Est-ce le bon moment de (re)donner un sens à votre carrière ?

🔑 Bilan de compétences, dans quel cas est-ce pertinent ?

Vous sentez-vous parfois à la croisée des chemins ? Votre métier ne vous apporte plus la même satisfaction, ou peut-être avez-vous une vague envie de changement sans savoir par où commencer ?

Le Bilan de Compétences est bien plus qu’une simple évaluation : c’est une pause structurée dans votre parcours pour faire le point sur qui vous êtes, ce que vous savez faire et ce qui vous anime vraiment. C’est l’outil idéal pour transformer le flou en un plan d’action concret.

💡 Les Signaux : Quand faut-il investir dans un Bilan de Compétences ?

Investir dans un bilan est une démarche personnelle et réfléchie. Voici les situations et les déclencheurs les plus fréquents qui justifient de se lancer :

🛑 Le Plafond de Verre et l’Ennui

  • Vous stagnez : Vous maîtrisez parfaitement votre poste, mais l’évolution interne est bloquée ou ne vous intéresse plus.
  • La perte de sens : Vous vous levez sans enthousiasme, le manque de motivation est chronique.
  • L’usure professionnelle : Vous sentez que vos compétences sont sous-utilisées ou que votre environnement de travail vous épuise.

🔄 L’Appel du Changement et de la Reconversion

  • Le rêve d’un autre métier : Vous avez une idée de reconversion, mais vous avez besoin de valider sa faisabilité et d’analyser l’écart entre vos acquis et les prérequis de ce nouveau rôle.
  • La nécessité de bouger : Votre secteur est en crise ou votre poste est menacé, vous devez anticiper votre transition professionnelle.
  • Le retour à l’emploi : Après une longue pause (congé parental, maladie), vous avez besoin de réévaluer vos compétences et de redéfinir votre projet avant de reprendre votre carrière.

❓ Le Flou et le Besoin de Clarification

  • L’incertitude totale : « Je sais que je veux changer, mais je ne sais pas quoi faire. » Le bilan vous aide à identifier vos motivations profondes et les secteurs qui résonnent avec vos valeurs.
  • La valorisation des acquis : Vous avez acquis des compétences informelles (via le bénévolat, des projets personnels) que vous souhaitez intégrer et valoriser dans votre CV ou votre futur poste.

📅 La Bonne Fréquence : Quand refaire un bilan ?

Le bilan de compétences n’a pas de date d’expiration légale, et il n’est pas conçu pour être fait tous les ans !

La démarche est avant tout situationnelle. Il est généralement conseillé d’y recourir tous les 5 à 10 ans, ou chaque fois que vous traversez une période de transition majeure :

  • Après une prise de poste importante (pour valider votre adaptation et vos nouvelles compétences).
  • Lors d’une hésitation entre deux orientations de carrière.
  • Quand vous souhaitez lancer un projet entrepreneurial (pour analyser la cohérence de vos compétences avec celles requises).

L’important n’est pas la date, mais le besoin de faire le point face à un changement ou une insatisfaction.


🤝 L’Accompagnement : Comment choisir son partenaire ?

Le succès de votre bilan dépend énormément de la qualité de l’accompagnement. C’est un investissement personnel, alors soyez exigeant dans votre choix.

1. La Certification et le Cadre

Vérifiez que l’organisme est certifié Qualiopi. Cette certification garantit que le processus est sérieux, que les étapes sont respectées (les fameuses 3 phases : préliminaire, investigation, conclusion) et que l’organisme est habilité à recevoir des financements publics (comme ceux de votre Compte Personnel de Formation – CPF).

2. La Méthodologie et les Outils

Assurez-vous que l’approche n’est pas uniquement basée sur des entretiens. Un bon bilan doit inclure :

  • L’utilisation de tests validés (personnalité, intérêts professionnels).
  • Une phase d’enquête terrain (enquêtes métiers) pour valider la réalité de votre projet.
  • Un travail sur les compétences transférables.

3. Le Facteur Humain (Le « Fit »)

Prenez le temps d’un premier entretien gratuit et sans engagement. C’est crucial ! Votre consultant doit vous inspirer confiance. Vous allez lui confier votre parcours et vos doutes. Le sentiment de sécurité et la qualité du rapport humain sont souvent les clés d’un bilan réussi.

Rappel important : La synthèse finale du bilan de compétences est un document confidentiel qui vous appartient exclusivement. Vous seul(e) décidez de la transmettre ou non à votre employeur.


Prêt à faire le premier pas ?

Si vous vous reconnaissez dans ces déclencheurs, c’est peut-être le signe qu’il est temps de prendre le contrôle de votre trajectoire professionnelle.

Pour en savoir plus, visitez notre page dédiée aux bilans de compétences :

Savoir où vous en êtes en 3 temps 3 mouvements !!! – Shaping tomorrow

Surfer sur la vague Z

Comment s’adapter aux codes de la génération Z ?

La génération Z, née entre 1997 et 2012, bouleverse les codes et les conventions.

Hyper-connectée, engagée et créative, elle impose ses propres règles du jeu dans tous les domaines, de la communication à la consommation.

Pour les marques, les entreprises et les institutions, s’adapter à cette génération est un enjeu crucial pour rester attractif et pertinent.

La génération Z est une force de changement et d’innovation. En s’adaptant à ses codes et à ses attentes, les entreprises et les organisations peuvent non seulement rester attractives et pertinentes, mais aussi tirer parti de sa créativité et de son dynamisme pour construire un avenir meilleur.

1. Décrypter les codes et les usages :

La première étape consiste à comprendre les codes et les usages propres à la génération Z. Quels sont leurs réseaux sociaux préférés ? Comment consomment-ils l’information ? Quels sont leurs modes d’expression ? En menant une veille active et en s’immergeant dans leurs univers numériques, il est possible de décoder leurs attentes et de mieux les cerner.

2. Privilégier l’authenticité et la transparence :

La génération Z est sensible aux discours authentiques et transparents.

Fini le marketing de façade et les messages lisses, place à la sincérité et à l’engagement. Les marques qui assument leurs valeurs et s’engagent sur des causes concrètes ont plus de chances de gagner la confiance de cette génération.

3. Miser sur l’humour et l’autodérision :

La génération Z a le sens de l’humour et n’hésite pas à se moquer d’elle-même. Les marques qui savent utiliser l’humour et l’autodérision avec intelligence se démarquent et créent une connexion plus forte avec cette génération.

4. Favoriser l’interaction et la co-création :

La génération Z est habituée à interagir et à co-créer. Les marques qui leur donnent la possibilité de participer à leur développement, de donner leur avis et de partager leurs idées sont plus à même de les fidéliser.

5. S’adapter aux nouveaux modes de consommation :

La génération Z privilégie l’expérience à la possession et se tourne vers des modes de consommation plus responsables. Les marques qui proposent des produits et services durables, éthiques et personnalisés ont plus de chances de séduire cette génération.

En résumé, s’adapter à la génération Z ne signifie pas renier ses valeurs ou ses fondamentaux. Il s’agit plutôt d’être à l’écoute, de comprendre ses codes et de trouver des moyens de créer une connexion authentique et durable avec elle. C’est en surfant sur la vague Z que les marques et les organisations pourront construire leur avenir avec succès.

En bonus : quelques exemples d’entreprises qui selon moi, s’adaptent déjà aux codes de la génération Z :

  • Nike s’est associé à des influenceurs populaires pour créer des campagnes marketing engageantes.
  • Netflix propose des contenus personnalisés et interactifs pour répondre aux attentes de chaque utilisateur.
  • Lego encourage la co-création en permettant aux fans de créer et de partager leurs propres modèles dans leur plateforme Lego Ideas.
  • Barbie avec la campagne sur le plafond des rêves.

Et vous, comment votre marque compte séduire la nouvelle génération tout en restant fidèle aux valeurs qui ont séduit les précédentes ?