Du plan climat à votre cahier d’idées

Urgence climatique, plan climat, loi pour le climat, journées mondiales diverses et variées, COP 25, 26, 27, 28, débat sur la transition énergétique ou l’économie bas carbone… ce ne sont pas les grands plans stratégiques et les grandes rencontres au sommet qui manquent, avec pour objectif commun la baisse des émissions de CO2 et de gaz à effets de serre. Fresque, jeux, colloques, votes, les initiatives s’enchaînent, il y a urgence. Malgré toutes ces bonnes volontés, on a parfois l’impression que rien ne bouge.

A l’autre bout de la chaîne, vous, moi, en train de nous demander ce que nous pourrions bien faire à notre humble niveau, dans nos habitudes ou comportements de tous les jours pour contribuer concrêtement à améliorer les choses, ou au moins à ne pas les empirer.

Entre ces approches macro (que certains critiqueront comme étant « hors sol », sans plan d’action et donc sans réel impact ou résultat), et votre cahier d’idées ou le mien sans moyen, comment trouver le bon chemin, celui qui consiste à avoir un impact plus grand qu’au niveau individuel, sans pour autant tomber dans les pièges de la réunionite qui n’avance pas et ne mène à rien ?

Dès lors, comment passer du « micro au macro » et du « macro au micro » sans se perdre ?

Ce « morceau du milieu » qui manque, je crois qu’il tient en fait, aux outils et aux méthodes qui permettent aux bonnes idées d’être testées et expérimentées à une plus grande échelle, et d’être facilement adaptable, réplicable, modifiable pour être déployées et adoptées par d’autres ailleurs. Comment faire pour que ce « mix & remix » de votre idée fonctionne ?

Très bien alors, admettons que nous ayons une bonne idée, avec un impact environnemental positif, par où commencer ?

C’est justement ce sur quoi nous travaillons avec les différents cercles de médiation de Syntezia sur des sujets tels que :

  • Le transport longue distance intense en carbone (comprendre pour ou contre l’hydrogène vert des bus, camions, bateaux, avions!)
  • Les nouvelles formes de mobilité urbaine décarbonnée (one-wheel, e-scooter, vélo électrique, trotinette, vélo cargo, EV…)
  • Le smart home, le smart building et le smart city (c’est bien gentil d’être smart à tous les niveaux, mais comment mesurer l’impact réel une fois que les usagers arrivent dans les murs !)
  • Les énergies décarbonnées du futur (hydrogène, batteries, micro-grid…)
  • L’économie circulaire (notamment dans le textile et la mode, que nous savons si problématique)
  • Les alternatives aux plastiques à usage unique
  • La protection de la biodiversité terrestre et marine
  • Les projets de digitalisation, objets connectés, intelligence artificielle, RPA, wearables, qualité de vie, blockchain ou crypto-monnaies (qui font beaucoup parler d’eux ces temps-ci)
  • Réduire les emballages (éco-conception, vrac…)

Nous participons avec nos idées et nos projets innovants à alimenter le dispositif suisse d’accélérateur d’innovation, qui permet un accompagnement méthodologique (par les fablabs et les living labs) et un financement des idées retenues mois après mois par un jury appelé « innovation committee ».

Concrêtement, qu’est-ce que cela permet de faire avec les bonnes idées ?

Vos idées peuvent être partagées publiquement sur une plateforme d’innovation ouverte afin de recevoir des commentaires d’autres acteurs de l’innovation. Il y a de la valeur dans l’échange, dans les commentaires, et c’est aussi parfois une bonne façon d’identifier un futur partenaire, qui cherche à faire sensiblement la même chose que vous ! Cela peut aussi permettre à un recruteur ou à des financiers de trouver des projets à impact.

Comment savoir si mon idée a le potentiel d’aller plus loin ?

Nous avons tout un processus pour cela, cela commence par la constitution d’une équipe de 2 personnes minimum (tout seul, c’est moins drôle!), l’ébauche d’une idée de décarbonation, vous pouvez ensuite la soumettre et vous rapprocher de nous pour étudier ensemble comment notre démarche de living lab (proche de celle du design thinking, avec une emphase particulière sur l’empathie et l’impact) va pouvoir vous aider à bien vous préparer avant de passer devant le jury et de savoir si votre équipe et si votre idée peuvent être accompagnées méthodologiquement et financées.

Si ça m’intéresse, et si j’ai une idée, je fais comment ?

Nous vous invitons simplement à vous faire connaître avec ce formulaire simple et nous vous contacterons très rapidement pour prendre rendez-vous, et discuter de la meilleure approche méthodologique pour se structurer.

Là tout de suite, je n’ai pas vraiment l’idée du siècle, mais le sujet m’intéresse, et je donnerais volontiers un coup de main, comment faire ?

Cela tombe bien, de nombreuses équipes émergentes cherchent des compétences, des co-financements et des partenaires de mise en oeuvre, et cela pourrait être vous !

Nous organisons des séances pour faciliter les rencontres, la mise en réseau par thème et les discussions.

Pour être tenu au courant de nos futurs match-making, vous pouvez nous envoyer un message (par mail à l’adresse yves.zieba@syntezia.com) et suivre nos pages LinkedIN pour ne rien manquer (digitalisation, mode et luxe durable, énergie renouvelable et hydrogène, mobilité décarbonnée, smart building & smart city, biodiversité terrestre et marine)

Qu’en pensez vous ?

Interview radio de notre campagne de financement sur Radio Cité Genève 92.2

A l’occasion de notre campagne de soutien et de financement pour les industries créatives et culturelles à Genève, j’ai eu le plaisir d’accorder un entretien à Radio Cité Genève sur 92.2.

Entretien qui sera diffusé aujourd’hui à 10h40, 12h40, 16h40 sur 92.2

En répondant aux questions de Karine Pollien, j’ai pu revenir sur la genèse du projet initié pendant le hackathon Resilience Hack d’open geneva, la recherche de partenaires, la sélection des meilleures solutions, la préparation de la campagne et la recherche des 20 récompenses (objets, ateliers, parcours, coaching en ligne, rencontres) que nous proposons en contreparties jusqu’au 7 novembre 2020 pour encourager les genevoises et les genevois à soutenir les créatrices et les créateurs de mode durable et de luxe durable.

Au delà de la campagne, notre objectif est de métamorphoser les genevoises et les genevois en consommactrices et en consammacteurs en leur faisant découvrir ou redécouvrir toute la qualité de ce qui existe localement, avec des circuits courts et sans déchet.

Vous pouvez nous aider de nombreuses façons, en nous présentant des designers, en nous aidant à trouver un espace, avec votre temps, vos compétences, vos machines ou vous pouvez nous aider financièrement en échange de récompenses.

Nous interviewons volontiers les consommatrices et les consommateurs qui ont déjà modifié leurs habitudes de consommation.

Nous cherchons également des partenaires technologiques, médias et financiers pour pouvoir mettre en oeuvre les solutions de résilience que nous avons préparé en réponse à la crise du COVID19.

Parce que les structures porteuses des designers sont parfois de petite taille, il est parfois facile de croire que peu d’emplois sont en jeu. Après nos entretiens, nous savons qu’au contraire, de nombreux emplois sont directement et indirectement concernés.

C’est pour cela que notre équipe se mobilise.

Découvrez les récompenses jusqu’au 7 Novembre 2020 sur ces liens :

En français : https://crowdsupport.opengeneva.org/product/hack-your-style-experience-mode-durable-a-geneve/

En anglais : https://crowdsupport.opengeneva.org/en/product/hack-your-style-experience-mode-durable-a-geneve/

N’hésitez pas à nous contacter si vous avez la moindre question sur hackyourstyle@syntezia.com

Confinement rimera-t-il avec rupture d’approvisionnement ?

Au moment où un reconfinement partiel ou complet se précise (ou couvre-feu, appelez le comme vous voulez), de nombreux messages de vigilance circulent pour prédire une catastrophe économique annoncée. Pourquoi ? N’at-on rien appris du premier confinement ? Ces ruptures de chaines d’approvisionnement logistique vont elles se reproduire ? Plus graves ou moins graves qu’au printemps ?

Quand ça casse…

Lors du premier confinement, nous avons pu plaider la surprise. Tel fournisseur ne peut plus nous livrer, tel avion n’a pas pu décoler, telle frontière était fermée… nous devons attendre que cela reprenne. Soit.

Cette fois-ci, qu’en sera-t-il ?

  • Avons-nous eu le temps de privilégier les circuits courts ?
  • Avons-nous eu le souhait de rebattre les cartes, de trouver des alternatives et de renégocier les contrats ?
  • Ou au contraire, avons-nous fait le pari d’attendre que cela se passe sans rien faire ?

La première fois, on peut comprendre la dépendance, être tolérant, rester fidèle à un fournisseur de longue date. Admettons, ce sont les aléas, on ne pouvait pas prévoir.

Mais la deuxième fois, nous ne pouvons plus dire que nous ne savons pas que nous dépendons de ce fournisseur chinois, turc, brésilien ou éthiopien. Nous avons nécessairement expérimenté ces soucis une fois déjà. Nous ne pouvons plus prétendre que nous ne connaissons pas cette vulnérabilité.

La bulle est toujours belle, avant d’éclater.

Ne faut-il pas se dire qu’il est temps de changer quelque chose et de miser sur les circuits courts ?

Et si c’était l’occasion de redécouvrir les savoirs-faire du coin. Redécouvrir la proximité, le local, le 100% d’ici !!!

Un bon petit goût de circuit court

Allons-nous encore pouvoir attendre éternellement que les vols reprennent, que les frontières rouvrent ou que ce fournisseur reprenne le travail ?

A partir de quel moment cela va induire des changements stratégiques de rapprochements locaux, d’internalisation, de renégociation de contrats ou de diversification des fournisseurs ?

Avec toutes les vidéoconférences que nous avons écoutées d’une oreille sur la résilience, le rebond, ou la relance, qu’allons nous faire différemment cette fois-ci ?

coronavirus covid-2019

Pause… réfléchissons, avec cette nouvelle crise de la COVID19 (ou 20), vers quoi allons nous ? Vers quoi souhaitons nous aller ?

  • Plus de numérique ? OK, mais lequel ?
  • Plus de GAFAM ? Vraiment ?
  • Plus d’achats compulsifs sur internet depuis nos portables, confortablement installés dans nos canapés ?
  • Plus d’heures passées devant Netflix ?
  • Plus de télétravail ? Forcé, subi, choisi ? Pour les emplois de service et d’administration, c’est jouable, mais pour les autres, comment faire ?

Est-ce vraiment ce que nous voulons cette fois-ci ?

Comment prédire si mon client va me payer, si mon fournisseur va me livrer ?

Avec les mesures d’accompagnement, et selon les offices de statistiques, le premier confinement n’a pas été fatal pour trop d’entreprises, fort heureusement, mais il est probable que les entreprises aient dû réduire leurs réserves, leurs matelas de secours. Le second confinement risque de le devenir. Les trésoreries n’ont probablement pas eu le temps de se reconstituer.

En pleine période d’élection américaine, avec un Brexit encore plus dur que prévu, avec les tensions avec la Turquie et ses alliés, n’est-ce pas le bon moment de miser sur les partenaires européens de proximité et de confiance ?

Et vous, qu’en pensez-vous ? Qu’allez vous faire différemment cette fois-ci ?

D’où va venir la rupture pour votre activité ?

Souriez, vous télétravaillez !!!

J’ai eu la chance d’analyser la performance d’une équipe de vendeuses et de vendeurs, qui travaillait à distance, dans un modèle appelé « Direct », pour gérer les petits et les moyens clients d’une grande multinationale.

Je me souviens avoir écouté, analysé et modélisé dans tous les sens, ce qui faisait la différence entre nos meilleures vendeuses et nos meilleurs vendeurs, et ceux qui vendaient un peu moins vite ou un peu moins bien.

Leur secret ? Je vous le donne dans le mille. Le sourire !!!

Leurs clients entendaient leur sourire dans la voix, et c’est pour cela qu’ils achetaient.

Les meilleurs vendeurs étaient celles et ceux qui parvenaient à faire sourire ou rire leur client le plus rapidement. Les meilleurs y parvenaient en 18 secondes !!! J’espère qu’elle se reconnaîtra ! 😉

Aujourd’hui, en pleine gestion de crise, et à l’heure où le télétravail n’est pas encore totalement connu, maîtrisé, bien perçu par tout le monde, il me semble important de vous donner ce petit conseil qui vaut 3 milliards !

Souriez et souriez vite, ça s’entend !

Téléconférence ou vidéoconférence, peu importe, cela fera la différence. La bonne humeur, la bonne petite blague, bien placée, et c’est dans la poche.

Commençons par un petit cadeau: voici un lien vers un dossier de photos avec plein de sourires. Collectionner les photos de sourires, c’est mon toc à moi. C’est communicatif !!!

Plus sérieusement, nous vivons un moment où le dispositif de télétravail va être stress-testé dans de nombreuses entreprises. Il y a des enjeux importants. Des managers vont évaluer des employés pour savoir si ils peuvent travailler à distance en confiance ou pas.

Ce n’est pas qu’une question de choix d’outils.

Vous allez vous rendre compte que nous n’utilisons pas tous les mêmes outils. Skype, Zoom, WhatsApp, Facetime ou autre chose, finalement peu importe l’outil. C’est avant tout une question d’état d’esprit.

Le télétravail, parfois décrié, est en fait un ingrédient de la recette du rebond économique pour votre organisation. Si vous le mettez en œuvre de la bonne façon, cela peut vous aider à court terme bien sûr, mais aussi à long terme.

Du jour au lendemain, on vous ampute de votre « body language ».

Nous avons l’habitude de faire recours au télétravail pour un meilleur équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. Souvent, il est accordé après de nombreuses demandes et il est parfois perçu négativement par les managers.

Pour certains d’entre nous, travailler à distance, vivre et travailler en dehors du bureau, avec un mode de vie nomade, c’est un acquis depuis de nombreuses années.

Pour d’autres, cette crise inattendue du Covid19 rend le télétravail quasiment obligatoire.

C’est parfois voulu, souvent c’est subi.

Dans certains cas extrêmes, cela va être l’occasion de tester pour la première fois une caméra, un micro, et de communiquer en étant filmé. A l’improviste, sans media training. Alors comment ne pas courir à la catastrophe ?

Pour de nombreuses personnes, être filmé, se voir en vidéo, et interagir à distance, n’est pas facile. Cela peut générer du stress, souvent non-dit.

De nombreux employés doivent s’adapter. Les managers aussi.

A circonstances exceptionnelles, dispositif exceptionnel !!!

Dans le cas de la gestion de crise du COVID19, nous n’avons pas eu beaucoup de temps pour nous adapter.

Ce n’est pas forcément évident pour tout le monde de s’adapter. Il faut apprendre à faire bonne figure. C’est un média comme un autre. Il faut savoir faire face à sa caméra, même si elle est miniature !!!

Cela remet en cause pas mal de choses.

Fin du présentéisme ? Nouvelles formes de contrôles ? Nouvelles façons de communiquer ? Nouvelles façons de gérer la performance ?

– Quels sont les risques et les opportunités du télétravail ?

– Quelles sont les craintes des managers ? Sont-elles légitimes et vérifiables ?

– Comment éviter les écueils classiques ?

Et si la crise était en fait une opportunité unique pour moderniser nos pratiques managériales, pour revoir les priorités ?

Et si notre façon de gérer cette crise conditionnait notre capacité de rebond ?

Et si le télétravail avec le sourire, était un facteur déterminant de votre capacité à absorber cette crise inattendue et les prochaines ? D’habitude, c’est une technique, en période de crise, cela devient presque un devoir civique.

– Comment les managers doivent adapter leurs méthodes à cette nouvelle donne ?

– Comment faire en sorte que la technologie soit un allié ?

– Comment distinguer ce qui relève des problèmes liés à la crise, de ce qui relève du télétravail ?

Pour passer en revue les différents aspects de la question, je vous propose une séance de coaching d’une heure pour gérer cette phase de crise de la meilleure façon possible, en mettant le télétravail et toutes les chances de votre côté.

Il vous suffit de remplir ce formulaire rapide et je vous recontacte.

Chouette, un combo « Télétravail / home-schooling » !

Parmi les nouveautés que ce #COVID19 nous apporte, il va falloir apprendre à vivre à la maison, en famille, avec les enfants et faire en sorte que tout cela ne parte pas complètement en vrille !!!

Comment faire en sorte que la petite fille ne vienne pas voir avec qui papa parle dans l’ordinateur ? Comment éviter que le petit garçon souhaite absolument gouter au moment où la vidéo-conférence de maman commence ? Comment demander au chat de ne pas miauler pendant qu’on négocie un contrat important avec un client ?

« Où est ma tablette ? Qui a pris mon smartphone ? Tu as fini tes devoirs ? J’ai pas le temps, je suis en « call » avec mon chef. Quand est-ce qu’on mange ? Tu n’as pas vu mon dossier, c’est hyper urgent. J’ai perdu mon cahier. Il n’y a plus de wifi ? Tu as fait les courses ? Mon PC plante. La commande est arrivée ? »

Papa est sur Skype, Maman est sur Zoom, et les enfants hurlent parce que ça laggue sur la PS !!!

Avec les nouvelles invitations à rester à la maison pour les enfants, et à opérer en télétravail pour les parents, comment allons-nous nous en sortir ?

Y-a-t-il assez de téléphones pour tout le monde ?

C’est vrai que nous devons tous travailler, faire nos devoirs, prendre des nouvelles de la famille et des amis, ne serait-ce que pour s’assurer qu’ils vont bien. En plus, on n’a plus l’habitude d’être 24/24 tous à la maison. Cela nous arrive encore parfois pendant les vacances, mais là, c’est autre chose, panique à la maison, il faut travailler, étudier, surveiller les jeunes et garder un oeil aussi sur les anciens qui vont se sentir super isolés ?

Comment va se dérouler cette cohabitation inédite ?

Commençons par les horaires, on ne va plus se faire gronder par la gentille directrice, si on arrive en retard au portail de l’école. Mais bon, on ne va quand même pas passer la matinée en pyjama ni jouer à la PS toute la nuit avec nos amis américains sur Fortnite. Il va falloir mettre des nouvelles règles simples de vie en commun. Qui va surveiller le frigo ? A quelle heure on mange si la vidéoconférence de maman se termine après que celle de papa commence ?

Techniquement, le dispositif va-t-il tenir ?

On avait pris l’habitude de se passer les téléphones, les tablettes, de parler chacun son tour au téléphone… et là soudainement, nous allons tous avoir besoin de tout, en même temps.

La bande passante va-t-elle être suffisante ? Le réseau va-t-il tenir ? Qui va devoir se déconnecter si on ne peut pas tous être connectés en même temps ?

« Tu y comprends quelque chose, toi, au VPN ? »

Si on est tous à la fois en vidéoconférence, sur Netflix, la PS4 et la Wii, nous risquons d’avoir des problèmes. On a pas tous un service IT à la maison, cela risque de se voir…

Alors quoi, on se met au tricot, à la belote et au Scrabble ?

Peut-être pas, mais on peut songer à inventer le « smart home office/smart home schooling » phygital, avec des plages horaires pour se reposer les yeux des uns, pendant que les autres utilisent la bande passante.

Cela n’existait pas, il va falloir l’inventer. J’imagine que dans ce nouveau contexte, de nouveaux usages vont émerger. Les entrepreneurs et les slashers ont sans doute un avantage… ils ont pris l’habitude de ces agendas irréguliers, de ce mélange vie privée / vie professionnelle.

Gardons le sourire, restons positif, cela va sans doute permettre aux familles de passer du temps ensemble, de gérer des problèmes ensemble, et pour tous les coachs qui prônent le juste équilibre entre vie professionnelle et vie familiale, tout en recommendant de faire des coupures nettes entre les deux, il va falloir être créatif. Par exemple, faire des pauses ensemble toutes les 25 minutes, sanctuariser la pause de midi, se replonger dans les programmes scolaires des enfants, se mettre à suivre un MOOC ensemble avec un parent et un enfant. Il y a moyen de passer des bons moments, on va gagner du temps de qualité en étant moins dans les transports. C’est aussi une opportunité pour les enfants de découvrir le métier de leur parent, et de les voir en action. Tout cela, c’est inédit, et espérons-le, une fois dans la vie. Une belle expérience à inventer.

Finalement, certes cette situation est plus subie que voulue, mais c’est peut-être aussi cela le « lifestyle » du 21ème siècle. Ce méchant virus va nous forcer à nous organiser, à travailler et à étudier différemment. On va apprendre en s’amusant ensemble, et cela c’est plutôt une bonne nouvelle. C’est peut-être le début d’un « nouveau contrat de famille ».

En tout cas, je vous souhaite un joyeux méli-mélo dans votre « smart home phygital » à vous !!!

3 raisons de se réjouir de l’arrivée du printemps

Le mois de mars arrive à grands pas, et avec lui le printemps. Nous vous avons préparé trois belles occasions de se rencontrer, et d’échanger, avec des séminaires à taille humaine pour pouvoir avoir des temps d’interaction privilégiés.

Pilotage avec Laurent & Hendrick

La première occasion, c’est la soirée des pilotes executifs à Genève.

Avec Laurent et Hendrick, nous vous avons préparé un programme pour parler de capital humain, de maturité financière et de cohérence stratégique. Le tarif préférentiel « Early Bird » est ouvert jusqu’au samedi 29 février, à 90- au lieu de 120- sur le lien suivant:

Pour tout savoir, et pour réserver votre place, voici le lien.

Sport et performance avec Angélique

La seconde occasion, nous vous la proposons avec Angélique Tefenkgi, avec une approche inédite de la performance et de l’état d’esprit, à travers des parallèles avec le sport de haut niveau.

Hackons la mode avec vous tous !

La troisième occasion, ce sera le samedi 21 Mars au Campus Biotech, le temps d’un hackathon sur la mode durable pendant le festival d’innovation ouverte Open Geneva. L’évènement est gratuit pour les participants, l’inscription est obligatoire sur ce lien, qui vous permettra de mettre en lumière votre profil et de découvrir les challenges que nous vous proposons de relever.

Vous pouvez aussi nous soutenir en devenant sponsor. Il suffit de me contacter pour en savoir plus.

Bref, un magnifique printemps en perspective, j’espère que nous pourrons nous voir lors de ces séminaires.

Parce que 3 pilotes valent mieux qu’un !

Pour bien commencer cette nouvelle décennie, prenons le temps de faire le point pour établir le bon constat sur la performance de votre organisation.

Nous vous proposons trois regards externes et singuliers sur la performance de votre organisation !

  • Avez-vous la bonne feuille de route pour les prochaines années ?
  • Etes vous entouré du bon équipage ?
  • Les valeurs, les données et les analyses des causes de succès et d’échecs sont-elles bien en place ?

Parce que la destination des entreprises est multiple, parce que le « code du business » évolue très vite, parce que les routes de la performance sont encombrées et surtout parce que la vision des dirigeants n’est plus assez claire… une mise à jour de votre permis de conduite des entreprises s’impose ! Les Pilotes Exécutifs se réunissent en comité, Hendrick Monnier sera votre co-pilote en charge du management et du capital humain aux côtés de Laurent Tauriac notre co-pilote expert en maturité financière. J’interviendrai sur la cohérence et l’organisation stratégique.

Crédits photographies: Tomek Gola

N’hésitez plus, foncez pour acheter votre billet pour cette belle soirée du 11 mars 2020 à Genève et participer à cette première soirée, vous pouvez réserver votre place en cliquant sur ce lien.

Remerciements: Tesla Genève pour les test-drives du Model 3 mémorables et Tomek Gola pour la qualité incroyable de toutes les photos créatives et de tous les portraits.

Collaborer, mythe ou réalité ?

Peut on collaborer sur tout ? Oui, on peut collaborer sur tout, mais pas avec n’importe qui (clin d’oeil évidemment à Coluche, on a les références qu’on peut).

De pair à pair ? Ok, mais pas avec toi !

Tout le monde parle de l’économie collaborative au niveau « macro », c’est certain, cela va être un carton, oui mais personne ne nous a vraiment bien expliqué comment collaborer au niveau « micro ».

A l’heure où l’on voit bien que nous allons devoir collaborer de plus en plus plutôt que d’entrer en compétition systématique, où l’on se rend compte que les modèles économiques qui reposaient sur une asymétrie de l’information, ou un accès privilégié aux ressources naturelles, doivent se réinventer, et où intelligence artificielle, blockchain, automatisme et objets connectés prennent une place grandissante dans notre vie, comment faire pour bien s’entourer ? Avec qui allons-nous être compatible, complémentaire et avec qui allons nous avoir envie et plaisir à collaborer ?

Qui es-tu bel(le) inconnu(e) ? Es-tu compatible et complémentaire avec moi ?

Jusqu’à présent, il était clairement établi que l’on ne choisissait pas les personnes avec qui on travaille, ni son chef, ni ses collègues, ni ses clients. Il faut faire avec. Mais, cela, c’était avant !

Désormais, nous tendons vers une société où nous serons toutes et tous, à la fois plus indépendants, plus résilients, mais vraisemblablement moins fidèles à nos employeurs, car moins fidélisés.

Dès lors, trouver les bons associés, les bons amis, les bons partenaires devient encore plus important.

Comment faire pour trouver les bons et les garder ?

Comment les chercher, comment les trouver, comment se mettre d’accord et comment durer ensemble pour former une belle équipe d’associés.

Vaste question, large débat.

Les modèles d’association et autre pacte d’actionnaire existent depuis bien longtemps, mais ce n’est pas de cela dont il s’agit.

Pour que l’économie soit collaborative, il faut trouver les bonnes personnes avec qui on peut collaborer.

Ce n’est pas uniquement une question de proximité. Ce n’est pas uniquement la fréquentation d’un même lieu qui va tout faire et qui va permettre la collaboration. Les lieux, aussi agréables soient-ils, ont par ailleurs aussi des hauts et des bas, voir ce qui arrive à WeWork. Nous pensions qu’ils allaient manger tout cru tous les espaces sympas de coworking, il y a quelques mois, et les voilà en difficulté.

Alors les réseaux sociaux peut-être? Le monde virtuel créateur de lien. Et bien, non. N’importe qui contacte n’importe qui d’autre pour tout un tas de mauvaise raisons, notamment pour leur vendre ce qu’ils n’ont pas vraiment demandé. Il suffit de payer un peu pour pouvoir envoyer un message direct à quasiment n’importe quelle personne cible dans LinkedIN. Sans présentation, sans intermédiaire, sans briser la glace, sans même devoir prendre un café !!!

C’est sans doute beaucoup plus subtile que cela. Trouver les bonnes personnes (de préférence) avant de s’associer, c’est en fait un travail de longue aleine. C’est de plus en plus complexe et multi-dimensions et c’est précisemment pour cela que cela devient intéressant.

Etre 100% nomade et sans attache alors ? Et bien, non plus. Voir les mésaventures de The Shared Brain, uberisateur uberisé ? pourtant super prometteur à leurs débuts.

Il doit bien y a quelques pistes intéressantes pour ne pas se tromper. Je pense notamment à The Slicing Pie pour proposer une méthode fair et équitable pour s’associer.

Ah oui, en plus de trouver les bonnes personnes, il faut aussi que le modèle collaboratif (contribution & rétribution) soit équitable, sinon, personne n’a envie d’être le dindon de la farce. Ensuite il faut se mettre d’accord sur les rôles, les responsabilités. Après cela ne fonctionne quasiment jamais comme prévu…

Bref, tout cela pour dire que je n’ai pas encore trouvé la solution. En design thinking, j’ai appris que ce n’est pas grave, et que l’essentiel, c’est de passer plus de temps dans la phase d’empathie. Finalement, cette phase d’empathie est plutôt agréable, voire carrément très agréable.

On rencontre des personnes toutes plus intéressantes les unes que les autres. C’est en tout cas ce qui m’arrive en 2019, et c’est super agréable !

Notamment en cette période de rentrée avec notamment notre petit groupe de réflection sur les communautés d’intérêt, et de valeurs, la mise en place de la SBA Suisse, l’organisation du Global Goals Jam à Genève, le déplacement à Thessalonique pour les Open Living Lab Days, l’initiative Isynnov, le Living Lab de Mobilité Douce SnailMobLab, le hackaton, le défilé de mode éthique et responsable, la célébration du bicentenaire de l’ESCP à Genève, et tous nos petits groupes de travail secrets. Bref, un belle liste d’expériences magnifiques et de rencontres inspirantes. Pourvu que cela dure !

Et si le bon modèle, c’était chacun chez soi et on se rencontre quand on en a besoin ?

Tous indépendants ? tous autonomes ? tous interdépendants ? C’est probablement ce vers quoi nous nous dirigeons dans notre merveilleux monde des MeetUps, des start-ups, des scale-ups et des entrepreneurs (« wannabe », « dontwannabe » et « nottoosureyet » entrepreneurs).

Des associations de petits groupes à géométrie variable, le temps d’un projet qui se passe bien. Sans doute pas plus. Nous nous dirigerions donc vraisemblablement vers de nouvelles formes de collaboration. Finies les réunions inutiles et interminables (tant mieux), et découvrons ces milles endroits où nous allons réinventer le monde !

Une mauvaise expérience ? Arrêtons tout de suite et plus jamais cela.

Un ego surdimensionné, un mauvais payeur, un incompétent ? Aujourd’hui cela se sait très vite. Savoir qui éviter, c’est devenu aussi très important.

Evidemment que lorsque l’on croise quelqu’un et que cela se passe mal, on a désormais beaucoup plus de latitude pour ne plus jamais perdre de temps avec cette personne. (évidemment cela ne vaut que si ce n’est pas votre chef ou votre client principal), mais disons à minimum que nous pouvons chercher plus facilement des alternatives.

Une bonne expérience ? Cela donne envie de recommencer et d’aller plus loin dans la collaboration.

Alors que retenir de tout cela ? Faisons quelques hypothèses prospectives.

  • Peut-être que les nouvelles formes de gouvernance, plus horizontales, moins centralisées, plus participatives, plus simples, vont elles-aussi se développer et trouver leurs places. A condition que cela n’empêche pas d’avancer. N’a t-on pas trop entendu l’adage : « Tout seul, on va plus vite, ensemble on va plus loin. » Peut-être mais cela dépend aussi avec qui ? Aucune envie d’aller plus loin plus longtemps avec des personnes qui ne sont même pas drôles !!! C’est un peu comme choisir avec qui on va passer nos prochaines vacances. Vaut mieux bien s’entendre.
  • Peut-être que les communautés de valeur et d’intérêt vont se faire et se défaire plus rapidement, au fur et à mesure que l’on clarifie les visions que l’on croyait partagées, et que l’on explicite les divergences émergentes.
  • Peut-être aussi que les espaces d’innovation vont se remplir et se vider encore plus rapidement que ce que nous pensions.

Avant, nous travaillons pour un employeur toute sa vie, et on travaillait avec les mêmes collègues toute sa vie. Il fallait faire avec les bons et les moins bons ! Je ne sais pas si c’était la panacée, mais c’était en tout cas relativement stable et prévisible. Nous avions le temps de les évaluer, de es apprivoiser, de créer la relation de confiance et de trouver nos affinités dans le temps long.

Aujourd’hui, et sans doute encore plus demain, nous devons nous préparer à collaborer avec beaucoup plus de personnes différentes dans des temps beaucoup plus courts.

Alors comment choisir, comment filtrer, comment sélectionner ?

Les hard-skills ? CEO/CFO/CTO… ? Mouais. C’est bien mais cela ne suffit pas pour constituer une équipe de rock-stars. Cela implique que nous devons déveloper nos aptitudes de flexibilité et notre capacité à accorder sa confiance et à tolérer l’autre beaucoup plus vite, voire instantanément et a priori.

Là encore, pas certain que nous y soyons toutes et tous bien préparés.

Existe-t-il des canaux, des formations, des livres pour ne pas se tromper, pour faire les bons choix ? Plus important que du recrutement, plus important que de la prospection commerciale. Comment trouver l’oiseau rare, en qui avoir confiance ?

Et toi, quel est ton pipeline d’associés potentiels ?

Si choisir ses associés, c’est au moins aussi important que trouver son prochain client, comment mettre en place une veille active pour faire appel aux bonnes personnes au bon moment ?

Je rêve de trouver celles et ceux qui me font avancer, qui me font aller plus loin, et que je peux aider et soutenir. Et vous, comment vous y arrivez comment ? 🙂

Les 7 clés du succès d’un tiers-lieu vibrant un peu plus que les autres

A l’occasion d’un passage à Bordeaux, je ne pouvais pas manquer d’aller jeter un petit coup d’oeil au tiers-lieu référence du moment: Darwin. Imaginez une rive très industrielle, des friches, à proximité immédiate d’un centre ville cossu. Autrefois, personne n’aurait voulu s’y installer, désormais, c’est « the place to be » pour tout startuper qui se respecte.

Comment ce miracle économique se met-il en place ? Pourquoi cela séduit les millenials ? Ce modèle de tiers-lieu « bio/bobo/solidaire/local », est-ce réplicable ailleurs ?

Nous y sommes allés pour déjeuner et pour voir, et effectivement, c’était bel et bien vibrant !

1- Un lieu convivial dans lequel on peut manger et boire local et bio.

Impossible de manquer le magazin général, l’épicerie bio (et plutôt chère) et le restaurant/bar/café de ce site. Nous y avons mangé, on a pu tester la bière bio et locale, la « Darwinbeer », le friz cola local et militant, une formule végétarienne et bio (évidemment), et le fameux « Darwin » Burger 🙂 que nous avons pu payer avec la monnaie locale.

La café est torrefié sur place, et le vin de Bordeaux coule à flot au milieu d’une belle sélection d’objets vintage (flipper, moto, scooter, lampes…)

 

2- Le skateboard « roi »

Très impressionné par les infrastructures en bois pour le skatepark d’intérieur (les pipes sont impressionnants) et le bol d’extérieur en béton pour les skates et les trotinettes, qui se mèlent joyeusement avec des bancs et des tables de récupérations, et un sauna solaire (dans tous les sens du terme!).

La mobilité douce est au coeur de l’espace, aucune voiture ne circule, et c’est très rassurant pour visiter le site à vélo et/ou avec des enfants. Notamment par les temps qui courent.

3- Le sport, ingrédient de la qualité de vie sur site.

On peut faire du skate (on a compris), mais on peut également y faire du sport, du baby-foot, du basket, du yoga, de la zumba, du piano, de la gym, de la méditation… avant de pouvoir se détendre dans des endroits de convivialité vintage.

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4- Le Street-Art est partout

Difficile de trouver un mur non taggué, et finalement, cela donne un tout plutôt cohérent et disons-le très réussi. Cela m’a rappelé certains quartiers et squats de Berlin dans les années 90 (Prenzlauerberg, Kreuzberg, Mitte) juste après la chute du mur. Quartiers devenus aujourd’hui incontournables économiquement.

 

5- Des pros du marketing et de la com, critère clé de succès

Tout dans la décoration, dans la signalétique, dans la sélection des objets vintage a été soigneusement choisi. Rien dans le style n’est laissé au hasard. Même la vieille goutière est devenu un support publicitaire pour les autocollants des start-ups !

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Ici règne l’esprit « bobo-hipster-steampunk-à chiens » et tout est fait pour attirer les « startupers millenials » dans le coup, sensibles à la cause environnementale et recyclage. Assez bizarrement il n’y a pas de fablab, sur le site, mais l’esprit DIY y est néanmoins invoqué, et les déchets à recycler et revaloriser sont visibles.

6- Une conciergerie « prestataire de services »

Les business-centers n’ont plus qu’à bien se tenir, que ce soit à l’accueil où le catalogue de services est très clair, ou dans les espaces de co-working sécurisé à l’étage, il y a tout ce qui faut pour développer sa startup, surtout si elle a du sens.

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On croise notamment des agences de com, des startups d’e-santé, des prestataires d’externalisation RH, helloasso (que nous connaissons bien!), la plateforme de paiement des associations, du mobilier design, des salles de réunion flexibles et modulables, (quand l’une s’appelle « Meta », celle d’à coté s’appelle « morphose »!), du mobilier pro familier.

 

7- Une programmation qui a du chien

Une grande salle permet l’organisation de grands concerts. La prochaine accueillera Franz Ferdinand et d’autres groupes célèbres à l’occasion du prochain festival Ocean Climax, du 7 au 10 septembre 2017 pour une éco-mobilisation de rentrée, forte.

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Le lieu devrait vibrer encore un peu plus à cette occasion.

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Alors, finalement, est-ce un modèle ? Peut-on le répliquer ? Quelles sont les recettes qui marchent pour redonner vie à un site qui avait a priori tout contre lui ? Quels enseignements pour les autres espaces qui cherchent à se métamorphoser ?

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Tout semble indiquer que le lieu (la friche industrielle d’une caserne désaffectée immense), le quartier (une rive sous-estimée dans une ville coupée en deux par la Garonne, avec peu de ponts), et surtout les personnes qui ont créé cette communauté sont uniques. Pourtant, des projets de répliquer Darwin ailleurs, (notamment à Lyon), sont dans les cartons. Il y a assurément des bonnes idées derrière tout cela.

Après tout, il y a sans doute d’autres friches industrielles à métamorphoser, non ?

 

 

 

4 choses à savoir pour développer vos affaires dans le Grand Genève

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Vous souhaitez démarrer votre activité ou l’étendre en Suisse ou en France ? Ni trop tôt, ni trop tard. C’est un investissement conséquent en temps, et un risque certain à assumer. Nous vous conseillons dans les moments clés sur vos choix importants (votre stratégie, la meilleure forme juridique pour réaliser votre projet, le choix de la localisation d’enregistrement). Si vous cherchez une solution clé en main, rapide et flexible, vous frappez à la bonne porte !

Augmenter votre crédibilité pour augmenter vos ventes

Pour vos clients, partenaires et fournisseurs, pouvoir disposer d’une adresse postale, d’une adresse de gestion, d’une domiciliation, d’un numéro de téléphone local (ligne classique ou VOIP), ou d’un bureau de représentation professionnel avec des personnes qui connaissent le marché local, pourra vous permettre de voir de nouvelles portes s’ouvrir.

Trouver le bien immobilier approprié

La recherche de locaux dans une zone où le prix de l’immobilier peut être très élevé, est un facteur clé de succès de votre implantation, c’est souvent la première ligne de coût fixe. Nous avons des solutions modulaires pour vous aider à démarrer. Si vous souhaitez être orienté dans votre recherche de locaux (bureaux, coworking, fablab, living lab, sites de production, sites de stockage) ou dans votre recherche de services et de compétences, nous sommes là pour vous appuyer.

Gérer votre filiale pour vous aider à croître mieux

Vous souhaitez vous implanter dans le Grand Genève, nous pouvons vous aider en vous facilitant les démarches administratives (tenue de la comptabilité, tenue de comptes, bonne gestion fiscale et conformité aux lois locales sur le travail, bonne gestion salariale, récupération de la TVA, représentation fiscale).

Pour toute information, et pour ne pas rester seul dans ces démarches, n’hésitez pas à nous contacter par email (yveszieba@gmail.com) pour planifier un appel gratuit.