Revanchard ou persistant : Quel choix énergétique ?

Être revanchard vs. être persistant : une réflexion nécessaire

Dans notre quête de succès et de reconnaissance, il est crucial de différencier deux notions souvent confondues : être revanchard et être persistant. Bien que ces termes soient liés à la détermination, leurs connotations sont très différentes. Une analyse approfondie de ces concepts, accompagnée de conseils pratiques, peut nous aider à mieux utiliser notre énergie, même celle de la revanche, sans tomber dans les travers des conflits ou de la frustration.

La nature de la revanchardise

Être revanchard implique un désir de vengeance ou de revanche, souvent alimenté par la colère et l’amertume. Ce désir peut mener à des actions basées sur des émotions plutôt que sur des réflexions constructives, engendrant des conflits et nuisant aux relations.

Exemples de revanchardise

  1. Conflits professionnels : Un employé sous-estimé qui cherche à nuire à ses collègues.
  2. Relations personnelles : Une personne trahie qui devient obsédée par la vengeance.

La force de la persistance

À l’opposé, la persistance est une qualité positive, caractérisée par la détermination à atteindre un objectif malgré les obstacles. Les personnes persistantes font preuve de résilience et d’optimisme, cherchant des solutions et apprenant de leurs erreurs.

Exemples de persistance

  1. Entrepreneuriat : Un entrepreneur qui, après plusieurs échecs, continue à perfectionner son modèle d’affaires.
  2. Éducation : Un.e étudiant.e qui s’investit pour maîtriser une matière difficile.

Conseils pratiques pour canaliser l’énergie de la revanchardise

Il est possible d’utiliser l’énergie de la revanche de manière constructive. Voici quelques stratégies pour transformer des sentiments revanchards en actions positives :

1. Reconnaître et accepter ses émotions

  • Prise de Conscience : Identifiez les émotions négatives qui surgissent. Reconnaître la colère ou la frustration est le premier pas vers la gestion de ces sentiments.
  • Journaling : Tenez un journal pour exprimer vos pensées et vos émotions. Écrire peut vous aider à clarifier vos sentiments et à les contextualiser.

2. Redéfinir la vengeance comme motivation

  • Objectifs positifs : Transformez le désir de revanche en objectifs constructifs. Par exemple, au lieu de vouloir prouver votre valeur à ceux qui vous ont sous-estimé, concentrez-vous sur l’atteinte de vos propres objectifs.
  • Visualisation : Imaginez-vous atteignant votre but. Cette technique peut transformer l’énergie négative en une force motivante.

3. Cultiver la résilience

  • Prendre du recul : Avant d’agir sur des impulsions revanchardes, prenez du temps pour réfléchir. Évaluez les conséquences de vos actions.
  • Pratique de la méditation : La méditation peut aider à calmer l’esprit et à réduire la colère, permettant une réflexion plus claire.

4. Agir avec empathie

  • Comprendre les autres : Essayez de comprendre les motivations des personnes qui vous ont blessé. Cela peut réduire la colère et favoriser la réconciliation.
  • Exprimer le Pardon : Le pardon ne signifie pas excuser les actions des autres, mais se libérer du poids de la colère.

5. Trouver un soutien externe

  • Coaching ou thérapie : Parler à un professionnel peut vous aider à trouver des stratégies pour gérer vos émotions et transformer la revanche en persistance.
  • Groupes de soutien : Rejoindre des groupes où les expériences sont partagées peut vous aider à voir que vous n’êtes pas seul dans vos luttes.

Vers une pratique réfléchie

Examinez vos réactions face aux défis. Plutôt que de céder à des sentiments revanchards, essayez de cultiver la persistance. Cela nécessite un travail intérieur : reconnaître vos émotions, comprendre vos motivations et choisir une voie constructive.

Questions à réfléchir

  • Quelles situations récentes m’ont fait ressentir de la colère ou du ressentiment ?
  • Comment puis-je transformer ces émotions en motivation pour avancer ?
  • Quelles stratégies puis-je adopter pour rester persistant face aux obstacles ?

Conclusion

La différence entre être revanchard et être persistant n’est pas seulement une question de terminologie, mais un véritable choix de vie.

En apprenant à utiliser l’énergie de la revanche de manière constructive, nous pouvons nous donner les moyens d’avancer et de grandir, même dans l’adversité.

Réfléchissons à nos motivations et engageons-nous sur la voie de la résilience et de l’optimisme.

Gérer les refus : stratégies pour obtenir une lettre de soutien

Avez-vous déjà demandé à quelqu’un qui ne coûte rien, qui ne prend pas de temps, et qui ne peut que rapporter gros, et essuyer un refus ?

Et bien, c’est ce qui arrive parfois, (en tout cas, cela m’est arrivé quelques fois), lorsque l’on sollicite une « lettre de soutien ».

En tant qu’employé, je ne savais même pas que cela existait.

Quand je suis devenu entrepreneur, je me suis rapidement rendu compte qu’il fallait collecter des « lettres de soutien ».

Pourtant, je ne suis candidat à rien, je ne fais pas de politique.

En revanche, pour présenter une équipe ou un projet innovant, on m’a gentiment fait comprendre qu’il était préférable de montrer que nous ne sommes pas un groupe de fous furieux dans un garage, mais que nous sommes connus (voire reconnus ?) par d’autres personnes et d’autres entités.

Naïvement, j’ai pensé qu’un simple coup de fil ou qu’un simple email ferait l’affaire, puisque justement cela ne coûte rien, qu’il n’y a aucun risque et que je n’ai pas souvenir d’en avoir refusé. Pour moi, c’est la première étape d’une collaboration possible, un peu comme un premier café de prise de contact.

En fait, ce n’est pas si simple.

C’est oui ou bien c’est non !!! 🙂

Dans la vraie vie, certaines personnes les signent avec un grand sourire (et elles ont bien raison), d’autres refusent de les signer, d’autres encore y voit une opportunité de négociation.

J’avoue qu’au début, je le prenais un peu perso, un peu comme un affront. Cela créé encore aujourd’hui « un certain froid » en cas de refus. J’ai du mal à retourner voir celles et ceux qui m’ont refusé un soutien pour le projet d’après. A l’inverse, celles et ceux qui signent, sont les premiers que j’invite et que je tiens informé.

Je demande gentiment quelque chose qui n’engage à rien, j’ai l’impression de faire une proposition en or (collaborons, co-créons, soyez early adopters….) et je me prends un refus dans les dents (ou pas de réponse, ce qui revient finalement au même, puisque les lettres de soutien sont des pièces que l’on joint à des dossiers de projets innovants).

Maintenant, avec un peu plus d’expérience et de km au compteur, je change de point de vue, et je me dis que ce petit jeu des lettres de soutien, des vrais partenaires et des faux amis, c’est finalement un révélateur des personnes avec qui le lien de confiance existe. Ce n’est pas rien finalement.

Les lettres de soutien et d’engagement sont des outils précieux dans de nombreux contextes, que ce soit pour des projets académiques, des initiatives communautaires ou des demandes de financement.

Elles témoignent de l’appui d’autres personnes ou organisations et renforcent la crédibilité de votre projet.

Voici mes conseils et mon partage d’expérience sur comment obtenir ces lettres et gérer les refus de signature.

Qu’est-ce qu’une Lettre de Soutien ?

Une lettre de soutien est un document dans lequel une personne ou une organisation exprime son appui à un projet ou une initiative. Elle peut provenir de partenaires, d’experts ou de membres de la communauté. L’objectif est de montrer que votre projet bénéficie d’un soutien extérieur.

Qu’est-ce qu’une Lettre d’Engagement ?

Une lettre d’engagement, en revanche, va plus loin en stipulant la volonté d’une personne ou d’une organisation à s’impliquer activement dans le projet. Cela peut inclure des ressources, du temps ou une expertise. Elle formalise l’engagement à collaborer et à contribuer au succès de l’initiative.

Comment obtenir des lettres de soutien et d’engagement

  1. Identifiez les bonnes personnes :
    • Choisissez des personnes influentes ou respectées dans votre domaine.
    • Pensez à des partenaires potentiels qui pourraient bénéficier de votre projet.
  2. Préparez un dossier solide :
    • Rassemblez des informations claires sur votre projet : objectifs, impact attendu et besoins spécifiques.
    • Un dossier bien préparé montre votre sérieux et facilite la décision.
  3. Contactez les personnes ciblées :
    • Envoyez un e-mail ou prenez rendez-vous pour discuter de votre projet.
    • Soyez clair sur ce que vous attendez d’eux (soutien moral ou engagement).
  4. Formulez une demande claire :
    • Expliquez pourquoi leur soutien est important et comment cela peut les aider.
    • Proposez une ébauche de lettre pour faciliter leur tâche.
  5. Suivi :
    • Relancez poliment si vous n’avez pas de réponse après quelques jours.
    • Montrez votre enthousiasme et votre gratitude pour leur attention.

Gérer les refus de signature

  1. Restez positif :
    • Ne prenez pas le refus personnellement. Il peut y avoir de nombreuses raisons, souvent indépendantes de votre projet.
  2. Demandez des retours :
    • Si cela est approprié, demandez des commentaires sur leur décision. Cela peut vous aider à améliorer votre approche future.
  3. Explorez d’autres opportunités :
    • Un refus peut ouvrir la voie à d’autres contacts ou à des alternatives que vous n’aviez pas envisagées.
  4. Maintenez la relation :
    • Même en cas de refus, restez en contact. Vous ne savez jamais quand une opportunité pourrait se présenter à nouveau.
  5. Adaptez votre proposition :
    • Si vous recevez plusieurs refus, réévaluez votre approche ou votre proposition. Peut-être est-il nécessaire d’apporter des modifications pour mieux répondre aux besoins des soutiens potentiels.

Gratuit mais de grande valeur

Les lettres de soutien et d’engagement sont essentielles pour renforcer la légitimité de nos projets et de vos projets.

En suivant ces conseils pour les obtenir et en gérant les refus avec professionnalisme, vous augmenterez vos chances de succès. En tout cas, je l’espère.

Je me dis que chaque interaction est une occasion d’apprendre et de grandir.

Et vous, comment gérez vous la situation quand on vous refuse une lettre de soutien ?

Mes clés pour réussir en entrepreneuriat en 2025

Les grandes tendances entrepreneuriales de 2025 sont façonnées par des avancées technologiques, des préoccupations environnementales croissantes et des changements dans les attentes des consommateurs.

Voici les principales tendances à surveiller :

1. Économie durable et circulaire

La transition vers une économie durable et circulaire est essentielle. Les entreprises devront adopter des pratiques éthiques, réduire les déchets et utiliser des matériaux recyclés pour répondre aux attentes des consommateurs de plus en plus soucieux de l’environnement.

2. Automatisation et intelligence artificielle

L’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation continueront de transformer le paysage entrepreneurial. Les entrepreneurs devront maîtriser ces technologies pour améliorer les processus internes et offrir une meilleure expérience client, tout en gérant les risques associés, comme la sécurité des données.

3. Économie des créateurs

L’essor des plateformes de création de contenu, telles que YouTube et TikTok, ouvre de nouvelles opportunités pour les entrepreneurs. Cette tendance permettra à de nombreux individus de monétiser leurs compétences et passions en ligne.

4. Technologies portables

Les technologies portables, comme les montres connectées et les vêtements intelligents, gagneront en importance, offrant de nouvelles opportunités de marché et d’expérience client.

5. Diversité et inclusion

La diversité et l’inclusion deviendront des valeurs fondamentales pour les entreprises. Les startups qui favoriseront un environnement de travail inclusif seront mieux positionnées pour innover et répondre aux besoins d’une clientèle variée.

6. Énergies renouvelables

Les entreprises spécialisées dans les énergies renouvelables, comme le solaire et l’éolien, seront particulièrement recherchées, en réponse à l’urgence climatique et à la demande croissante pour des solutions durables.

7. Résilience et adaptabilité

Les entrepreneurs devront faire preuve d’agilité et de résilience face à une concurrence accrue et à des défis technologiques. La capacité à s’adapter rapidement aux changements sera cruciale pour le succès.

Ces tendances montrent que l’entrepreneuriat en 2025 sera marqué par une forte intégration de la durabilité, de l’innovation technologique et d’une approche centrée sur l’humain.

Si vous souhaitez créer votre entreprise cette année, je vous accompagne avec grand plaisir pour réussir vos premières années.

L’IA, votre assistant.e rêvé dispo 24/24

24% d’efficacité ici, 32% d’efficience là, toujours disponible, le jour, la nuit, le week-end…

Non, ce n’est pas l’employé du mois…

C’est ce que l’on entend au sujet des technologies d’IA.

  • Peut-on continuer de faire comme si les technologies d’IA n’existaient pas ?
  • Que peut-elle réellement faire pour nous, entreprises ?
  • Quels risques devons nous anticiper ?

Les technologies d’Intelligence Artificielle (IA) présentent pour les entreprises un mélange complexe d’opportunités et de risques, reflétant la dualité de cette révolution technologique dans le monde des affaires.

Les Opportunités à saisir :

  • Automatisation et Efficacité : L’IA permet l’automatisation des tâches répétitives, libérant ainsi les employés pour des activités à plus forte valeur ajoutée. Cela peut mener à une réduction des coûts opérationnels et une augmentation de l’efficacité.
  • Prise de Décision Éclairée : Grâce à l’analyse de données à grande échelle, l’IA aide à identifier des tendances, à prévoir les comportements de marché, et à fournir des insights pour des décisions stratégiques, améliorant ainsi la réactivité et la compétitivité des entreprises.
  • Personnalisation et Expérience Client : L’IA peut offrir des expériences client personnalisées, comme des recommandations basées sur les préférences ou l’historique d’achat, ce qui peut accroître la satisfaction et la fidélité des clients.
  • Innovation et Création de Valeur : En facilitant le développement de nouveaux produits et services, l’IA ouvre des marchés émergents et peut transformer des secteurs entiers, comme la santé avec des diagnostics assistés par IA, ou le transport avec l’automobile autonome.
  • Sécurité et Gestion des Risques : Des applications d’IA peuvent améliorer la détection de fraudes, la gestion des risques, et même la cybersécurité, en identifiant des anomalies dans les comportements ou les transactions.

Les Risques à anticiper :

  • Biais et Discrimination : Les modèles d’IA, si mal conçus ou mal entraînés, peuvent perpétuer ou amplifier des biais présents dans les données d’entraînement, menant à des décisions discriminatoires ou injustes.
  • Sécurité et Vie Privée : L’IA nécessite souvent l’accès à de grandes quantités de données, ce qui peut poser des risques concernant la confidentialité et la sécurité des informations personnelles ou sensibles des clients et des employés.
  • Impact sur l’Emploi : L’automatisation peut réduire la demande pour certaines compétences humaines, entraînant des inquiétudes quant à la perte d’emplois et nécessitant une requalification de la main-d’œuvre.
  • Dépendance Technologique : Une trop grande dépendance à l’égard de l’IA pourrait réduire la capacité d’innovation humaine et la résilience des entreprises face aux failles ou aux défaillances technologiques.
  • Régulation et Conformité : Avec l’émergence de réglementations comme le Règlement sur l’IA de l’UE, les entreprises doivent naviguer dans un cadre légal évolutif, s’assurant que leurs applications d’IA respectent les normes de transparence, de traçabilité, et d’équité.
  • Risques de Sécurité Nationale et Démocratique : L’IA peut être utilisée de manière malveillante pour des cyberattaques, la manipulation de l’information, ou dans des systèmes de surveillance étatique, posant des questions sur la démocratie et la vie privée.

Pour maximiser les opportunités tout en minimisant les risques, les entreprises doivent adopter une approche équilibrée, investissant dans la formation continue, la gouvernance des données, et l’éthique de l’IA.

Elles doivent également rester à l’affût des développements réglementaires et technologiques pour s’adapter rapidement aux nouvelles exigences et aux innovations.

L’IA est là pour rester et l’adopter n’est plus un débat. En revanche, déterminer par où commencer, comment l’introduire auprès des employés et comment être en mesure de déterminer son impact, voilà où se trouvent les enjeux d’aujourd’hui.

Cette gestion proactive de l’IA peut conduire à une transformation durable et bénéfique pour les entreprises (réduire les coûts, augmenter les revenus), tout en contribuant positivement à la société.

Personnellement, j’utilise notamment ChatGPT, Grok, Breeze, Deepl, Gemini comme outils et quelques autres technologies d’IA selon les cas d’usage et les départements d’entreprise.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à me contacter.

Et vous, quels outils avez vous choisi pour quel objectif ?

Aïe !!! mon espace est vide et n’intéresse plus personne…

Les visites se succèdent, on a viré x fois nos commerciaux, mais rien n’y fait, plus personne ne veut venir dans nos bureaux…

Comment booster l’attractivité d’un espace vide ?

Comment attirer puis fidéliser la GenZ à venir voir puis à rester ?

Comment rester dans le coup et anticiper les tendances quand on est propriétaire des murs ?

Depuis la crise du COVID19, de nombreux employés ne sont pas retournés à 100% sur leur lieu de travail. Désormais, leurs attentes ont énormément changé.

N’est-ce pas cool de changer de bureaux (devrais-je dire lieu ?) tous les jours ?

C’est très agréable comme style de vie, mais cela a des conséquences (risque d’isolement, instabilité, absence de relations sociales régulières…). Et puis, quand on commence un nouveau projet ambitieux, on a envie d’un bel endroit pour se poser avec son équipe.

Ce nomadisme des slashers a pour conséquence l’augmentation des surfaces de bureaux peu ou pas occupées. Cela challenge le modèle économique des acteurs de l’immobilier commercial.

La plupart des employeurs visent le retour des employés (mais ils rament), et les promoteurs s’emploient à remplir de nouveau les surfaces de bureau, mais aujourd’hui, une table, des chaises, le wifi et du café, sont devenus des « commodités banales » que l’on trouve partout ou presque, autrement dit nécessaire, mais pas suffisant ni différentiant pour attirer les personnes, et encore moins les bons projets.

S’improviser « fablab » ou « makerspace » ou « hackerspace » avec une imprimante 3D dans un coin de la cave. cela ne fonctionne plus vraiment (à part pour les quelques puristes du Do It Yourself (DIY) et de la culture libre). Qui a envie de vivre au milieu des machines et de leurs fumées dans des zones industrielles insipides et reculées ou dans des vieux sous-sols sombres et humides ?

Même la proximité et le marketing de lieux ne suffisent plus, car les occupants sont devenus des cibles mobiles.

Deux grandes possibilités s’offrent aux promoteurs immobiliers : soit on métamorfose (en habitation) si c’est autorisé, soit on revoit sa copie pour proposer des espaces mieux positionnés, qui offrent une valeur ajouté.

Alors que faire pour muscler son genre et augmenter l’attractivité d’un lieu d’innovation, faciliter l’émergence de communauté de valeurs et d’intérêt, initier les échanges entre locataires des surfaces si on a des m2 vides (le chrono tourne et les loyers ne rentrent pas) ?

  1. Équipements Spécialisés vs. Polyvalence :
    • Ateliers Spécialisés : Si l’on cherche à attirer une expertise ou des équipements très spécifiques (comme des laboratoires de biotechnologie, des ateliers de haute couture technologique, ou des centres de recherche avancée en physique), ces lieux jouent alors sur la spécialisation et les technologies de pointe.
  2. Accessibilité et Communauté :
    • Makerspaces Commerciaux : Des endroits comme TechShop (avant sa faillite :-)) offraient des formations professionnelles et une accessibilité 24/7, le modèle reste intéressant si l’on valorise la capacité d’accès et la formation structurée.
    • Incubateurs et Accélérateurs : Pour les startups et innovateurs, des incubateurs qui fournissent non seulement un espace de travail mais aussi du mentoring, des réseaux, et du financement, peuvent être attrayants pour lever des fonds et recruter des équipes.
  3. Éducation et Formation :
    • Universités et Écoles Techniques : Si l’objectif est l’éducation formelle, les universités ou les écoles techniques avec des laboratoires intégrés offrent une structure éducative, des diplômes, et des ressources pédagogiques qui sont adaptés pour une formation académique ou professionnelle.
  4. Innovation et Recherche :
    • Centres de Recherche et Développement (R&D) : Pour les projets de recherche avancée ou l’innovation technologique, les centres de R&D avec des budgets substantiels pour la recherche permettent d’avoir une capacité d’innovation et de développement de prototypes très sophistiqués.
  5. Accessibilité et Coût :
    • Services d’Imprimantes 3D à la Demande : Pour des personnes ou des petites entreprises qui n’ont pas besoin d’un accès constant mais plutôt de services ponctuels, des services en ligne ou des boutiques qui offrent des impressions 3D ou d’autres fabrications sur demande peuvent être très économiques et pratiques.
  6. Flexibilité et Nomadisme :
    • Espaces de Travail Nomades : Avec l’avènement du travail à distance et de la technologie cloud, certains entrepreneurs pourraient trouver que des espaces de coworking avec un bar ou des bars avec un espace de coworking 🙂 selon la façon dont on voit les choses, sont suffisants et maximisent leur bonheur au travail. Des services à la demande de fabrication sur demande ou des espaces de fabrication mobile (comme des imprimantes 3D portables) adaptés à un mode de vie nomade ou très flexible.

Finalement, la clé dans tout cela, c’est d’anticiper les usages futurs, notamment ceux des nouvelles générations Z et Alpha.

Ma prédiction sur les communautés d’ « infidèles aux bureaux » semble se réaliser. Pour le moment, la GenZ veut surtout profiter de la vie et les vieux bureaux ne font pas partie de leurs plans.

Je fais le pari qu’ils voudront le meilleur des différents concepts et quelques playstations !!! On y travaille notamment avec AgileNetup et Syntezia Smart Building Automation 🙂

Et vous, quelles sont vos priorités quand vous choisissez vos lieux ?

Comment parvenez vous à garder vos surfaces bankables ?

L’IA, l’interdire ou la démocratiser ?

C’est une des questions que nous avons explorées à l’occasion de la table ronde à l’Espace André Malraux de Nantua, un magnifique écrin, tout proche du lac, dans un des haut lieux de la gastronomie, de la nature et de la résistance, pendant une soirée débat dans le cadre du MAIF numérique éthique tour qui présentait des solutions pédagogiques et numériques pour les petits et pour les grands.

Le soleil était au rendez vous sur les rives du lac de Nantua et aux abords de la médiathèque et de l’espace André Malraux.

Il y avait foule pour découvrir les robots, les casques de réalités virtuelles, les stands de sensibilisation à la cyber sécurité, aux risques de harcèlement en ligne. Cette journée était une belle occasion de présenter les solutions de recyclage des appareils électroniques et les imprimantes 3D des fablabs voisins, mais aussi de mettre en valeur les filières et les matériaux naturels comme le bois local, et de trouver des alternatives pour sortir du plastique.

Très impressionné par le travail de préparation, d’animation, de sensibilisation des conseillers numériques de Haut Bugey Agglomération, et par la mobilisation des acteurs de l’écosystème de Nantua à cette occasion.

Le numérique éthique tour fédéré par la MAIF propose notamment d’aller de ville en ville avec un camion et des stands/présentoirs amovibles en bois très bien conçu. Une sorte de fablab itinérant pour aller à la rencontre des territoires et des citoyen.ne.s.

Ce tour faisait escale à Nantua cette semaine, et j’ai eu le plaisir de participer à la table ronde sur l’impact de l’intelligence artificielle sur les métiers d’aujourd’hui et de demain. Après avoir été chaleureusement accueilli par Monsieur le Maire de Nantua, Jean-Pascal Thomasset, nous avons pu explorer les nouveaux risques et les belles opportunités que l’intelligence artificielle créé, notamment du point de vue de l’avenir des métiers.

Ravi de revoir pour l’occasion, Pascal Minguet Deschamps, avec qui nous avons pu échanger lors de cette table ronde. Nos parcours se croisent décidemment lors de belles occasions, souvent sur les sujets de médias, de santé, de protection de la nature, de gastronomie, de tiers-lieux et de fablabs et j’apprends beaucoup à chacun de nos retours d’expérience !!!

A l’évidence, l’IA représente une opportunité à saisir pour l’avenir d’une ville de 4000 habitants, telle que Nantua et pour une agglomération telle que celle du Haut Bugey.

Les questions posées par le public ont porté sur les conséquences éthiques et sociétales de l’IA.

Ravi d’avoir pu soutenir cette belle initiative de sensibilisation à l’importance du numérique éthique et durable. Les sujets sont très proches de ceux que nous traitons dans les chartes et dans les labels de l’Institut du Numérique Responsable (INR / l’ISIT) en France ou en Suisse.

Je n’oublie pas que la MAIF avait déjà été il y a 10 ans notre premier assureur lorsque nous étions quelques pionniers à vouloir faire de l’innovation numérique dans des espaces ouverts et inclusifs, (des fablabs, des makers spaces ou des hackerspaces : anglicismes pour ateliers partagés et lieux de créativité et d’innovation ouverte), et dans des tiers-lieux et que leurs conseils nous ont sensibilisé aux risques à couvrir dans de tels espaces créatifs et à la responsabilité des dirigeants de tels lieux hybrides.

A l’époque, ils nous ont ouvert la porte et ont accepté de nous assurer quand d’autres assureurs ne comprenaient pas ce que voulait dire « fablab » ou refusait tout simplement de couvrir (comprendre?) un concept qui ne rentre pas dans leurs cases.

Notre format coordonné et animé de main de maître par Odile Verdure Labeille, (Conseillère Numérique France Services), sur l’intelligence artificielle et sur les métiers de demain, est désormais bien rodé !!!

Au plaisir de poursuivre les débats aux quatre coins de la Région Auvergne Rhône-Alpes, de la France ou sur les chemins de l’Europe ou de la francophonie 😉 !!!

Du plan climat à votre cahier d’idées

Urgence climatique, plan climat, loi pour le climat, journées mondiales diverses et variées, COP 25, 26, 27, 28, débat sur la transition énergétique ou l’économie bas carbone… ce ne sont pas les grands plans stratégiques et les grandes rencontres au sommet qui manquent, avec pour objectif commun la baisse des émissions de CO2 et de gaz à effets de serre. Fresque, jeux, colloques, votes, les initiatives s’enchaînent, il y a urgence. Malgré toutes ces bonnes volontés, on a parfois l’impression que rien ne bouge.

A l’autre bout de la chaîne, vous, moi, en train de nous demander ce que nous pourrions bien faire à notre humble niveau, dans nos habitudes ou comportements de tous les jours pour contribuer concrêtement à améliorer les choses, ou au moins à ne pas les empirer.

Entre ces approches macro (que certains critiqueront comme étant « hors sol », sans plan d’action et donc sans réel impact ou résultat), et votre cahier d’idées ou le mien sans moyen, comment trouver le bon chemin, celui qui consiste à avoir un impact plus grand qu’au niveau individuel, sans pour autant tomber dans les pièges de la réunionite qui n’avance pas et ne mène à rien ?

Dès lors, comment passer du « micro au macro » et du « macro au micro » sans se perdre ?

Ce « morceau du milieu » qui manque, je crois qu’il tient en fait, aux outils et aux méthodes qui permettent aux bonnes idées d’être testées et expérimentées à une plus grande échelle, et d’être facilement adaptable, réplicable, modifiable pour être déployées et adoptées par d’autres ailleurs. Comment faire pour que ce « mix & remix » de votre idée fonctionne ?

Très bien alors, admettons que nous ayons une bonne idée, avec un impact environnemental positif, par où commencer ?

C’est justement ce sur quoi nous travaillons avec les différents cercles de médiation de Syntezia sur des sujets tels que :

  • Le transport longue distance intense en carbone (comprendre pour ou contre l’hydrogène vert des bus, camions, bateaux, avions!)
  • Les nouvelles formes de mobilité urbaine décarbonnée (one-wheel, e-scooter, vélo électrique, trotinette, vélo cargo, EV…)
  • Le smart home, le smart building et le smart city (c’est bien gentil d’être smart à tous les niveaux, mais comment mesurer l’impact réel une fois que les usagers arrivent dans les murs !)
  • Les énergies décarbonnées du futur (hydrogène, batteries, micro-grid…)
  • L’économie circulaire (notamment dans le textile et la mode, que nous savons si problématique)
  • Les alternatives aux plastiques à usage unique
  • La protection de la biodiversité terrestre et marine
  • Les projets de digitalisation, objets connectés, intelligence artificielle, RPA, wearables, qualité de vie, blockchain ou crypto-monnaies (qui font beaucoup parler d’eux ces temps-ci)
  • Réduire les emballages (éco-conception, vrac…)

Nous participons avec nos idées et nos projets innovants à alimenter le dispositif suisse d’accélérateur d’innovation, qui permet un accompagnement méthodologique (par les fablabs et les living labs) et un financement des idées retenues mois après mois par un jury appelé « innovation committee ».

Concrêtement, qu’est-ce que cela permet de faire avec les bonnes idées ?

Vos idées peuvent être partagées publiquement sur une plateforme d’innovation ouverte afin de recevoir des commentaires d’autres acteurs de l’innovation. Il y a de la valeur dans l’échange, dans les commentaires, et c’est aussi parfois une bonne façon d’identifier un futur partenaire, qui cherche à faire sensiblement la même chose que vous ! Cela peut aussi permettre à un recruteur ou à des financiers de trouver des projets à impact.

Comment savoir si mon idée a le potentiel d’aller plus loin ?

Nous avons tout un processus pour cela, cela commence par la constitution d’une équipe de 2 personnes minimum (tout seul, c’est moins drôle!), l’ébauche d’une idée de décarbonation, vous pouvez ensuite la soumettre et vous rapprocher de nous pour étudier ensemble comment notre démarche de living lab (proche de celle du design thinking, avec une emphase particulière sur l’empathie et l’impact) va pouvoir vous aider à bien vous préparer avant de passer devant le jury et de savoir si votre équipe et si votre idée peuvent être accompagnées méthodologiquement et financées.

Si ça m’intéresse, et si j’ai une idée, je fais comment ?

Nous vous invitons simplement à vous faire connaître avec ce formulaire simple et nous vous contacterons très rapidement pour prendre rendez-vous, et discuter de la meilleure approche méthodologique pour se structurer.

Là tout de suite, je n’ai pas vraiment l’idée du siècle, mais le sujet m’intéresse, et je donnerais volontiers un coup de main, comment faire ?

Cela tombe bien, de nombreuses équipes émergentes cherchent des compétences, des co-financements et des partenaires de mise en oeuvre, et cela pourrait être vous !

Nous organisons des séances pour faciliter les rencontres, la mise en réseau par thème et les discussions.

Pour être tenu au courant de nos futurs match-making, vous pouvez nous envoyer un message (par mail à l’adresse yves.zieba@syntezia.com) et suivre nos pages LinkedIN pour ne rien manquer (digitalisation, mode et luxe durable, énergie renouvelable et hydrogène, mobilité décarbonnée, smart building & smart city, biodiversité terrestre et marine)

Qu’en pensez vous ?

Bratislava, initier une collaboration européenne autour des objets connectés

Nous nous étions donné rendez-vous à Bratislava en plein mois de Juillet, pour échanger entre écosystèmes des « objets connectés », IOT, thème choisi pour initier une série de conférences pour mettre en place des collaborations concrêtes entre la Slovaquie, actuelle présidente de l’Union Européenne, les pays du V4 (Slovaquie + République Tchèque, Pologne et Hongrie) et leurs partenaires européens, notamment la France et la Suisse.

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En plein Euro de football, et en plein Brexit, c’était passionnant de voir comment la Slovaquie et les pays de V4 voient les choses.

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Le rendez vous avait été particulièrement bien préparé avec notamment le soutien de l’institut français, de la chambre de commerce franco-slovaque, de l’ambassade et du label French Tech, venu soutenir les meilleurs startups françaises, et participer à un des premiers évènements phares de la présidence slovaque au sein de l’Union Européenne.

Discours du président slovaque, et des officiels CCI, SBA… 

Après un mot de bienvenu du Président, nous avons pu assister à des tables rondes, des pitchs de start-ups, échanger sur des stands, et participer à des séances de speed-networking avec des partenaires triés sur le volet.

Les tables rondes thématiques

Du beau monde de passage sur les stands

Il fallait se frayer un chemin entre les différents acteurs de l’industrie IOT.

Entrepreneur, startup, fablab, living labs, hackerspace, coworking spaces, universités, faculté, centre de recherche, techno transfert, knowledge transfert, ambassadeur, ministres, chambre de commerce, promotion économique, Business France, French Tech, Institut Français, investisseurs, gros industriels (Orange, Dassault…).

L’écosystème francophone venu en force.

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De gauche à droite, des représentants de NUMA; de la IOT Valley de Toulouse (et moi!), parmi les écosystèmes de Paris, de Bordeaux, de Normandie, de Corse, d’Auvergne Rhône-Alpes et de la Suisse Romande, étaient venus pitcher les meilleurs projets IOT de France, soutenus par la French Tech et venus aussi découvrir les projets émergents des startups émergentes venus des pays V4.

Les pitchs: 3 minutes pour séduire.

Les pitchs et les keynotes se sont succédés pour rythmer la journée. Virtual Realité, réalité augmentée, caméra 360 immersive, application de dating géolocalisé, objets connectés, des tonnes de capteurs, des displays digitaux pour afficher les statistiques de réseaux sociaux, des smart bots, de l’intelligence artificielle, des robots, des solutions de valorisation des déchets, du smart home, du smart city, des smart objects, des SOO… il n’y avait que du smart !

Parmi les keynotes, celle d’Hyperloop n’est pas passé inaperçu. Dans quelques années, Bratislava devrait être relié à Vienne par une capsule allant à la vitesse du son, mettant ainsi les deux capitales, à 9 minutes l’une de l’autre au lieu d’une heure. Cela laisse rêveur, vivement que nous ayons cela entre Genève, Lausanne, Lyon, Milan, Turin et Zurich !!!

Intéressant aussi de découvrir que cette nouvelle folie visionnaire d’Elon Musk, devrait utiliser des technologies provenant de nos amis et voisins du CERN.

Histoire de bien ringardiser les transports en train actuels, Bebop Gresta, nous a rappelé que l’écart des rails, suit la logique de la largeur de l’arrière train de deux chevaux du temps de l’Empire Romain. Et que cela n’a pas changé depuis !

Toujours difficile (et un peu stressant!) de passer en pitch de 3 minutes, juste après un orateur tel que Bebop  Gresta, alias « le cowboy », un habitué des studios de CNN, qui semblait tout droit sorti de la série « Silicon Valley ». Bebop nous a présenté le projet Hyperloop, et souhaitait aussi attirer les talents vers le projet. Questionné sur « pourquoi il avait laissé pousser sa barbe, il nous a aussi révélé qu’il ne contrôlait plus l’aspect visuel de sa barbe, et que son look était depuis longtemps entre les mains de conseiller en image ». Comme quoi, la mode, le style, le look, et les technologies disruptives, ne sont deux mondes si éloignés que cela.

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Le pitch de notre projet IOT, le Smart Lab, s’est très bien passé (2:57 min pour être précis! j’avais laissé 3 secondes pour les questions du public ;-)) et surtout des supers contacts venus nous voir, parmi les acteurs de l’écosystème IOT les plus innovants.

Soirées chez l’Ambassadeur et au château

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…histoire de remercier les organisateurs et de poursuivre les discussions de partenariats.

La France ce soir-là a battu l’Allemagne 2-0, c’était le soir de Griezmann, cela nous a permis de fêter cela dans le centre ville.

Ensuite, il nous a fallu quitter Bratislava pour un retour vers Vienne en bus et Genève en avion, avec de nouvelles perspectives sur l’avenir de l’Europe, plein d’idées et de projets collaboratifs à concrétiser.

Libérez vos idées

Bien que ma tête soit évidemment avec tous mes amis parisiens, touchés de près ou de loin par les attaques, je vais néanmoins participer à la nuit de l’entrepreneuriat à Genève, aujourd’hui de 16h à 21h, dans le cadre de l’évènement qui lance la semaine mondiale de l’entrepreneuriat.

Global Entrepreneurship Week

Initier les jeunes générations aux innovations rendues possibles par l’ouverture de l’accès à l’information, aux possibilités immenses d’accéder aux différentes formes de savoirs et aider les entrepreneurs de demain à comprendre tout ce que l’éducation a à leur offrir, est une certaine forme de réponse constructive, collective et optimiste aux moments terribles que nous vivons.Open_Models

Je serai très bien entouré, puisque nous serons plusieurs à animer cet évènement, qui se déroulera notamment en présence de nos amis de l’incubateur d’innovation (qui a coordonné toute la préparation de cet atelier pratique d’innovation sociale) et avec l’équipe du robot open source éducatif de Thymio, et d’Aseba, que nous connaissons bien et croisons de plus en plus souvent !

Ce sera également une belle occasion pour moi de vous présenter un premier retour d’expérience en tant que porteur de projet d’innovation sociale sur le thème de la conception universelle des apprentissages et de la classe inclusive.

Je partagerai avec vous ce que nous avons fait concrètement jusqu’ici, comment nous cherchons à développer notre projet, et comment nous avons expérimenté une plateforme de cours en ligne et une plateforme de crowdfunding d’innovation sociale Babele pour « booster » notre projet, en terme de compétences et de visibilité.

Fil de discussion du Barcamp sur l'innovation sociale
Fil de discussion du Barcamp sur l’innovation sociale

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Retrouvez le programme ici. On vous attend nombreux ! La suite de la semaine sera également passionnante avec de nombreuses sessions organisées par nos partenaires et amis de l’écosystème d’entrepreneuriat et de l’innovation du Grand Genève.

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