable pour être déployées et adoptées par d’autres ailleurs. Comment faire pour que ce « mix & remix » de votre idée fonctionne ?

Très bien alors, admettons que nous ayons une bonne idée, avec un impact environnemental positif, par où commencer ?

C’est justement ce sur quoi nous travaillons avec les différents cercles de médiation de Syntezia sur des sujets tels que :

  • Le transport longue distance intense en carbone (comprendre pour ou contre l’hydrogène vert des bus, camions, bateaux, avions!)
  • Les nouvelles formes de mobilité urbaine décarbonnée (one-wheel, e-scooter, vélo électrique, trotinette, vélo cargo, EV…)
  • Le smart home, le smart building et le smart city (c’est bien gentil d’être smart à tous les niveaux, mais comment mesurer l’impact réel une fois que les usagers arrivent dans les murs !)
  • Les énergies décarbonnées du futur (hydrogène, batteries, micro-grid…)
  • L’économie circulaire (notamment dans le textile et la mode, que nous savons si problématique)
  • Les alternatives aux plastiques à usage unique
  • La protection de la biodiversité terrestre et marine
  • Les projets de digitalisation, objets connectés, intelligence artificielle, RPA, wearables, qualité de vie, blockchain ou crypto-monnaies (qui font beaucoup parler d’eux ces temps-ci)
  • Réduire les emballages (éco-conception, vrac…)

Nous participons avec nos idées et nos projets innovants à alimenter le dispositif suisse d’accélérateur d’innovation, qui permet un accompagnement méthodologique (par les fablabs et les living labs) et un financement des idées retenues mois après mois par un jury appelé « innovation committee ».

Concrêtement, qu’est-ce que cela permet de faire avec les bonnes idées ?

Vos idées peuvent être partagées publiquement sur une plateforme d’innovation ouverte afin de recevoir des commentaires d’autres acteurs de l’innovation. Il y a de la valeur dans l’échange, dans les commentaires, et c’est aussi parfois une bonne façon d’identifier un futur partenaire, qui cherche à faire sensiblement la même chose que vous ! Cela peut aussi permettre à un recruteur ou à des financiers de trouver des projets à impact.

Comment savoir si mon idée a le potentiel d’aller plus loin ?

Nous avons tout un processus pour cela, cela commence par la constitution d’une équipe de 2 personnes minimum (tout seul, c’est moins drôle!), l’ébauche d’une idée de décarbonation, vous pouvez ensuite la soumettre et vous rapprocher de nous pour étudier ensemble comment notre démarche de living lab (proche de celle du design thinking, avec une emphase particulière sur l’empathie et l’impact) va pouvoir vous aider à bien vous préparer avant de passer devant le jury et de savoir si votre équipe et si votre idée peuvent être accompagnées méthodologiquement et financées.

Si ça m’intéresse, et si j’ai une idée, je fais comment ?

Nous vous invitons simplement à vous faire connaître avec ce formulaire simple et nous vous contacterons très rapidement pour prendre rendez-vous, et discuter de la meilleure approche méthodologique pour se structurer.

Là tout de suite, je n’ai pas vraiment l’idée du siècle, mais le sujet m’intéresse, et je donnerais volontiers un coup de main, comment faire ?

Cela tombe bien, de nombreuses équipes émergentes cherchent des compétences, des co-financements et des partenaires de mise en oeuvre, et cela pourrait être vous !

Nous organisons des séances pour faciliter les rencontres, la mise en réseau par thème et les discussions.

Pour être tenu au courant de nos futurs match-making, vous pouvez nous envoyer un message (par mail à l’adresse yves.zieba@syntezia.com) et suivre nos pages LinkedIN pour ne rien manquer (digitalisation, mode et luxe durable, énergie renouvelable et hydrogène, mobilité décarbonnée, smart building & smart city, biodiversité terrestre et marine)

Qu’en pensez vous ?

Le CES2021 100% en ligne sera-t-elle aussi intéressante qu’en temps pré-COVID19

Le CES2021 sera un CES à distance, pour le monde entier, sur nos propres écrans. Pas de super voyage à Las Vegas pour cette édition.

Le CES continuera par contre à faire ce qu’il fait de mieux : présenter les dernières innovations et idées technologiques et établir le programme de ce qui se passera dans le secteur au cours des mois et des années à venir.

Big data connections. IOT – internet of things. Future technology digital concept on blurred abstract background of world map night city scape


Beaucoup de choses sont en place pour permettre à 5G de vraiment dominer les débats au CES, d’autant plus que ce salon se veut plus virtuel et s’appuie davantage sur des panels et des discussions que sur des démonstrations de gadgets. Les opérateurs commencent à avoir une couverture nationale de la 5G dans certains pays. Tous les fabricants de téléphones, y compris et surtout Apple, sont à bord. Au-delà de l’annonce de Samsung, vous ne verrez probablement pas beaucoup d’appareils 5G au salon. La discussion portera essentiellement sur les applications à long terme de la 5G, comme par exemple, la façon dont nous exploitons la 5G pour résoudre certains des problèmes exposés par le coronavirus. Les discussions porteront également sur l’utilisation de la 5G pour réduire la fracture numérique, ainsi que pour améliorer les expériences en matière de télémédecine , d’apprentissage et de travail à distance ou télétravail.

Comment voler la vedette et faire le buzz  pendant ce CES 21 ?

Le petit jeu reste le même : dénicher les produits les plus convaincants et les histoires les plus importantes, et déterminer les 3 ou 4 priorités sur lesquelles se positionner maintenant pour être compétitif dans 3-5 ans.

Pour vous préparer au spectacle virtuel de cette année, voici un aperçu de ce à quoi vous pouvez vous attendre au CES 2021.



La 5G sera importante, encore une fois

Big data connections. IOT – internet of things. Future technology digital concept on blurred abstract background of world map night city scape


En temps normal, Samsung a le plus grand stand du salon, l’événement de presse le plus spectaculaire et un flot de nouvelles annonces sur les téléviseurs, les appareils audio, les ordinateurs, les appareils électroménagers et les chatbots bizarres comme ceux de l’année dernière sur l’IA au néon. Samsung organise un événement Samsung Unpacked – apparemment pour son prochain smartphone phare, le Galaxy S21 – le même jour que l’ouverture du salon virtuel du CES, le jeudi 14 janvier. Samsung co-localise essentiellement son plus grand événement mobile de l’année au CES pour 2021.

Le plus gros gadget sera au centre de l’attention.

Les constructeurs automobiles utilisent le CES comme plateforme pour parler de ce qu’ils appellent la « numérisation et l’électrification » de la voiture depuis plus d’une décennie maintenant. Ce sont surtout les plus grands constructeurs automobiles du monde qui en parlent, qui fabriquent de beaux prototypes mais qui ont traîné des pieds pour réaliser de réels progrès.

Cependant, l’élan s’accélère en 2021, qui est une année charnière pour les véhicules électriques. Les constructeurs automobiles convertissent certaines des marques les plus emblématiques de l’industrie en VE, notamment la Mustang, la Ford F-150 et le Hummer. Tesla vient d’atteindre le demi-million de véhicules vendus en 2020, un chiffre longtemps décrié et mis en doute par l’industrie automobile. Le mardi 12 janvier, Mary Barra, PDG de General Motors, prononcera le discours d’ouverture du CES et de nouvelles annonces de véhicules vont être faites.

Les OLED transparents vont créer le buzz avec de nouveaux cas d’usage

Avec le télétravail et le confinement, comme nous sommes plus nombreux à la maison, à observer les chaînes d’informations (ou les dernières séries de Netflix!), les téléviseurs sont très demandés. C’est pourquoi nous sommes toujours attentifs aux prochaines attractions télévisuelles au CES. Il y a toujours une télévision massive ou une télévision à enrouleur ou une autre nouvelle technologie d’écran impressionnante – bien que rusée – qui devient le fleuron du CES. Cette année, il s’agira probablement des écrans OLED transparents de LG. Ceux-ci passent de 10 % à 40 % de transparence, ce qui ouvre de nouvelles possibilités pour de nombreux cas d’utilisation créative. Parmi ceux que LG présentera au CES 2021, citons un lit intelligent où l’écran OLED s’élève du pied de lit, une fenêtre de métro intelligente où les plans et les horaires sont superposés sur la vitre, et une cloison de restaurant entre les cabines où vous pouvez voir de grandes images des articles du menu et même regarder un chef cuisiner préparer votre repas.

La pandémie mondiale et un wagon de solutions miracles plus ou moins pertinentes

Les entreprises vont proposer de nombreuses technologies pour aider les gens à faire face aux craintes liées à COVID-19 (ou à ses variants, mutants… diverses et variés). Elles s’attaquent aussi à la situation de confinement ou d’enfermement dans la vie et au travail et à l’apprentissage à domicile. Dans les domaines de la santé et de la maison intelligente, nous allons notamment découvrir des masques high-tech, des purificateurs d’air intelligents, davantage d’appareils mains libres, des lampes UV-C pour tuer les germes. Les fabricants d’ordinateurs vont certainement se pencher sur toutes celles et tous ceux qui travaillent à domicile pour leur proposer des appareils et des accessoires qui leur faciliteront la vie au travail. Les vendeurs de divertissement à domicile proposeront des téléviseurs, des barres de son et des appareils et services de diffusion en continu à un public qui n’a toujours pas accès à la quasi-totalité de ses divertissements dans le salon.



Moins de fournisseurs que les années précédentes

Cette année, le CES virtuel mettra en vedette environ 2 000 fournisseurs. Pour situer le contexte, le salon de l’année dernière à Las Vegas en comptait 4 500.

Le CES souffre donc, comme tous les grands salons et congrès. Cette édition en ligne sera une première. Voyons le résultat en terme d’audience et si le CES21 parvient à se réinventer dans ce modèle 100 % en ligne.

Interview radio de notre campagne de financement sur Radio Cité Genève 92.2

A l’occasion de notre campagne de soutien et de financement pour les industries créatives et culturelles à Genève, j’ai eu le plaisir d’accorder un entretien à Radio Cité Genève sur 92.2.

Entretien qui sera diffusé aujourd’hui à 10h40, 12h40, 16h40 sur 92.2

En répondant aux questions de Karine Pollien, j’ai pu revenir sur la genèse du projet initié pendant le hackathon Resilience Hack d’open geneva, la recherche de partenaires, la sélection des meilleures solutions, la préparation de la campagne et la recherche des 20 récompenses (objets, ateliers, parcours, coaching en ligne, rencontres) que nous proposons en contreparties jusqu’au 7 novembre 2020 pour encourager les genevoises et les genevois à soutenir les créatrices et les créateurs de mode durable et de luxe durable.

Au delà de la campagne, notre objectif est de métamorphoser les genevoises et les genevois en consommactrices et en consammacteurs en leur faisant découvrir ou redécouvrir toute la qualité de ce qui existe localement, avec des circuits courts et sans déchet.

Vous pouvez nous aider de nombreuses façons, en nous présentant des designers, en nous aidant à trouver un espace, avec votre temps, vos compétences, vos machines ou vous pouvez nous aider financièrement en échange de récompenses.

Nous interviewons volontiers les consommatrices et les consommateurs qui ont déjà modifié leurs habitudes de consommation.

Nous cherchons également des partenaires technologiques, médias et financiers pour pouvoir mettre en oeuvre les solutions de résilience que nous avons préparé en réponse à la crise du COVID19.

Parce que les structures porteuses des designers sont parfois de petite taille, il est parfois facile de croire que peu d’emplois sont en jeu. Après nos entretiens, nous savons qu’au contraire, de nombreux emplois sont directement et indirectement concernés.

C’est pour cela que notre équipe se mobilise.

Découvrez les récompenses jusqu’au 7 Novembre 2020 sur ces liens :

En français : https://crowdsupport.opengeneva.org/product/hack-your-style-experience-mode-durable-a-geneve/

En anglais : https://crowdsupport.opengeneva.org/en/product/hack-your-style-experience-mode-durable-a-geneve/

N’hésitez pas à nous contacter si vous avez la moindre question sur hackyourstyle@syntezia.com