Évolution des relations Franco-Allemande-Suisses depuis 1989

Depuis 1989, de l’eau a coulé sous les ponts

Depuis la chute du mur de Berlin en 1989, les relations entre l’Allemagne, la France et la Suisse ont évolué de manière significative, tant sur le plan économique que culturel.

Ces trois pays, bien que différents par leur histoire et leur culture, partagent des liens étroits qui se sont renforcés dans le cadre de l’Union européenne et de divers accords bilatéraux.

Après avoir vécu à Berlin peu de temps après la chute du mur, je vivais à Berlin de 1997 à 1999, suivre les relations entre ces pays a toujours été un centre d’intérêt fort pour moi.

Désormais à Genève, et alors que l’on célèbre aujourd’hui les 35 ans de la chute du mur, j’observe avec attention l’évolution de ces relations et de ces coopérations.

Quelles ont été les principales transformations de ces relations depuis la fin de la guerre froide ?

Allons-nous vers plus d’intégration et de coopération ?

Quels sont les exemples de réussite entre ces 3 nations ?

Contexte historique

La chute du mur de Berlin a marqué la fin d’une époque de division en Europe et a ouvert la voie à une intégration plus profonde des pays européens.

Pour l’Allemagne, cela a signifié la réunification, tandis que pour la France, cela a représenté une opportunité de renforcer son influence au sein d’une Europe unie.

La Suisse, tout en restant en dehors de l’Union européenne, a joué un rôle de médiateur et a maintenu des relations étroites avec ses voisins.

Relations économiques

Commerce et investissement

Les échanges commerciaux entre l’Allemagne, la France et la Suisse ont connu une croissance considérable depuis 1989.

L’Allemagne est l’un des principaux partenaires commerciaux de la France et de la Suisse.

En 2022, les exportations françaises vers l’Allemagne et la Suisse ont atteint des sommets, et les investissements directs étrangers ont également augmenté.

Les entreprises allemandes sont particulièrement présentes en France, notamment dans les secteurs de l’automobile, de la chimie et de l’électronique.

Coopération dans les secteurs stratégiques

Les trois pays collaborent dans plusieurs secteurs clés, tels que l’énergie, les technologies de l’information et les transports.

Par exemple, les projets d’infrastructures transfrontalières ont été renforcés, facilitant ainsi le commerce et la mobilité des personnes.

Des initiatives communes, comme le développement d’énergies renouvelables, illustrent également cette coopération.

Relations culturelles et « soft power »

Échanges culturels et éducation

Les relations culturelles entre l’Allemagne, la France et la Suisse se sont intensifiées grâce à divers programmes d’échanges.

Les universités et les institutions culturelles des trois pays ont établi des partenariats, favorisant l’échange d’étudiants et de chercheurs.

Le programme Erasmus, par exemple, a encouragé la mobilité des étudiants entre ces pays, renforçant ainsi les liens culturels.

Influence linguistique et artistique

La diversité linguistique est un trait caractéristique des relations entre ces pays.

En France, l’allemand est enseigné comme langue étrangère, tandis que le français est largement parlé en Suisse, en particulier dans la région romande.

Sur le plan artistique, des festivals, des expositions et des événements culturels communs, tels que la Fête de la musique, témoignent des échanges créatifs entre ces nations.

Défis et perspectives

Questions économiques et politiques

Malgré ces relations fructueuses, des défis subsistent. Les tensions économiques, comme celles liées à la concurrence dans certains secteurs, peuvent parfois créer des frictions. Par ailleurs, les différences de politiques migratoires et environnementales peuvent également poser des obstacles à une coopération plus étroite.

Vers plus de coopération ?

La coopération entre la France, la Suisse et l’Allemagne se manifeste à travers divers domaines, allant de l’économie à la culture.

Voici quelques-uns des meilleurs exemples de cette collaboration :

1. Accords de Schengen et de Dublin

Ces accords facilitent la libre circulation des personnes entre les pays signataires, y compris la France, l’Allemagne et la Suisse. Bien que la Suisse ne soit pas membre de l’UE, elle participe à ces accords, ce qui renforce la coopération en matière de sécurité et de gestion des frontières.

2. Projets d’infrastructure transfrontaliers

Des projets tels que le développement du réseau ferroviaire et routier entre ces pays favorisent le commerce et la mobilité. Par exemple, le projet de liaison ferroviaire entre Strasbourg (France) et Fribourg (Suisse) améliore l’accessibilité et les échanges. A Genève également, de nombreuses initiatives transfrontalières voient le jour.

3. Coopération en matière de recherche et d’innovation

Les universités et les centres de recherche collaborent sur des projets communs.

Des initiatives comme le programme Horizon Europe encouragent les partenariats entre chercheurs français, allemands et suisses dans des domaines tels que la santé, l’énergie et les technologies de l’information.

4. Échanges culturels et linguistiques

Des programmes d’échanges scolaires et universitaires, comme Erasmus+, permettent aux étudiants de vivre et d’étudier dans l’un des trois pays. Cela favorise la compréhension interculturelle et le partage des langues.

5. Initiatives environnementales

La coopération dans des projets environnementaux, comme la gestion des ressources en eau du Rhin, illustre l’engagement des trois pays envers la durabilité.

Des accords bilatéraux et multilatéraux portent sur la protection de l’environnement et la lutte contre le changement climatique.

6. Partenariat dans le secteur de la santé

La coopération en matière de santé publique est un autre exemple significatif, notamment pendant la pandémie de COVID-19.

Les pays ont échangé des informations et collaboré sur la recherche de traitements et de vaccins.

7. Événements culturels communs

Des festivals et des événements culturels, comme la Fête de la musique et les marchés de Noël, réunissent les citoyens des trois pays, favorisant l’échange culturel et la convivialité.

8. Commissions mixtes et forums économiques

Des forums tels que le Forum économique franco-allemand ou des commissions mixtes permettent de discuter de questions économiques et politiques d’intérêt commun, renforçant ainsi la coopération régionale.

Ces exemples démontrent que la France, la Suisse et l’Allemagne entretiennent des relations solides et diversifiées.

En travaillant ensemble, ces pays renforcent leur position en Europe et contribuent à un avenir commun basé sur la coopération et le respect mutuel.

Vers une intégration accrue ?

À l’avenir, la coopération entre l’Allemagne, la France et la Suisse pourrait encore se renforcer. Les enjeux mondiaux, tels que le changement climatique et la transition énergétique, nécessitent des réponses collectives. De plus, la nécessité de maintenir la stabilité en Europe face à des défis géopolitiques croissants pourrait inciter ces pays à renforcer leur collaboration.

Conclusion

Depuis la chute du mur de Berlin, les relations économiques et culturelles entre l’Allemagne, la France et la Suisse ont évolué vers une interconnexion plus forte.

Ces trois pays, malgré leurs différences, ont su créer des liens durables qui favorisent la prospérité et l’enrichissement mutuel.

L’avenir me semble donc prometteur, avec des opportunités de coopération accrue face aux défis globaux (évènements climatiques extrêmes, crise des ressources, pollutions, crise de la biodiversité) et à la nécessaire compétitivité, face aux autres blocs qui émergent très fortement.

En continuant à travailler ensemble, l’Allemagne, la France et la Suisse peuvent renforcer leur rôle en tant que piliers d’une Europe unie et dynamique.

Et si c’était +4…

Un réchauffement climatique de +4 degrés Celsius entraînerait des impacts profonds et irréversibles sur la planète, dont la plupart seraient négatifs pour les entreprises. Les températures plus élevées, les événements météorologiques extrêmes plus fréquents et plus intenses, la montée du niveau de la mer et l’acidification des océans auraient un impact significatif sur les activités des entreprises, leurs chaînes d’approvisionnement, leurs employés et leurs clients.

Pour se préparer à ce scénario, les entreprises doivent adopter une approche proactive et intégrée de la gestion des risques climatiques. Cette approche doit comprendre les éléments suivants :

  • Une évaluation des risques climatiques : Les entreprises doivent identifier les risques climatiques auxquels elles sont exposées, en tenant compte de leur secteur d’activité, de leur localisation géographique et de leurs activités.
  • La mise en place de mesures de mitigation : Les entreprises doivent prendre des mesures pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et leurs impacts sur le climat. Ces mesures peuvent inclure des investissements dans les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, la réduction des déchets et la protection de la biodiversité.
  • La mise en place de mesures d’adaptation : Les entreprises doivent se préparer aux impacts du changement climatique qui ne peuvent être évités. Ces mesures peuvent inclure la résilience des actifs, la diversification des chaînes d’approvisionnement et la gestion des risques financiers.

Voici quelques exemples spécifiques de mesures que les entreprises peuvent prendre pour se préparer au réchauffement climatique à +4 degrés :

  • Réduire leur consommation d’énergie : Les entreprises peuvent investir dans des technologies d’efficacité énergétique, telles que les LED, les systèmes de gestion des bâtiments intelligents et les véhicules électriques.
  • Passer aux énergies renouvelables : Les entreprises peuvent installer des panneaux solaires ou éoliens sur leurs sites ou acheter de l’énergie renouvelable auprès d’un fournisseur.
  • Diversifier leurs chaînes d’approvisionnement : Les entreprises peuvent s’approvisionner auprès de fournisseurs situés dans des zones moins exposées aux risques climatiques.
  • Assurer la résilience de leurs actifs : Les entreprises peuvent investir dans des mesures de protection contre les inondations, les incendies et autres événements climatiques extrêmes.

La préparation au réchauffement climatique est un enjeu important pour les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activité. En adoptant une approche proactive, les entreprises peuvent réduire les risques et les coûts associés au changement climatique, et améliorer leur résilience et leur compétitivité.

Voici quelques exemples d’entreprises qui se sont engagées à réduire leur impact sur le climat :

  • L’entreprise de vêtements Patagonia s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2025.
  • L’entreprise de cosmétiques Lush s’est engagée à utiliser 100 % d’énergie renouvelable d’ici 2025.
  • L’entreprise de technologie Apple s’est engagée à réduire de 75 % ses émissions de carbone d’ici 2030.

Ces entreprises montrent que la transition vers une économie plus durable est possible et rentable.

Plan d’action pour réduire la consommation d’énergie des entreprises

Étape 1 : Évaluation des risques

La première étape consiste à identifier les risques climatiques auxquels l’entreprise est exposée. Ces risques peuvent inclure :

  • Une augmentation des coûts énergétiques
  • Des interruptions de l’approvisionnement en énergie
  • Des dommages aux actifs physiques
  • Une perturbation des activités commerciales

L’entreprise peut utiliser une variété d’outils et de techniques pour évaluer ses risques climatiques, notamment :

  • Des analyses de scénarios
  • Des enquêtes auprès des employés
  • Des audits énergétiques

Étape 2 : Mise en œuvre de mesures de mitigation

Une fois que les risques climatiques ont été identifiés, l’entreprise peut mettre en œuvre des mesures pour les atténuer. Ces mesures peuvent inclure :

  • Réduction de la consommation d’énergie
  • Passage aux énergies renouvelables
  • Diversification des chaînes d’approvisionnement
  • Assurance de la résilience des actifs

Réduction de la consommation d’énergie

La réduction de la consommation d’énergie est l’une des mesures les plus efficaces pour atténuer les risques climatiques. Les entreprises peuvent réduire leur consommation d’énergie en prenant les mesures suivantes :

  • Investir dans des technologies d’efficacité énergétique, telles que les LED, les systèmes de gestion des bâtiments intelligents et les véhicules électriques.
  • Mettre en place des politiques et des procédures pour optimiser l’utilisation de l’énergie, telles que l’extinction des lumières et des équipements lorsqu’ils ne sont pas utilisés.
  • Sensibiliser les employés aux enjeux de l’efficacité énergétique.

Passage aux énergies renouvelables

Le passage aux énergies renouvelables est une autre mesure efficace pour atténuer les risques climatiques. Les énergies renouvelables, telles que l’énergie solaire et l’énergie éolienne, ne produisent pas d’émissions de gaz à effet de serre.

Les entreprises peuvent passer aux énergies renouvelables en installant des panneaux solaires ou éoliens sur leurs sites ou en achetant de l’énergie renouvelable auprès d’un fournisseur.

Diversification des chaînes d’approvisionnement

La diversification des chaînes d’approvisionnement peut aider les entreprises à réduire leur exposition aux risques climatiques. Les entreprises peuvent diversifier leurs chaînes d’approvisionnement en s’approvisionnant auprès de fournisseurs situés dans des zones moins exposées aux risques climatiques.

Assurance de la résilience des actifs

Les entreprises peuvent investir dans des mesures de protection contre les inondations, les incendies et autres événements climatiques extrêmes pour assurer la résilience de leurs actifs. Ces mesures peuvent inclure :

  • L’installation de systèmes d’alerte précoce
  • L’aménagement de zones tampons
  • L’utilisation de matériaux résistants aux intempéries

Exemples de mesures concrètes

Voici quelques exemples de mesures concrètes que les entreprises peuvent prendre pour réduire leur consommation d’énergie :

  • Remplacer les ampoules incandescentes par des ampoules LED
  • Réduire la température de chauffage et de climatisation
  • Éteindre les lumières et les équipements lorsqu’ils ne sont pas utilisés
  • Optimiser les réglages des systèmes de ventilation et de climatisation
  • Réduire la consommation d’eau chaude

Ces mesures peuvent être mises en œuvre à court terme et à long terme, et elles peuvent apporter des économies importantes.

Que faire pour les employés ?

Un réchauffement climatique de +4 degrés Celsius entraînerait des impacts profonds et irréversibles sur la planète, dont certains seraient négatifs pour les employés. Les températures plus élevées, les événements météorologiques extrêmes plus fréquents et plus intenses, la montée du niveau de la mer et l’acidification des océans auraient un impact significatif sur la santé, la sécurité et le bien-être des employés.

Pour protéger les employés dans un scénario à +4 degrés, les entreprises doivent adopter une approche proactive et intégrée de la gestion des risques climatiques. Cette approche doit comprendre les éléments suivants :

  • Une évaluation des risques climatiques : Les entreprises doivent identifier les risques climatiques auxquels leurs employés sont exposés, en tenant compte de leur secteur d’activité, de leur localisation géographique et des activités de leurs employés.
  • La mise en place de mesures de mitigation : Les entreprises doivent prendre des mesures pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et leurs impacts sur le climat. Ces mesures peuvent inclure des investissements dans les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, la réduction des déchets et la protection de la biodiversité.
  • La mise en place de mesures d’adaptation : Les entreprises doivent se préparer aux impacts du changement climatique qui ne peuvent être évités. Ces mesures peuvent inclure la résilience des actifs, la diversification des chaînes d’approvisionnement et la gestion des risques financiers.

Voici quelques exemples spécifiques de mesures que les entreprises peuvent prendre pour protéger leurs employés dans un scénario à +4 degrés :

  • Évaluer les risques pour la santé et la sécurité des employés : Les entreprises doivent identifier les risques pour la santé et la sécurité des employés liés au changement climatique, tels que les risques d’exposition à la chaleur, aux polluants atmosphériques et aux maladies infectieuses.
  • Mettre en place des mesures de prévention : Les entreprises doivent mettre en place des mesures de prévention pour réduire les risques pour la santé et la sécurité des employés, telles que des programmes de formation sur la santé et la sécurité, des politiques de contrôle de l’exposition à la chaleur et des plans d’urgence en cas d’événements météorologiques extrêmes.
  • Procéder à des ajustements des conditions de travail : Les entreprises peuvent devoir procéder à des ajustements des conditions de travail pour protéger les employés des effets du changement climatique, tels que l’installation de climatisation dans les bureaux ou la mise en place de pauses plus fréquentes pour les travailleurs manuels.
  • Aider les employés à s’adapter : Les entreprises peuvent aider les employés à s’adapter aux effets du changement climatique, tels que les changements de conditions météorologiques ou les déplacements dus à la montée du niveau de la mer.

Voici quelques exemples concrets de mesures que les entreprises peuvent prendre pour protéger leurs employés dans un scénario à +4 degrés :

  • Les entreprises de construction peuvent mettre en place des mesures pour protéger les travailleurs des fortes chaleurs et de la déshydratation, telles que la mise à disposition d’eau fraîche et d’abris ombragés.
  • Les entreprises de fabrication peuvent mettre en place des mesures pour protéger les travailleurs des polluants atmosphériques, tels que l’installation de filtres à air et la mise en place de programmes de surveillance de la santé.
  • Les entreprises agricoles peuvent mettre en place des mesures pour protéger les travailleurs des maladies infectieuses, telles que la mise en place de programmes de vaccination et la mise à disposition de douches et de vestiaires.

Ces mesures peuvent être mises en œuvre à court terme et à long terme, et elles peuvent contribuer à améliorer la santé, la sécurité et le bien-être des employés.

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Dis-moi quelle est la couleur de ton hydrogène et je te dirai qui tu es.

La transition énergétique, depuis le temps qu’on en parle, on se dit que ce serait sans doute bien le moment de migrer des énergies fossiles vers les énergies décarbonnées.

Dans le mix énergétique du futur, l’hydrogène semble voué à jouer un rôle. Oui, mais quel rôle exactement ?

Certains l’annoncent comme le remède miracle, d’autres nous disent « pas avant 30 ans », finalement on se demande bien par où on commence, qu’est-ce qu’on migre, qu’est-ce qu’on change…

Si les technologies sont prêtes et n’attendent plus que nous, pourquoi alors les migrations (passage du fossil à l’hydrogène) et les changements d’habitude, de comportements et d’achats se font encore attendre ? C’est quoi l’excuse !!!???

En cherchant à comprendre ce qui motive ou freine l’adoption de l’hydrogène, le code couleur semble important !!!

Pour se faire une idée, l’article de Mickaël CORREIA publié le jeudi 19 Aout 2021 sur Mediapart et sur Slideshare, nous donne quelques pistes pour comprendre.

« L’hydrogène est vanté par les industriels et les gouvernements du monde entier comme la nouvelle énergie «propre» censée nous sauver du chaos climatique. Financé à coups de milliards d’euros d’argent public, l’hydrogène s’avère pourtant nocif pour le climat comme le révèle une dernière étude scientifique » selon Joëlle Leconte.

POur Lombard Odier, c’est la voix à suivre.

Alors, cet hydrogène, solution miracle ou nocive ? Rêve de la transition ou cauchemar de la décarbonation ?

Il y a débat, alors comment savoir ?

S’il existe plusieurs couleurs, comment s’y retrouver ? Quelle couleur choisir ? Comment être sûr de ne pas se tromper ?

Pour les non-initiés, l’hydrogène existe en vert, en bleu, en jaune, en gris, ou en « nature » et tous les pays ne semblent pas choisir la même couleur. On évoque même 50 nuances !!! Et oui, on arrive même à faire du sensuel dans l’industrie de l’énergie !!!

La pile à combustible, elle aussi, fait débat.

Perdu au milieu de ces débats d’experts aux enjeux économiques colossaux, comment faire pour faire la part des choses et pour décider par soi-même de la meilleure option de décarbonation ?

Qu’en pensez-vous ? Sur quelle option misez-vous ?