Leveraging my Strategic Framework for Circular Business Models: Navigating Sustainable Transformation

Je suis ravi de vous annoncer une nouvelle des plus enthousiasmantes : mon article, intitulé

« Leveraging a new strategic framework for Circular Business Models: Navigating Sustainable Transformation »

a été accepté pour une présentation orale à la 8e Conférence internationale sur les technologies et les modèles d’affaires pour l’économie circulaire (TBMCE 2025).

Cet événement prestigieux se tiendra au Grand Hotel Bernardin, à Portorož, en Slovénie, du 3 au 5 septembre 2025.

C’est un honneur immense de pouvoir partager mes recherches et de présenter les cas d’usage les plus pertinents de l’économie circulaire, symbiotique et régénérative et d’échanger avec des experts du monde entier sur l’avenir de l’économie circulaire et sur les solutions de la transition écologique.


Une opportunité unique en Slovénie

La Slovénie est un lieu idéal pour discuter de ce sujet crucial.

En effet, elle se positionne comme un acteur clé dans le développement de solutions durables et innovantes.

Je suis impatient de découvrir les initiatives locales, de tisser de nouveaux liens et de contribuer aux discussions sur la manière dont nous pouvons tous travailler à une transformation plus durable.

Je me réjouis de vous tenir au courant de cette formidable expérience et des découvertes que je ferai lors de cette conférence.

Pour en savoir plus sur la conférence TBMCE 2025 : https://tbmce.um.si/ et sur le programme de la conférence : https://tbmce.um.si/wp-content/uploads/2025/08/V1_PROGRAM_TBMCE_2025-1.pdf

Je tiens à exprimer ma profonde gratitude aux organisateurs de la conférence ainsi qu’aux évaluateurs qui ont examiné mon article.

Votre soutien et votre reconnaissance sont une source d’encouragement inestimable.

C’est un grand honneur d’être sélectionné pour présenter mon travail devant un public aussi distingué.

Après UNOC-3, passons à l’action

Les informations issues de l’UNOC-3 ouvrent des perspectives prometteuses pour intensifier la lutte contre la pollution plastique. Pour maximiser l’impact de ces avancées, il est crucial de passer rapidement à des actions concrètes. Voici quelques pistes de projets potentiels :

1. Renforcer la collecte et l’analyse des données de terrain

Malgré les outils numériques sophistiqués, la base de toute action éclairée reste la donnée de terrain.

  • Projet potentiel : Réseau global de capteurs intelligents pour la pollution plastique. Déployer des bouées connectées, des drones équipés de capteurs optiques, et des stations de prélèvement automatisées dans les zones critiques (estuaires, zones côtières, gyres océaniques). Ces capteurs permettraient une collecte continue et en temps réel de données sur la concentration, la taille, le type et la composition des plastiques. Les données devraient être standardisées et agrégées dans une base de données ouverte et accessible aux chercheurs et décideurs du monde entier.
  • Projet potentiel : Cartographie collaborative des points chauds de pollution. Développer des applications mobiles et des plateformes web pour permettre aux citoyens, aux marins, aux pêcheurs et aux touristes de signaler et de documenter les accumulations de déchets plastiques qu’ils rencontrent. Ces données, une fois validées, alimenteraient des cartes interactives permettant d’identifier les zones prioritaires pour les opérations de nettoyage et de prévention.

2. Accélérer le développement et l’implémentation de solutions technologiques

Le Jumeau Numérique de l’Océan est un excellent point de départ, mais il faut aller plus loin dans l’innovation.

  • Projet potentiel : Plateforme open-source pour la modélisation de la dérive des plastiques et l’évaluation d’impact. Développer une version plus accessible et personnalisable du Jumeau Numérique de l’Océan, permettant à des instituts de recherche, des ONG et même des collectivités locales de simuler différents scénarios de réduction de la production plastique ou d’actions de nettoyage, et d’évaluer leur impact potentiel sur les concentrations de plastique à diverses échelles. Cette plateforme devrait intégrer des données météorologiques, océanographiques et socio-économiques.
  • Projet potentiel : Innovation dans les matériaux alternatifs et les processus de recyclage. Financer des programmes de recherche et développement pour explorer des alternatives au plastique à usage unique (matériaux biodégradables, compostables, réutilisables) qui respectent les critères d’essentialité, de non-nocivité et de durabilité. Parallèlement, investir dans des technologies de recyclage avancées (recyclage chimique, pyrolyse) pour transformer les plastiques difficiles à recycler en nouvelles ressources.

3. Amplifier l’engagement citoyen et la sensibilisation

L’implication de la société civile est cruciale pour une transition réussie.

  • Projet potentiel : Programmes éducatifs nationaux et internationaux sur le cycle de vie du plastique. Développer des modules pédagogiques pour tous les niveaux d’enseignement, des campagnes de sensibilisation grand public à travers les médias et les réseaux sociaux, et des ateliers participatifs pour informer sur les enjeux de la pollution plastique, les alternatives durables, et les écogestes. Ces programmes pourraient inclure des visites de centres de tri, des ateliers de fabrication de produits réutilisables, ou des nettoyages de plages organisés.
  • Projet potentiel : Incubation de projets d’économie circulaire à l’échelle locale. Mettre en place des fonds et des programmes d’accompagnement pour soutenir des initiatives locales visant à réduire la consommation de plastique, favoriser le réemploi, le recyclage et la réparation. Cela pourrait inclure la création de magasins en vrac, le développement de systèmes de consigne, ou le soutien à des entreprises de réparation d’objets.

4. Soutenir l’élaboration et l’application du Traité International

Le traité est le pilier d’une action globale, et son succès dépendra de son ambition et de son application rigoureuse.

  • Projet potentiel : Groupe de travail multidisciplinaire pour l’analyse des additifs plastiques. Créer une équipe d’experts internationaux (chimistes, toxicologues, environnementalistes) chargée d’analyser en profondeur les 16 000 composés recensés dans les plastiques, d’identifier ceux qui sont nocifs et de proposer des listes de substances à interdire ou à réguler strictement. Les résultats de ce groupe de travail alimenteraient directement les discussions sur le traité.
  • Projet potentiel : Cadre de soutien aux pays en développement pour la mise en œuvre du traité. Établir un mécanisme de financement et d’assistance technique pour aider les pays en développement à adopter les législations nécessaires, à mettre en place les infrastructures de gestion des déchets, et à développer des alternatives durables. Cela pourrait inclure des transferts de technologie et des programmes de formation.

En se concentrant sur ces types de projets concrets, la communauté internationale peut transformer les engagements de l’UNOC-3 en actions tangibles, ouvrant la voie à des océans plus propres et à un avenir plus durable.

Engagé depuis de nombreuses années, conscient des enjeux, je serai de ces combats sous une forme ou sous une autre !

Améliorer la dynamique des CODIRs

Le framework développé par Yves Zieba, offre une approche innovante pour améliorer la dynamique des Comités de Direction (CODIR).

En mettant l’accent sur la fluidité, l’agilité et la collaboration, cela permet aux CODIRs de surmonter les défis traditionnels et de devenir des moteurs de performance et d’innovation.

Dans un contexte d’incertitude croissante, cette approche est plus pertinente que jamais.

Les défis actuels d’incertitude

1. Changements rapides du marché

Les entreprises évoluent dans un environnement volatile, marqué par des changements rapides dans les attentes des clients, les technologies, et la réglementation. Ces transformations exigent des CODIRs qu’ils soient capables de s’adapter rapidement.

2. Complexité croissante

La complexité des organisations modernes, avec des structures souvent matricielles et des réseaux de partenaires étendus, rend la communication et la prise de décision plus difficiles. Les silos entre départements peuvent freiner l’innovation et l’agilité.

3. Pression pour l’innovation

Les entreprises doivent innover constamment pour rester compétitives. Cela nécessite une culture qui favorise la créativité et l’expérimentation, plutôt qu’une approche rigide et hiérarchique.

Pourquoi le framework est adapté aux défis d’incertitude

1. Fluidité des échanges

Le cadre promeut une circulation libre des idées et des informations, essentielle dans un environnement incertain :

  • Communication ouverte : En encourageant des échanges francs, le CODIR peut identifier rapidement les problèmes émergents et y répondre de manière proactive.
  • Partage d’informations en temps réel : L’utilisation d’outils numériques permet de diffuser rapidement des informations critiques, minimisant ainsi les malentendus et les retards.

2. Agilité décisionnelle

Face à l’incertitude, la capacité de prise de décision rapide est cruciale :

  • Réunions courtes et ciblées : En réduisant le temps des réunions, le CODIR peut se concentrer sur des décisions clés et s’adapter rapidement aux changements.
  • Approche itérative : Tester des solutions rapidement et ajuster les décisions en fonction des retours permet une flexibilité indispensable dans un environnement changeant.

3. Responsabilité collective

Ce cadre encourage un sentiment de responsabilité partagée, essentiel pour naviguer dans l’incertitude :

  • Engagement clair : Chaque membre connaît ses responsabilités et s’engage à atteindre des objectifs communs, ce qui renforce la cohésion du groupe.
  • Suivi régulier : Mettre en place des points de contrôle pour assurer que les décisions sont suivies d’actions concrètes permet de maintenir le cap, même en période d’incertitude.

4. Facilitation de la co-création

La co-création devient une nécessité dans un monde complexe où les solutions innovantes sont souvent le fruit d’une collaboration :

  • Encourager les contributions de tous : Chaque membre peut apporter ses idées, ce qui stimule la créativité et enrichit le processus décisionnel.
  • Vision commune : Les discussions ouvertes permettent d’aligner les membres sur une vision partagée, essentielle pour naviguer ensemble dans l’incertitude.

Comment mettre en place cette approche dans une organisation ?

1. Évaluation initiale

Il est crucial de commencer par un diagnostic de la dynamique actuelle du CODIR pour identifier les points de friction et les opportunités d’amélioration.

2. Accompagnement par des experts

Faire appel à un consultant spécialisé peut faciliter l’implémentation :

  • Ateliers de formation : Former les membres du CODIR
  • Coaching : Travailler sur la dynamique de groupe et le développement des compétences en communication.
  • Suivi et ajustement : Évaluer régulièrement l’implémentation et ajuster les pratiques en fonction des retours.

3. Mise en oeuvre des outils et pratiques

  • Adoption d’outils numériques : Utiliser des plateformes de collaboration pour faciliter les échanges.
  • Ritualiser la communication : Organiser des réunions qui respectent les principes.
  • Encourager la co-création : Instaurer des sessions de brainstorming où chaque membre contribue à des projets communs.

Ce que cela change et les résultats attendus

1. Changement culturel

L’implémentation entraîne un changement culturel vers une plus grande transparence et collaboration, favorisant un climat de confiance propice à l’innovation.

2. Amélioration de la performance

Les résultats peuvent être significatifs :

  • Accélération des prises de décision : Les CODIRs deviennent plus réactifs et agiles face aux changements du marché.
  • Innovation accrue : Un environnement propice à la co-création stimule l’innovation et la créativité.

3. Engagement renforcé

L’adhésion des membres aux décisions prises augmente, menant à une motivation accrue et une meilleure mise en œuvre des actions décidées.

Conclusion

Le framework de Yves Zieba représente une réponse efficace aux défis d’incertitude auxquels les CODIRs sont confrontés aujourd’hui.

En favorisant la fluidité des échanges, l’agilité dans la prise de décision et la responsabilité collective, cela améliore le niveau de maturité et la performance des équipes de CODIR (mais aussi de COPIL ou de COMEX).

En adoptant cette approche, les organisations peuvent non seulement optimiser leurs processus, mais aussi créer un environnement collaboratif où chaque voix compte et où l’innovation est au cœur des préoccupations.

Cela conduit à des résultats tangibles, tant pour le CODIR que pour l’ensemble de l’organisation, en permettant de mieux naviguer dans un monde incertain et en constante évolution.