J-7 pour encore plus de durabilité de la part des TPE/PME dans le canton de Genève
Si vous avez une TPE ou une PME; c’est une opportunité en or pour vous lancer dans un processus d’amélioration de votre approche de la durabilité ou pour aller plus loin dans vos engagements.
Le programme « Diagnostic-action » de la DG DERI (Direction générale du développement économique, de la recherche et de l’innovation) permet aux bénéficiaires, les TPE et les PME basées dans le Canton de Genève, dès cet été, de profiter d’un accompagnement sur mesure afin de vous adapter aux enjeux actuels de la durabilité: diagnostic à 360° suivi de propositions de mesures concrètes et d’un plan d’action.
Pourquoi postuler ?
Voici 6 bonnes raisons de répondre à cet appel et autant de raisons de saisir cette opportunité maintenant.
– Contribuer à l’effort collectif contre le réchauffement climatique et la perte de biodiversité terrestre et marine
– Développer l’image de votre marque employeur et l’image d’une entreprise responsable et engagée
– Assurer la pérennité stratégique et financière de votre PME / TPE
– Attirer et retenir vos employés, collaboratrices, collaborateurs et partenaires, tous vos talents de plus en plus en quête de sens
– Crédibiliser votre démarche et vous différencier par rapport aux praticiens du greenwashing, en mettant vos propos en cohérence avec votre action.
– Anticiper l’évolution des normes, des réglementations et de la législation sur le plan environnemental pour avoir un coup d’avance sur vos concurrents.
Quand postuler ?
Il reste encore une semaine, jusqu’au 14 mai, pour postuler au programme « Diagnostic-action » de la DG DERI.
Vous pouvez indiquer que vous venez de la part de Syntezia Sàrl pour que votre entreprise et vous soyez accompagné.e par un des experts de l’équipe de cette entreprise genevoise, spécialisée dans la durabilité et la décarbonation.
La première fois que l’on a évoqué la neuro-diversité, c’était lors d’un dialogue avec une amie qui prépare un programme d’entrepreneuriat, et souhaite le rendre unique et singulier. C’est vrai qu’il y a tellement de vrais-faux incubateurs / accélérateurs avec des vrais-faux coachs / experts que l’on a du mal à s’y retrouver ou à évaluer le réel apport. Lorsqu’elle a évoqué le principe de neuro-diversité, en lien avec l’innovation et l’entrepreneuriat, cela a fait tilt. Je me suis dit, il faut que je me renseigne.
L’intelligence est-elle unique ?
Cela ferait un bon sujet d’épreuve de philosophie, c’est d’actualité. A l’heure ou on peut réviser l’essentiel de la philosophie sur TikTok (quand les professeurs sont absents ou juste ennuyeux), et à l’heure où l’intelligence artificielle peut faire parler Socrate, Platon, Kant, Descartes et autres grands penseurs, se poser la question des différentes formes d’intelligence et de leur utilité pour innover ou entreprendre, m’a semblé pertinente. Mais évidemment, comme les intelligences ne se voient pas, comment les identifier, les évaluer, les développer, les faire grandir pour en faire un atout dans le cadre d’une initiative d’intrapreneuriat, d’entrepreneuriat ou de projet innovant au sein d’une structure existante ?
Comment détecter l’invisible ?
Lorsque qu’on évoque la diversité, on pense spontanément à la couleur de peau, au genre ou à l’âge.
On voit bien l’intérêt des langues ou des cultures, des soft skills et des hardskills pour aiguiser la curiosité et la soif de découverte des équipes pluri-disciplinaires.
Il est plus rare de penser spontanément à la neuro-diversité.
Pourquoi les avancées en neuroscience ne se répercutent pas plus vite dans le monde académique et professionnel ?
Ne passe-t-on pas à côté d’une opportunité en or, et d’une belle chance pour l’équipe que l’on constitue ?
Comment aborder cette question en terme d’identification de compétences ou d’évaluation de potentiel ?
Après avoir eu la chance de travailler avec de nombreuses équipes, j’observe que certains sujets sont pris en considération comme critère de diversité et d’inclusion, et d’autres moins.
Même si nous croisons encore souvent des équipes de « copycat », de personnes qui ont à peu près le même profil, des anciens collègues, ou des personnes qui ont les mêmes écoles, le thème des équipes interdisciplinaires commence à faire son chemin, et celles et ceux qui ont tenté de constituer des consortiums ou des équipes pluri-disciplinaire, à travers plusieurs pays et plusieurs cultures, mentionnent régulièrement la richesse des échanges comme source de satisfaction, dans les évaluations annuelles à la clôture des projets ou des évènements.
En ce qui concerne la neuro-diversité, je l’ai moins croisée, (ou alors je ne l’ai pas remarqué !) et le sujet m’intéresse, j’ai envie de creuser.
Celles et ceux qui ont déjà enseigné, communiqué ou sensibilisé sur un sujet ou un autre, se rendent compte que quel.le que soit le sujet, et quel.le que soit la façon de le transmettre, certain.e.s personnes comprennent, d’autres pas ou pas aussi vite. On peut être plus ou moins intéressé par la matière, plus ou moins réceptif à certains messages, à certains contenus ou à certaines méthodes pédagogiques.
Cette hétérogénéité des préférences (ma façon préférée d’apprendre n’est pas la même que la tienne) entraîne une hétérogénéité des besoins d’apprentissage.
C’est bien pour cela que je suis un adepte de la Conception Universelle des Apprentissages.
Je vois bien l’intérêt d’expliquer de façon différente la même chose, précisément en réponse à cette hétérogénéité des besoins et des préférences de mes interlocutrices et interlocuteurs. C’est moins répétitif, plus varié et de façon pragmatique bien plus efficace.
Entre les merveilles des méthodes pédagogiques modernes, les avancées des technologies adaptatives, et ce que nous apprenons chaque jour des avancées en neuroscience, comment s’en saisir de façon concrète et pragmatique ?
Est-ce que cela peut devenir un principe d’inclusion ?
Comment le faire vivre au quotidien ?
Comment y penser la prochaine fois que l’on recrute, que l’on constitue une équipe ou un consortium ?
Comment monitorer ou mesurer les effets positifs et les éventuels challenges de la neurodiversité ?
L’approche permet-elle de réduire le nombre des équipes qui éclatent ou se disputent sans vraiment savoir pourquoi ? (si oui, imaginez le potentiel de cette opportunité…. Combien de projets ou d’initiatives s’arrêtent en raison des conflits interpersonnels ?).
Nous partageons avec vous ces quelques ressources qui nous ont inspiré pour aller un peu plus loin sur le sujet.
Dans cet article, on revient sur la théorie des intelligences multiples (Gartner) et on reprend la définition de la neurodiversité, comme concept créé par Judy Singer, psychologue et sociologue lors de l’écriture de sa thèse dans les années 1990 afin de désigner la diversité des profils cognitifs humains. Elle pose notamment que, comme la biodiversité est essentielle à l’équilibre de notre planète, la neurodiversité est essentielle à l’humanité.
Moi qui suit adepte des équilibres (géopolitiques, gouvernance) et du Ying et du Yang, cela m’a bien plu comme parallèle.
Et en ces temps troubles de guerre et de tensions liées aux changements climatiques, politiques, monétaires et sociologiques, quelques grammes d’équilibre ne devrait pas nous faire de mal.
Différent selon qui ?
Qui es-tu pour soutenir que je suis différent ? Selon quelle norme ?
Ou pour le dire plus directement, qui es-tu pour me juger ?
En creusant un peu, je suis tombé sur ce rapport de 140 pages d’HEC Montreal, qui pose les bonnes questions, et soulèvent les aberrations de la norme, surtout lorsqu’elle est abusivement utilisée pour exclure. En observant les pratiques et leurs divergences, notamment les différences entre les pratiques d’inclusion professionnelle existantes et la théorie de la neurodiversité, j’ai trouvé que c’était une bonne piste de réflexion pour toute organisation qui souhaite s’engager sur la route de la DEI (Diversité, Equité, Inclusion).
Et comme je ne souhaitais pas m’arrêter là, j’ai cherché des pistes innovantes à la croisée de chemin entre les disciplines (c’est souvent là que je trouve mes petites pépites !)
Bref, me voilà convaincu et déterminé, c’est décidé, nous allons désormais expérimenter la neuro-diversité à chaque occasion pour en faire une force.
Concrêtement, comment vais-je mettre en avant cette vision sur la neurodiversité ?
La façon la plus immédiate pour moi, est de créer les occasions de rencontres entre les personnes avec des parcours et des compétences variés ou atypiques, pour observer ce qu’il en ressort.
Evènement, réseautage, ou invitation thématique en petit groupe, je vais varier les formats pour varier les plaisirs.
Pour inclure la neuro-diversité dans un projet en cours, je vais par exemple inclure des profils très variés dans une réponse à un appel à projet sur la durabilité. Le sujet est complexe, on parle de « weaked problem », nous avons dans une certaine mesure quelques clés avec des méthodes et des outils, mais la richesse viendra des échanges.
Et vous, comment avez-vous mis en place la diversité dans votre organisation ?
Quels exemples réussis souhaitez-vous partager ?
A quels défis de DEI (diversité, équité, inclusion) êtes-vous confrontés ?
Comment comptez-vous vous saisir de cette chance à l’avenir ?
Que la force de la neurodiversité soit avec toi !!!
(et dis-nous comment tu fais en commentaire, on a soif d’apprendre !)
Les vacances se terminent, (snif, snif…) et c’est désormais le moment d’organiser les emplois du temps. Qui va emmener les enfants le matin, qui ira les chercher le soir, comment gérer le jeudi, lorsqu’il y a un trou de 3 heures sans cours, pour notre petite dernière…
Au moment où nous effectuons nos courses de rentrée scolaires, et où nos enfants se demandent si ils/elles seront dans la même classe que leurs amis de l’année dernière, et si ils auront la chance de ne plus avoir ce proesseur si terrible de l’an dernier, une autre question se pose :
avons-nous appris des erreurs ou errements du passé ? Les écoles privées ou publiques, ont-elles améliorer leur performance digitales ?
allons-nous revivre ces scènes de visio-conférences qui ne fonctionnent pas à la prochaine obligation de confinement ?
le cyber-harcèlement, que l’on dit en progression fortement inquiétante, va-t-il faire son entrée dans les smartphones de nos enfants ?
Toutes ces questions, parents et enfants se les posent légitimement.
Simple, efficace et moderne.
Du coté des institutions (Crêches, jardins d’enfants, écoles, cycle1, cycle2, cycle3, collèges, lycées…), c’est aussi l’heure de la rentrée. Avouons-le, souvent l’ « informatique » n’est pas toujours le point fort des équipes, combien de tablettes inutilisées, ou de logiciels qui ne fonctionnent plus comme on le souhaiterait ?
L’ENT ou l’Ecole Directe ou tout autre système d’administration et de communication, permettra-t-il de répondre aux attentes de ce nouveau monde digital ?
Pour les établissements, ces questions du numérique sont devenues stratégiques. Rater ce virage, c’est passer pour l’arrière garde de l’éducation, c’est avoir un temps de retard, et c’est finalement ne plus attirer les meilleurs enseignants. A terme, ce sont les parents et les enfants qui partent, si l’institution n’est pas à l’avant garde sur ces sujets du numérique.
Souvent, c’est la multitude des systèmes, et leurs complexités qui s’additionnent, qui sont l’une des causes du problème.
Alors que faire ? Changer de système informatique ? Mettre à la poubelle l’ENT ou l’EcoleDirecte ou ce système interne qui date de quand déjà ????
Oulala, cela pourrait être compliqué. Je ne sais pas si le développeur pourrait nous le faire ? Et puis, on a toujours fait comme cela ici !
Ce genre de commentaires (parfois de la bouche même de la direction) peut faire des ravages sur la réputation de l’établissement. Clairement, si la direction de l’école n’a pas un discours de modernité sur le numérique, nous n’allons pas leur confier l’avenir de nos enfants.
Quelle école n’a pas un enfant doué en numérique dans ses classes, ou un parent d’élèves un peu observateur, qui va vite repérer ce que l’école fait correctement ou au contraire, ce qu’elle fait d’un peu « ringard » en terme de pratique pédagogique et de logiciels.
Une expérience utilisateur ratée, et c’est potentiellement les inscriptions de l’année suivante qui plongent.
Pendant la première crise de la COVID19, on a pu se cacher derrière l’effet surprise, désormais, ce joker n’existe plus, et les attentes (légitimes) des parents et des élèves sont plus présentes que jamais.
Un nouveau camouflé ne pardonnera pas !
De coté des bonnes nouvelles, la technologie évolue, et il est maintenant possible de faire mieux et de gagner sur tous les fronts. Un système plus simple, une interface plus agréable pour satisfaire tout le monde, pour un prix qui fait du bien au cash flow de l’école.
Cette solution unique remplace généralement entre 5 et 8 systèmes existants, et permet de passer à une nouvelle ère.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.