L’importance d’un accompagnement expert pour les tests ludiques de compétences mentales

Dans un monde de plus en plus compétitif, la distinction entre un QI élevé et une efficacité mentale exceptionnelle est souvent le facteur déterminant du succès professionnel.

Selon une enquête récente, les participants préfèrent une efficacité mentale élevée à un QI élevé.

Pourquoi font-ils ce choix alors que le QI est plus connu ?

Peut-on considérer que l’efficacité mentale détermine l’efficacité commerciale ?

Dans quel cas est-ce un bon outil d’identification et d’évaluation de compétences

Pour comprendre cette préférence, il faut d’abord clarifier ce que représentent ces deux concepts et comment un accompagnement expert peut faire la différence.

Le QI vs. l’Efficacité Mentale

  • QI (Quotient Intellectuel) : Le QI est une mesure du potentiel intellectuel d’une personne. Il évalue des capacités comme la logique, la résolution de problèmes, et la mémoire. Cependant, avoir un QI élevé ne garantit pas que ces capacités seront appliquées efficacement dans des situations réelles.
  • Efficacité mentale : C’est la capacité à utiliser ses ressources intellectuelles de manière optimale dans des contextes variés. Elle inclut la gestion du temps, la résilience émotionnelle, la concentration et l’adaptation aux changements.

Pourquoi l’efficacité mentale emporte-t-elle ma préférence ?

  1. Réalisation du potentiel :
    • Le QI vous donne les outils, mais l’efficacité mentale vous montre comment les utiliser pour obtenir des résultats concrets. Par exemple, un développeur de logiciel avec une excellente efficacité mentale peut non seulement écrire du code, mais aussi le faire rapidement, efficacement, et en tenant compte des contraintes de temps et des besoins du projet.
  2. Performance sous pression :
    • Les rôles exigeants, comme ceux dans le domaine de l’ingénierie, du commerce, ou des startups technologiques, nécessitent une capacité à performer sous pression. L’efficacité mentale permet de naviguer ces environnements avec agilité.
  3. Frustration et satisfaction professionnelle :
    • Une personne très efficace peut s’ennuyer ou se frustrer dans des rôles où ses compétences ne sont pas pleinement exploitées, ce qui peut mener à un mécontentement général. En revanche, dans des environnements dynamiques, elle excelle et trouve satisfaction dans le dépassement constant.

Le rôle crucial de l’accompagnement expert

Un accompagnement expert dans les tests ludiques de compétences mentales peut :

  • Identifier les forces et faiblesses : Au-delà du QI, un expert peut évaluer comment une personne utilise son intelligence en situation réelle, ce qui est crucial pour déterminer l’efficacité mentale.
  • Personnaliser les stratégies d’apprentissage et de développement : Les tests ludiques, lorsqu’ils sont administrés par des spécialistes, peuvent offrir des insights sur comment améliorer la gestion du temps, la concentration, et la résilience émotionnelle.
  • Aider à l’insertion professionnelle et à l’outplacement : Comprendre où et comment une personne avec une haute efficacité mentale peut exceller permet de mieux orienter les carrières, évitant ainsi des placements inappropriés qui mènent à la frustration.

En conclusion, l’efficacité mentale surpasse souvent le QI en termes de valeur pratique dans de nombreux domaines professionnels.

Elle est la clé de la réalisation du potentiel intellectuel dans des contextes où la rapidité, l’adaptabilité, et la résilience sont essentielles. Cependant, il ne s’agit pas de dénigrer l’importance du QI, mais plutôt de reconnaître que l’efficacité mentale est ce qui permet de transformer ce potentiel en résultats tangibles.

C’est généralement ce qui intéresse les organisations que j’accompagne.

En conclusion, l’accompagnement d’un expert pour évaluer et développer l’efficacité mentale à travers des tests ludiques n’est pas un luxe mais une nécessité pour quiconque souhaite non seulement comprendre ses capacités intellectuelles mais aussi exceller dans leur utilisation quotidienne.

Pour en savoir plus sur nos jeux et sur notre accompagnement, contactez moi !!!

Yves Zieba

Dois-je les forcer à sortir de leur zone de confort ?

« Je suis nul en réseautage », « je n’aime pas les réseaux sociaux », « je ne vois pas pourquoi je devrai pitcher », « J’ai horreur de me vendre », « c’est tellement humiliant de chercher un emploi », « hors de question d’envoyer un CV, j’attends qu’on vienne me chercher », « jamais je ne ferai de vidéo », « je ne vais jamais sur LinkedIN », « je n’ose pas demander », « j’y suis allé.e mais je ne connaissais personne, je ne veux plus y retourner… »

La liste d’exemples entendus est longue comme le bras et quelque soit le sujet, il m’arrive d’être confronté à des situations où cette question se pose :

  • Dois-je l’inviter à essayer et à oser ?
  • Dois-je l’inciter à se mettre en danger et à tenter au moins une fois ?
  • Dois-je les forcer à sortir de leur zone de confort ?
  • Que faire pour créer ce « choc de motivation » qui va déclencher quelque chose de nouveau et inhabituel, et changer les choses pour le meilleur ?

Si j’étais toi, je ferais….

Oui, mais voilà, je ne suis pas toi, et c’est une partie du questionnement…

Si de l’extérieur, cela semble assez évident que c’est dans l’intérêt de la personne et pour son bien, à y réfléchir à deux fois, c’est tout de même pas si évident de bien faire passer le message.

Alors que faire ? Pesons le pour et le contre…

Perspectives favorables à forcer l’autre à oser

  • Développement personnel : Sortir de sa zone de confort est souvent prôné dans le développement personnel comme une manière d’apprendre, de grandir, et de se surpasser. Pousser quelqu’un à expérimenter de nouvelles choses peut l’aider à découvrir de nouveaux talents, intérêts, ou à surmonter des peurs irrationnelles.
  • Renforcement de la confiance en Soi : En encourageant quelqu’un à essayer quelque chose de nouveau, on peut contribuer à renforcer sa confiance en soi. Les petites victoires en dehors de la zone de confort peuvent avoir un impact significatif sur l’estime de soi.
  • Amélioration des relations : Parfois, sortir de sa zone de confort peut améliorer les relations interpersonnelles, par exemple en apprenant à communiquer différemment ou en participant à des activités conjointes qui n’étaient pas envisagées auparavant.

Perspectives contre à forcer l’autre à sortir de sa zone de confort

  • Respect de l’autonomie : Forcer quelqu’un contre sa volonté peut être perçu comme une violation de son autonomie. Chacun a son rythme et ses peurs, et forcer peut engendrer du ressentiment ou de l’inconfort accru.
  • Stress et anxiété : Sortir de sa zone de confort sans être prêt peut générer de l’anxiété ou du stress. Si cette sortie n’est pas gérée avec sensibilité, cela peut avoir des effets contre-productifs, comme une baisse de moral ou une aversion accrue pour l’activité en question.
  • Résultats non garantis : Contrairement à ce qu’espère peut-être celui qui pousse, sortir de sa zone de confort n’assure pas le succès ou l’épanouissement. Certains peuvent y trouver du stress inutile ou se sentir déplacés sans pour autant en retirer des bénéfices personnels.

Bref, pour le moment, voilà où j’en suis dans mes réflexions… une ligne de crête où chaque pas peut nous faire tomber d’un coté ou de l’autre.

  • Approche encouragée vs. forcée : Plutôt que de forcer, il pourrait être plus bénéfique d’encourager, de soutenir, et de créer des environnements où sortir de sa zone de confort apparaît comme une option attrayante et sécurisée.
  • Compréhension et empathie : Comprendre pourquoi quelqu’un reste dans sa zone de confort est crucial. Peut-être y a-t-il des raisons valables (peur irrationnelle, expériences passées) qui nécessitent d’abord un travail intérieur ou thérapeutique.
  • Équilibre : Trouver un équilibre entre le soutien à la croissance personnelle et le respect des limites personnelles est essentiel. Parfois, l’exemple personnel, la patience, et des petites incitations peuvent être plus efficaces qu’une poussée directe.

En résumé, plutôt que de forcer, une approche consensuelle et compréhensive me semble plus appropriée, valorisant la croissance personnelle tout en respectant l’individualité et le rythme de chacun.

C’est ce que je m’efforce de faire dans mes séances de coaching individuel.

Et vous, êtes vous plutôt pour ou contre forcer la main de l’autre pour son bien ? Etes-vous plutôt poussée directe et grande tape dans le dos ou petites incitations subtiles ?