Management et Droit : Clés de la Transformation Durable

Pourquoi management et droit sont au cœur de la transition

La transformation durable des entreprises ne repose pas uniquement sur l’innovation technologique ou la finance verte. Deux métiers, souvent perçus comme des fonctions de support, se révèlent aujourd’hui stratégiques : le management et le droit.
Ces disciplines, en apparence traditionnelles, deviennent de véritables leviers de changement capables de bâtir des modèles économiques plus résilients, éthiques et respectueux de l’environnement.

Le rôle central du responsable RSE

Parmi les figures clés de cette transformation se trouve le Responsable RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises).
Véritable chef d’orchestre, il intègre les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans l’ensemble des activités de l’entreprise.
Parmi ses outils phares :

  • Le Bilan Carbone, qui permet de mesurer et réduire l’empreinte environnementale.
  • Le Reporting Extra-Financier, qui élargit la notion de performance au-delà des seuls indicateurs financiers.

Ces instruments transforment la RSE en une stratégie globale de durabilité, impactant la culture, la gouvernance et les résultats de l’entreprise.

Le droit de la transition : bien plus que de la conformité

Le droit joue un rôle fondamental dans la transformation durable.
Les juristes en droit de l’environnement et les avocats spécialisés ne se limitent plus à garantir la conformité. Ils deviennent de véritables conseillers stratégiques.
Leur mission :

  • Aider les organisations à naviguer dans un cadre réglementaire de plus en plus dense et complexe.
  • Transformer le droit en outil de protection de l’environnement.
  • Utiliser la contrainte réglementaire comme levier d’innovation et de compétitivité.

Ainsi, le droit s’impose comme un accélérateur de transition, au même titre que les innovations managériales.

Des compétences hybrides pour des métiers d’avenir

Pour réussir dans ces domaines, l’e-book met en avant l’importance de l’hybridation des compétences :

  • Techniques : comptabilité carbone, droit environnemental, gestion des données extra-financières.
  • Humaines : leadership, communication, gestion du changement, capacité d’influence.

Cette alliance de savoirs “durs” et de soft skills est la clé pour devenir un acteur du changement.

Pour qui est cet ouvrage ?

  • Jeunes diplômés en quête de sens et d’impact.
  • Professionnels en reconversion désireux de rejoindre les métiers du futur.
  • Managers qui veulent intégrer la durabilité dans leurs pratiques.

Cet e-book est un guide inspirant et pragmatique pour comprendre les enjeux, découvrir les outils et s’inspirer de ceux qui sont déjà à l’avant-garde de la transition.

S’inspirer pour agir

Le management et le droit ne sont pas de simples supports, mais les piliers invisibles de la transformation durable.
Cet ouvrage vous donnera les clés pour comprendre, agir et impulser le changement.
En explorant ces métiers stratégiques, vous découvrirez comment ils deviennent les véritables catalyseurs de la résilience et de l’innovation au sein des organisations.

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L’Économie Circulaire : Vers un Avenir Durable

L’économie circulaire vise à rompre avec le modèle linéaire « extraire, fabriquer, consommer, jeter » en créant un système plus durable qui minimise le gaspillage et maximise la valeur des ressources. Plutôt que de voir les produits en fin de vie comme des déchets, elle les considère comme des ressources pour de nouveaux cycles de production. Cette approche se matérialise à travers plusieurs modèles économiques distincts, chacun ayant ses propres spécificités. 🔄


Qu’est-ce qui rend ces modèles uniques ?

Ce qui rend les modèles de l’économie circulaire si singuliers, c’est leur capacité à créer de la valeur tout en réduisant l’impact environnemental. Ils ne se contentent pas d’améliorer l’efficacité, ils changent les règles du jeu. Voici ce qui les distingue fondamentalement du modèle linéaire traditionnel :

  • De la propriété à l’usage : On passe de la vente d’un produit à la vente de son service. L’entreprise reste propriétaire du bien et est donc incitée à concevoir des produits plus durables et réparables. Cela prolonge la durée de vie des produits et réduit la nécessité de produire de nouveaux articles.
  • La boucle fermée des matériaux : Au lieu de jeter les produits, les entreprises s’organisent pour les récupérer en fin de vie afin de réutiliser, réparer, reconditionner ou recycler leurs composants. Cela crée des boucles de matériaux qui réduisent la dépendance aux matières premières vierges.
  • La création de valeur multiple : Les modèles circulaires ne se limitent pas à la valeur économique. Ils génèrent aussi une valeur environnementale (moins de déchets, moins de pollution) et sociale (création d’emplois locaux, développement de nouvelles compétences). Cette vision holistique du profit est au cœur de l’économie circulaire.
  • La collaboration et la relocalisation : Ces modèles favorisent la collaboration entre les acteurs économiques (écologie industrielle et territoriale) et encouragent les circuits courts. Cela renforce la résilience des économies locales et réduit les coûts logistiques et l’empreinte carbone liés au transport.

Les principaux modèles économiques circulaires

L’économie circulaire ne repose pas sur un modèle unique, mais sur une panoplie de stratégies qui peuvent être combinées.

1. L’économie de la fonctionnalité (ou de service)

Ce modèle est sans doute l’un des plus emblématiques. L’entreprise ne vend plus un produit, mais un service associé à son usage. Par exemple, au lieu de vendre des ampoules, une entreprise vend de la lumière. Cela l’incite à produire des ampoules plus durables, car elle est responsable de leur entretien et de leur remplacement. C’est un changement de paradigme complet qui aligne les intérêts de l’entreprise avec ceux de l’environnement et du consommateur.

2. L’éco-conception

Ce modèle se concentre sur la phase de conception des produits. Il s’agit de penser l’ensemble du cycle de vie d’un produit dès le départ pour minimiser son impact. Cela inclut le choix de matériaux durables, recyclables ou biodégradables, la facilité de démontage pour la réparation et le recyclage, et la réduction de l’énergie et des ressources nécessaires à la fabrication. L’éco-conception rend les autres modèles circulaires possibles.

3. L’écologie industrielle et territoriale (EIT)

Ce modèle s’inspire des écosystèmes naturels. Les entreprises d’un même territoire partagent leurs ressources et leurs « déchets » pour les valoriser. Les rejets d’une usine deviennent les matières premières d’une autre. L’exemple de Kalundborg au Danemark est souvent cité : la chaleur résiduelle d’une centrale électrique chauffe les maisons de la ville voisine, tandis que les sous-produits d’une entreprise pharmaceutique servent d’engrais à des fermes locales.

4. Le réemploi, la réparation et le reconditionnement

Ces modèles visent à prolonger la durée de vie des produits et des composants. Ils incluent la vente d’articles d’occasion, les services de réparation (pour lutter contre l’obsolescence programmée) et le reconditionnement de produits usagés pour les remettre sur le marché comme neufs. Ces activités créent souvent des emplois locaux non délocalisables et offrent aux consommateurs des alternatives plus abordables et durables.

5. Le recyclage

Bien que le recyclage soit le pilier le plus connu, il est considéré comme la dernière boucle de la circularité. Il permet de récupérer la matière des produits en fin de vie pour en fabriquer de nouveaux. Cependant, l’économie circulaire vise à privilégier les boucles plus courtes (réemploi, réparation) qui préservent davantage la valeur des produits et nécessitent moins d’énergie.

Ces modèles ne sont pas des solutions isolées, mais des stratégies complémentaires qui, ensemble, peuvent transformer radicalement nos modes de production et de consommation pour un avenir plus durable. 🌱

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Réduire la dette française : stratégies et perspectives économiques

La quadrature du cercle : comment la France peut-elle réduire sa dette et relancer son économie ?

La France se trouve face à un défi économique majeur : réduire une dette publique massive sans étouffer la croissance. C’est une équation complexe, qui nécessite une approche équilibrée combinant la maîtrise des dépenses publiques et la relance de l’économie. Voici les leviers d’action pour relever ce défi.


Réduire la dépense publique : l’art de la sobriété budgétaire

Pour commencer, la France doit faire preuve de discipline budgétaire. Cela ne signifie pas simplement couper dans les dépenses au hasard, mais rendre la dépense publique plus efficace et ciblée.

Le gouvernement a déjà commencé à identifier des pistes dans des secteurs clés comme l’État, les opérateurs publics et la Sécurité sociale.

L’objectif est de s’assurer que chaque euro dépensé crée de la valeur.

Cela passe également par une rationalisation de l’État. Des réformes pourraient inclure une simplification des administrations locales et une mutualisation des services publics.

En d’autres termes, il s’agit de faire mieux avec moins de structures, en évitant les doublons et les inefficacités.

Enfin, une révision des transferts sociaux peut être envisagée. L’idée n’est pas de pénaliser les plus fragiles, mais d’encourager le travail.

En réorientant certaines aides, on peut inciter les individus à s’insérer sur le marché du travail, ce qui génère à la fois de la richesse individuelle et des recettes fiscales pour l’État.


Stimuler la croissance : le pari des investissements d’avenir

Si la réduction des dépenses est essentielle, elle n’est qu’une partie de la solution.

Le véritable moteur de la réduction de la dette est la croissance économique.

Une économie en bonne santé génère plus de revenus fiscaux, ce qui permet de rembourser la dette plus facilement.

Pour cela, il est plus pertinent de favoriser le travail plutôt que d’augmenter les impôts.

C’est un principe simple : plus de personnes qui travaillent et consomment, c’est plus de TVA et d’impôts sur le revenu qui entrent dans les caisses de l’État.

Des réformes qui encouragent l’emploi et l’activité sont donc au cœur de la stratégie.

La dette elle-même peut devenir un outil de croissance si elle est utilisée à bon escient.

C’est le principe des investissements ciblés.

Au lieu d’emprunter pour des dépenses courantes, la France peut s’endetter pour financer des projets d’avenir : la transition écologique, la numérisation de l’économie, l’innovation technologique.

Ces investissements sont des paris sur l’avenir qui, à long terme, renforcent la compétitivité et la résilience du pays.

Enfin, une gestion saine de la dette est cruciale pour attirer les investisseurs étrangers.

Une politique économique crédible rassure les marchés financiers et maintient le coût d’emprunt à un niveau bas pour l’État.

C’est une condition indispensable pour financer les grands projets sans alourdir le fardeau de la dette.

En résumé, l’avenir économique de la France repose sur un subtil équilibre.

Il s’agit de réduire les dépenses inefficaces tout en investissant dans les secteurs porteurs de croissance.

C’est en faisant preuve de rigueur budgétaire et d’ambition économique que la France pourra s’affranchir de sa dette tout en se construisant un avenir prospère.

La notion d’investissements ciblés, parfois appelés investissements productifs, est cruciale pour la France. Il s’agit d’utiliser l’emprunt public non pas pour financer des dépenses courantes, mais pour des projets qui vont générer de la richesse, de la croissance et des revenus fiscaux à long terme.

La dette devient alors un levier, et non un simple fardeau.


Les investissements publics ciblés : des paris sur l’avenir

Un investissement public ciblé est une dépense qui augmente la capacité de production d’une économie.

Il améliore la compétitivité d’un pays en créant un effet « multiplicateur » : chaque euro investi génère plus d’un euro de richesse.

Ces investissements sont la clé pour une croissance durable et pour le remboursement de la dette.

  • Exemples d’investissements ciblés :
    • Infrastructures stratégiques : Des projets comme la construction de réseaux de transport modernes (TGV, ports, aéroports), l’extension de la fibre optique ou la modernisation des réseaux électriques. Ces infrastructures sont essentielles pour le bon fonctionnement de l’économie.
    • Recherche et développement (R&D) : Financer la recherche publique, les universités et les pôles d’innovation. Ces investissements stimulent les découvertes et les technologies de demain.
    • Capital humain : Des dépenses dans l’éducation, la formation professionnelle et la santé publique sont des investissements dans le capital humain. Une population mieux formée et en meilleure santé est plus productive.

Les dépenses publiques qui ne sont pas des investissements productifs

À l’opposé, il y a les dépenses publiques qui, bien que nécessaires, ne sont pas des investissements productifs au sens strict, car elles ne génèrent pas directement de la richesse future.

Celles-ci doivent être gérées avec une grande rigueur pour éviter d’alourdir la dette sans retour sur investissement suffisant.

  • Exemples de dépenses non productives :
    • Dépenses de fonctionnement : Les salaires de la fonction publique, les dépenses administratives courantes ou l’entretien d’un parc de véhicules de l’État sont des dépenses de fonctionnement. Elles sont indispensables, mais ne créent pas de nouvelles richesses.
    • Transferts sociaux non ciblés : Certaines aides ou subventions qui ne sont pas conditionnées à une amélioration de la productivité ou à une insertion professionnelle.
    • Grands projets sans rentabilité avérée : La construction d’un bâtiment ou d’une infrastructure coûteuse dont la rentabilité économique ou l’utilité sociale sont discutables. Ces projets peuvent être des gouffres financiers sans réelle contribution à la croissance.

La distinction est parfois difficile. Par exemple, la construction d’un hôpital est à la fois un investissement (il crée un capital physique) et une dépense de fonctionnement (il faut le faire fonctionner).

Cependant, l’approche générale est que les investissements qui renforcent le potentiel de croissance future sont à privilégier, tandis que les dépenses courantes et les transferts qui ne génèrent pas de retombées économiques claires doivent être maîtrisés.

Cercle de Médiation : L’Art de Se Connecter

La nouvelle ère du réseautage : au-delà des cartes de visite


Si l’art de la réussite consiste à s’entourer des meilleur.e.s, alors le réseautage ne se limite plus à une simple accumulation de contacts. L’art de se connecter évolue. Aujourd’hui, on ne cherche plus seulement un réseau, mais une communauté. Une tribu. Et au cœur de cette transformation se trouvent les concepts de cercles de médiation, de communautés d’usage, d’intérêt et de valeur.

Ces notions ne sont pas de simples mots à la mode. Elles représentent un changement profond dans la manière dont nous bâtissons nos relations professionnelles et personnelles.

Qu’est-ce qu’un cercle de médiation ?

C’est un espace, physique ou virtuel, où les interactions ne sont pas directes. Elles passent par une tierce personne ou un sujet commun. La plateforme d’innovation ouverte de Syntezia Sàrl en est un excellent exemple avec ses 9 cercles de médiation. C’est l’activité partagée qui crée le lien, qui permet aux participants de se découvrir, de se connecter et de s’entraider naturellement, sans la pression d’un « réseautage » classique où chacun.e se présente avec un pitch.

Ces cercles sont d’une puissance incroyable pour des entrepreneurs ou des créateurs. C’est l’endroit parfait pour des collaborations inattendues, parce que les échanges se font de manière authentique, sans masque. On ne se présente pas comme « directeur de » ou « fondatrice de », mais simplement comme un être humain qui partage une passion.

Au-delà de l’usage : créer du lien et des valeurs

Le réseautage tel qu’on le connaît se concentre souvent sur l’usage. Je me connecte à cette personne parce que j’ai besoin de son expertise, ou parce qu’elle peut m’ouvrir une porte. C’est transactionnel. Utile, certes, mais limité.

Mais la véritable magie opère quand on passe aux communautés d’intérêt et de valeur.

  • Une communauté d’intérêt est construite autour d’un sujet commun. La communauté AgileNetup et ses groupes technologiques en sont une parfaite illustration. C’est un groupe d’individus qui partagent un même intérêt, le désir de s’entraider et d’évoluer ensemble.
  • Et au sommet se trouve la communauté de valeur. Là, ce n’est plus seulement l’intérêt qui nous unit, mais un ensemble de valeurs et de principes fondamentaux. C’est le sens que l’on donne à nos activités professionnelles. Dans un monde qui bouge vite, ces communautés de valeur offrent un ancrage, une raison d’être qui dépasse les succès individuels, comme c’est le cas pour la communauté des sustainable shapers de Hack Your Style qui promeut la mode et le luxe durable.

Êtes-vous prêt.e à passer du réseautage transactionnel à la connexion authentique ?

Et vous, qu’avez vous détruit cette année ?

Exnovation : La face cachée de l’innovation

On parle souvent d’innovation : de nouvelles technologies, de produits révolutionnaires, d’idées qui changent le monde. Mais pour qu’une nouveauté émerge, il faut souvent qu’autre chose disparaisse. C’est ce qu’on appelle l’exnovation, un terme encore peu connu mais essentiel pour comprendre les dynamiques de notre société.


Qu’est-ce que l’exnovation ?

L’exnovation est le processus délibéré ou non de mise à l’écart, de démantèlement ou d’abandon de technologies, de produits, de pratiques ou de systèmes obsolètes. C’est l’inverse de l’innovation. Alors que l’innovation crée, l’exnovation supprime. Elle est souvent une condition nécessaire à l’adoption de nouvelles solutions. Pensez au remplacement des cassettes VHS par les DVD, puis par les plateformes de streaming. Chaque nouvelle technologie a poussé la précédente vers l’obsolescence.


Pourquoi l’exnovation est-elle si importante ?

L’exnovation n’est pas qu’une simple conséquence de l’innovation ; c’est un moteur à part entière.

  • Libérer des ressources : En abandonnant une technologie ou une pratique, une entreprise peut réaffecter des ressources (financières, humaines, matérielles) vers des projets plus prometteurs. C’est ce qui a permis à Nokia, après l’échec de ses téléphones, de se concentrer sur ses infrastructures réseau.
  • Réduire les coûts et l’impact environnemental : Les vieilles technologies peuvent être énergivores et générer des déchets. L’exnovation permet de les remplacer par des solutions plus efficaces et plus durables. Le passage de l’éclairage traditionnel aux LED en est un excellent exemple.
  • Favoriser l’adoption : Un marché n’est pas infini. Pour qu’un nouveau produit perce, il faut souvent que les consommateurs et les entreprises arrêtent d’acheter l’ancienne version. L’exnovation est donc la clé pour ouvrir la voie aux nouveautés.

Les défis de l’exnovation

L’exnovation n’est pas un processus simple. Elle peut se heurter à de fortes résistances :

  • Inertie et résistance au changement : Il est difficile de convaincre les gens d’abandonner une pratique ou un produit qu’ils connaissent et apprécient.
  • Coûts initiaux élevés : Le démantèlement d’anciennes infrastructures et l’investissement dans de nouvelles technologies peuvent être très coûteux à court terme.
  • Impact social : L’abandon d’une technologie peut entraîner la perte d’emplois ou la disparition de savoir-faire spécifiques. C’est un enjeu majeur, notamment dans l’industrie.

L’exnovation dans notre quotidien

Ce concept ne se limite pas aux grandes entreprises. Nous l’appliquons sans nous en rendre compte : quand nous arrêtons d’utiliser un vieux logiciel pour en adopter un nouveau, quand nous recyclons nos anciens téléphones, ou quand une administration dématérialise ses services. L’exnovation est partout, façonnant le monde de demain en libérant les ressources d’hier.

Comprendre l’exnovation, c’est comprendre que le progrès n’est pas seulement une question de création, mais aussi de destruction créative.

C’est une étape nécessaire et complexe pour un avenir plus innovant et plus durable.

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Stratégies IA pour Dirigeants : Vers une Meilleure Performance

L’IA s’invite dans la salle du conseil : comment l’intelligence artificielle redéfinit le leadership

L’intelligence artificielle n’est plus une simple technologie d’automatisation. Elle est en train de devenir un véritable copilote pour les dirigeants, transformant la manière dont les décisions stratégiques sont prises, la performance mesurée, et la culture d’entreprise façonnée. Pour les PDG, cadres et autres décideurs, comprendre l’impact de l’IA n’est plus une option, mais une nécessité.

Au-delà de l’automatisation : l’IA comme catalyseur de performance

Historiquement, l’IA a été perçue comme un outil d’efficacité opérationnelle, reléguant les tâches répétitives et chronophages aux machines. Aujourd’hui, son rôle a radicalement évolué. L’IA apporte une nouvelle dimension au leadership en permettant d’analyser d’immenses volumes de données en temps réel, de détecter des signaux faibles et d’anticiper des tendances avec une précision inégalée.

  • Optimiser la prise de décision : Des tableaux de bord intelligents aux systèmes de prévision, l’IA offre une vision 360° de l’entreprise. En croisant les données financières, opérationnelles et de marché, elle permet de prendre des décisions plus éclairées et de réduire les risques.
  • Renforcer l’engagement des employés : L’IA peut également être utilisée pour comprendre les facteurs de satisfaction et de désengagement des équipes. En analysant les retours d’expérience, les sondages et les indicateurs de performance, elle aide à identifier les problèmes à la source et à proposer des solutions ciblées, renforçant ainsi la cohésion et la motivation.

Placer l’humain au cœur de la stratégie

L’intégration de l’IA dans la salle du conseil n’est pas une question de remplacer l’humain par la machine, mais bien d’augmenter les capacités humaines. L’expertise d’un dirigeant, son intuition et sa créativité demeurent irremplaçables. L’IA est là pour les amplifier.

Pour Yves Zieba, expert en transformation numérique, l’enjeu est de taille : « L’IA doit être un outil au service de l’humain. Elle peut aider à mettre en place un recrutement sans biais, ou encore à anticiper le désengagement d’un collaborateur pour agir de manière proactive. » C’est une approche qui met l’accent sur l’éthique et la durabilité, en veillant à ce que la technologie serve des objectifs alignés sur les valeurs de l’entreprise.

Une feuille de route pour les leaders

L’intégration de l’IA nécessite une stratégie claire et une gestion du changement efficace. La réussite ne se mesure pas uniquement à la performance technologique, mais aussi à la capacité à emmener les équipes dans ce nouveau voyage.

  • Éduquer et former : Il est crucial de former les équipes aux nouvelles technologies et de les sensibiliser à leurs bénéfices.
  • Expérimenter de manière ciblée : Commencez par des projets pilotes à petite échelle pour valider les cas d’usage avant de les généraliser.
  • Prioriser l’éthique : Établissez des principes clairs pour l’utilisation de l’IA afin de garantir la transparence, l’équité et le respect de la vie privée.

Pour approfondir le sujet, nous vous invitons à découvrir le guide stratégique d’Yves Zieba, un e-book incontournable pour les dirigeants qui souhaitent non seulement suivre la révolution de l’IA, mais la mener.

Découvrez comment l’IA peut propulser la performance, renforcer l’engagement et placer l’humain au cœur de votre stratégie.

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7 leviers pour retenir vos talents à l’ère de l’IA

Rétention des talents à l’ère de l’intelligence artificielle : données, cas concrets et mode d’emploi pour dirigeants

Pourquoi agir maintenant ?

L’intelligence artificielle (IA) transforme radicalement le monde du travail. Selon McKinsey, d’ici 2030, jusqu’à 30 % des heures de travail pourraient être automatisées. Cela oblige les entreprises à réinventer leurs stratégies de gestion des compétences et de fidélisation des talents.
Parallèlement, LinkedIn a montré que les entreprises avec une forte culture d’apprentissage enregistrent +57 % de rétention et +23 % de mobilité interne. Or, 40 % des dirigeants estiment que leurs équipes devront être requalifiées d’ici 3 ans pour rester compétitives.

Dans ce contexte, la rétention des talents ne consiste plus seulement à proposer de bons salaires, mais à bâtir un écosystème d’apprentissage, de mobilité et de sens, où l’IA devient un allié.


Exemples concrets d’entreprises

Unilever – Un marché interne des talents alimenté par l’IA

L’entreprise a déployé « Flex Experiences », une plateforme interne de talents basée sur l’IA. Résultat : des milliers d’heures « libérées », une mobilité accrue, et un engagement renforcé des 65 000 collaboratrices et collaborateurs concernés.

Schneider Electric – Former massivement à l’IA

En 2024, Schneider a formé 48 000 employé·e·s via sa Data & AI School, avec plus de 138 000 cours complétés. L’objectif : démocratiser l’IA, développer la « data literacy » et favoriser la mobilité interne.

Amazon – « Upskilling 2025 »

Avec un investissement de 700 millions de dollars, Amazon a entrepris de requalifier 100 000 employé·e·s vers des métiers d’avenir (IA, robotique, santé). Ce programme d’upskilling massif a permis de retenir des talents qui, autrement, auraient quitté l’entreprise.


7 leviers de rétention à l’ère de l’IA

  1. Cartographier les compétences
    Identifier les compétences critiques et « adjacentes » pour créer des passerelles de carrière.
  2. Institutionnaliser l’apprentissage continu
    Proposer du micro-learning, des droits formation « always-on », et du temps dédié.
  3. Activer un marché interne de talents
    Déployer une plateforme IA qui recommande des missions, mentors et opportunités internes.
  4. Re-designer les rôles « homme–IA »
    Délester les tâches répétitives pour laisser place à la créativité et à la collaboration humaine.
  5. Leadership & gouvernance IA
    Mettre en place un comité IA, assurer transparence et éthique dans les usages.
  6. Carrières et rémunérations basées sur les compétences
    Valoriser les compétences rares (IA, data), prévoir des primes de certification.
  7. Donner du sens et de l’impact
    Communiquer clairement l’utilité de l’IA pour l’entreprise, les clients et la société.

Checklists pratiques pour dirigeantes et dirigeants

A. Diagnostic « Rétention & IA »

  • Cartographie des compétences critiques/adjacentes
  • Inventaire des tâches (automatisables, augmentables, humaines)
  • Mesure des mobilités internes et des raisons de départ
  • Parcours de formation IA différenciés (initiation, métier, expert)
  • Plateforme ou process de marché interne de talents
  • Gouvernance IA RH (éthique, conformité, transparence)

B. Mise en place d’un marché interne de talents

  • Plateforme adaptée + matching IA
  • Rituels (revue de talents trimestrielle, vitrines de projets)
  • Indicateurs (mobilité, temps de staffing, satisfaction)

C. Parcours d’upskilling IA

  • Fondations (2–4 h) : IA responsable et sécurité des données
  • Métier-spécifique (8–20 h) : cas d’usage, prompts/outils
  • Expertise (40–120 h) : MLOps, évaluation modèles
  • Reconnaissance : badges, certifications, primes

Outils pratiques

1) Gabarit de fiche « rôle homme–IA »

  • Rôle : …
  • Tâches : {Automatisables / Assistées / 100 % humaines}
  • Compétences actuelles : …
  • Compétences cibles (adjacentes) : …
  • Passerelles : Rôle A → Rôle B
  • Indicateurs : % tâches automatisées ; score d’expérience employé ; taux de rétention

2) KPI de rétention à suivre

  • Taux de rétention global et par équipe
  • Mobilité interne (12 mois)
  • % postes pourvus en interne
  • Temps moyen de transition rôle A → rôle B
  • Taux d’usage et NPS des formations IA

3) Politique IA RH (exemple simplifié)

  • Finalités : productivité, qualité, sécurité
  • Principes : transparence, explicabilité, droit à la révision humaine
  • Données : confidentialité, minimisation, traçabilité
  • Éthique : non-discrimination, gouvernance IA trimestrielle

Feuille de route 90 jours

J0–30 : Poser les bases

  • Diagnostic des compétences et des tâches
  • Définition de la politique IA RH
  • Lancement d’un pilote sur 1 ou 2 BU

J31–60 : Former et expérimenter

  • Déploiement des parcours IA (fondations + métiers)
  • Premiers projets internes via le marché de talents
  • Mise en place du tableau de bord KPI

J61–90 : Mesurer et étendre

  • Rétroaction et ajustement des rôles « homme–IA »
  • Extension progressive à plusieurs entités
  • Modèle de financement via gains de turnover évités

Points de vigilance

  • Expérience employé : prévenir l’isolement et la surcharge numérique.
  • Conformité et équité : surveiller les biais dans les outils IA, garantir la transparence.
  • Pragmatisme : toutes les tâches ne sont pas automatisables – prioriser celles à forte valeur.

En résumé

La rétention des talents à l’ère de l’IA repose sur une équation claire :

Rétention = (Apprentissage continu × Mobilité interne) × Gouvernance IA × Sens

Les preuves sont là : +57 % de rétention avec une culture d’apprentissage, 40 % des effectifs à requalifier, et des primes de marché déjà visibles sur les compétences IA.

Les entreprises qui réussiront seront celles capables de transformer l’IA en levier d’engagement et de développement humain, plutôt qu’en simple outil de productivité.

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Sourcing et sélection: L’impact de l’IA sur le recrutement

L’intelligence artificielle (IA) révolutionne le recrutement, transformant la façon dont les entreprises gèrent le cycle de vie des talents, de l’attraction à l’intégration.

Plutôt que de remplacer les recruteurs, l’IA agit comme un puissant assistant, leur permettant de se concentrer sur les interactions humaines et les décisions stratégiques.


Attirer les talents 🎯

Pour attirer les candidats, l’IA utilise des outils de sourcing sophistiqués pour identifier les profils pertinents sur les réseaux professionnels comme LinkedIn ou les plateformes de recrutement.

Ces systèmes analysent des millions de profils en quelques secondes, filtrant les compétences, l’expérience et même les centres d’intérêt pour trouver les meilleurs matchs.

L’IA personnalise également l’expérience candidat.

Par exemple, les chatbots de recrutement sur les sites carrière répondent instantanément aux questions des postulants 💬, comme le processus de candidature ou les informations sur la culture d’entreprise.

Cela rend l’entreprise plus accessible et réactive, améliorant l’image de marque de l’employeur.


Sélectionner les candidats 🕵️‍♀️

La phase de sélection est l’un des domaines où l’IA a le plus d’impact. Les outils d’analyse de CV et de lettres de motivation, alimentés par l’IA, peuvent lire et trier des centaines de documents en un temps record.

Ces systèmes ne se contentent pas de rechercher des mots-clés; ils peuvent aussi évaluer des critères plus nuancés, comme la pertinence des projets passés ou la progression de carrière.

Certaines plateformes d’IA proposent des tests cognitifs et des jeux de simulation pour évaluer les compétences techniques et comportementales des candidats de manière plus objective et standardisée. Cela réduit les biais humains et assure une évaluation plus équitable.

De plus, l’IA peut analyser le ton et les expressions faciales lors d’entretiens vidéo, offrant des données supplémentaires aux recruteurs pour guider leurs décisions.


Recruter et intégrer les nouvelles recrues 🤝

Une fois le bon candidat trouvé, l’IA simplifie le processus de recrutement.

Elle peut automatiser l’envoi des offres d’emploi, des rappels de documents et la planification des réunions d’intégration.

En gérant les tâches administratives répétitives, l’IA permet aux recruteurs de se concentrer sur l’accompagnement des nouveaux employés.

L’intégration (ou onboarding) est aussi optimisée par l’IA.

Les plateformes d’intégration peuvent personnaliser le parcours de chaque nouvel employé et l’automatiser grâce à la RPA.

Un chatbot peut répondre aux questions fréquentes sur la paie ou les avantages sociaux, tandis que le système peut générer automatiquement des rappels pour les formations obligatoires ou les rencontres avec les équipes.

Cela assure une transition en douceur et aide le nouvel employé à se sentir rapidement à l’aise et productif.


En conclusion, l’IA n’est pas une menace pour les recruteurs, mais une alliée de taille.

Elle automatise les tâches à faible valeur ajoutée, accélère les processus et fournit des analyses précieuses pour des décisions plus éclairées.

En libérant du temps, elle permet aux professionnels des ressources humaines de se concentrer sur l’essentiel : les relations humaines et le développement des talents.

Ma collection pour aller plus loin : https://www.amazon.fr/dp/B0FP2THK22

Transition Écologique : Vers un Futur Durable


Réinventons l’avenir avec optimisme

Le constat est sans appel. Dérèglement climatique, épuisement des ressources, perte de la biodiversité… les signaux d’alarme se multiplient. Nous ne pouvons plus nous contenter de petites actions isolées.

Le temps de la transition écologique n’est plus une option, c’est une nécessité urgente, une transformation profonde qui redéfinit nos sociétés. Mais cette urgence, loin de nous paralyser, est une chance unique de réinventer nos modes de vie et de bâtir un futur résolument optimiste.

L’ère de l’économie linéaire, qui se contente d’extraire, de fabriquer, de consommer et de jeter, touche à sa fin.

Aujourd’hui, les clés de la prospérité se trouvent dans des modèles plus intelligents et plus respectueux : la bioéconomie et l’économie circulaire, régénérative et symbiotique.


Vers une économie qui s’inspire de la nature

La bioéconomie nous montre la voie en utilisant la biomasse et les ressources renouvelables pour produire des biens et de l’énergie. Imaginez des bioplastiques fabriqués à partir d’algues ou des biocarburants créés à partir de déchets agricoles.

Cette approche nous libère des énergies fossiles tout en créant de nouvelles filières industrielles.

L’économie circulaire, elle, nous invite à repenser notre rapport aux objets. Loin de jeter, on répare, on réutilise, on recycle. L’objectif est de réduire au maximum le gaspillage en intégrant les déchets d’un processus comme matières premières pour un autre.

En poussant ces logiques, on découvre l’économie régénérative, qui va au-delà du simple recyclage. Elle vise à restaurer activement les écosystèmes. Pensez à des entreprises dont l’activité améliore la qualité des sols ou de l’eau.

L’économie symbiotique, enfin, s’inspire de la nature pour créer des écosystèmes économiques où les entreprises collaborent, échangent leurs flux de matières et d’énergie pour le bénéfice de tous.

Ces modèles ne sont pas des utopies, ils sont la base de l’économie de demain.


Les métiers de l’avenir : concilier sens et innovation

Pour que cette transformation s’accélère, nous avons besoin de nouveaux talents, de personnes formées pour relever ces défis. La double transition, numérique et écologique, est la grande aventure de notre siècle, et les opportunités professionnelles y sont immenses.

Voici quelques exemples de métiers verts qui contribuent directement à la préservation de l’environnement :

  • Ingénieur en bio-procédés : Il conçoit des usines qui transforment la biomasse en nouveaux matériaux.
  • Technicien en valorisation des déchets : Il gère les systèmes de recyclage pour que rien ne soit perdu, mais transformé.
  • Agriculteur urbain/Permaculteur : Il réinvente l’agriculture en ville en créant des écosystèmes productifs et durables.
  • Consultant en écoconception : Il aide les entreprises à créer des produits respectueux de l’environnement dès le départ.

Et voici des métiers verdissants, des professions qui s’adaptent et intègrent la dimension écologique :

  • Architecte/Urbaniste durable : Il conçoit des bâtiments et des villes qui consomment moins d’énergie et s’intègrent mieux dans la nature.
  • Data Scientist en environnement : Il utilise les données pour optimiser la consommation d’énergie ou prédire des phénomènes climatiques.
  • Responsable RSE : Ce rôle stratégique aide les entreprises à mettre en place leur politique de développement durable.

Les compétences pour bâtir le futur

Pour réussir dans ces métiers, il ne suffit pas d’avoir des connaissances techniques. Il faut aussi développer des compétences clés :

  • L’esprit critique et l’approche systémique : Comprendre comment les différentes parties d’un système interagissent, qu’il s’agisse d’un écosystème naturel ou industriel.
  • La capacité d’innovation et la créativité : La transition repose sur l’invention de nouvelles solutions.
  • Les compétences numériques : Maîtriser les outils comme la modélisation 3D, le Big Data ou l’IA pour analyser les impacts environnementaux et optimiser les processus.
  • La collaboration et la communication : Savoir travailler en équipe et échanger avec des experts de différents domaines pour créer des projets concrets et porteurs de sens.

La transition écologique est l’opportunité de concilier sens, impact et innovation.

Elle nous demande d’allier la puissance de la technologie à la sagesse de la nature.

Que vous soyez étudiant, jeune diplômé ou en reconversion, intéressez-vous à ces nouveaux parcours de formation et d’orientation.

C’est dans ces domaines que se trouvent les emplois d’avenir, ceux qui ont du sens et qui contribuent concrètement à un monde meilleur.

Alors, êtes-vous prêts à devenir l’un des acteurs de cette transformation positive ?

Pour aller plus loin sur la bioéconomie :

Pour aller plus loin sur la transition écologique :

Pour aller plus loin sur l’économie circulaire pour les entreprises et pour leur compétitivité :

Pour aller plus loin sur les algues :

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Leveraging my Strategic Framework for Circular Business Models: Navigating Sustainable Transformation

Je suis ravi de vous annoncer une nouvelle des plus enthousiasmantes : mon article, intitulé

« Leveraging a new strategic framework for Circular Business Models: Navigating Sustainable Transformation »

a été accepté pour une présentation orale à la 8e Conférence internationale sur les technologies et les modèles d’affaires pour l’économie circulaire (TBMCE 2025).

Cet événement prestigieux se tiendra au Grand Hotel Bernardin, à Portorož, en Slovénie, du 3 au 5 septembre 2025.

C’est un honneur immense de pouvoir partager mes recherches et de présenter les cas d’usage les plus pertinents de l’économie circulaire, symbiotique et régénérative et d’échanger avec des experts du monde entier sur l’avenir de l’économie circulaire et sur les solutions de la transition écologique.


Une opportunité unique en Slovénie

La Slovénie est un lieu idéal pour discuter de ce sujet crucial.

En effet, elle se positionne comme un acteur clé dans le développement de solutions durables et innovantes.

Je suis impatient de découvrir les initiatives locales, de tisser de nouveaux liens et de contribuer aux discussions sur la manière dont nous pouvons tous travailler à une transformation plus durable.

Je me réjouis de vous tenir au courant de cette formidable expérience et des découvertes que je ferai lors de cette conférence.

Pour en savoir plus sur la conférence TBMCE 2025 : https://tbmce.um.si/ et sur le programme de la conférence : https://tbmce.um.si/wp-content/uploads/2025/08/V1_PROGRAM_TBMCE_2025-1.pdf

Je tiens à exprimer ma profonde gratitude aux organisateurs de la conférence ainsi qu’aux évaluateurs qui ont examiné mon article.

Votre soutien et votre reconnaissance sont une source d’encouragement inestimable.

C’est un grand honneur d’être sélectionné pour présenter mon travail devant un public aussi distingué.