L’artisanat de Luxe : Comparatif des Leaders Mondiaux

🏆 L’Artisanat de Luxe : Qui sont les Champions du Monde de l’Excellence ?

Le secteur de l’artisanat de très haut de gamme constitue la colonne vertébrale de l’industrie du luxe. Il ne s’agit pas simplement de produire des objets, mais de créer des pièces rares, porteuses d’histoires, de traditions et d’un savoir-faire transmis de génération en génération.

Certaines nations se distinguent particulièrement dans cette course à l’excellence. Elles n’offrent pas seulement des produits, mais façonnent des standards mondiaux de qualité, d’esthétique et de désirabilité.


🇪🇺 L’Europe : Le Berceau Historique des Métiers d’Art

L’Europe occidentale domine historiquement les métiers d’art grâce à :

  • Une image de marque solidement établie
  • Des filières structurées
  • Des maisons centenaires capables d’allier tradition et innovation

🇫🇷 France : La Stratégie de l’Exclusivité

La France est la référence mondiale du luxe, soutenue par des groupes internationaux (LVMH, Kering, Chanel) et des maisons iconiques.

Domaines ClésExemples ConcretsForcesLeçon de Compétitivité
Maroquinerie, Haute Couture, JoaillerieHermès, Chanel, CartierMaîtrise de l’image, création de désir, excellence artisanaleContrôler la rareté et maîtriser la narration de marque

Exemple concret :
Hermès limite volontairement la production du sac Birkin. Les listes d’attente renforcent la perception de désirabilité. La valeur réside autant dans l’objet que dans l’image de la Maison.

Faiblesse : forte dépendance aux grands groupes et coût de main-d’œuvre élevé.


🇮🇹 Italie : La Virtuosité du Design et de la Matière

L’Italie excelle grâce à des districts industriels locaux spécialisés (Toscane, Vénétie, Lombardie).

Domaines ClésExemples ConcretsForcesLeçon de Compétitivité
Habillement, Chaussure de luxe, TextilesLoro Piana, Bottega Veneta, SantoniAgilité des PME, excellence du cuir, culture stylistiqueContrôler la chaîne matière → produit et innover rapidement

Exemple concret :
Loro Piana contrôle la filière laine de vigogne, de l’élevage aux finitions textiles, garantissant une qualité incomparable.

Faiblesse : fragmentation de l’offre, manque de visibilité pour de nombreux artisans sous-traitants.


🇨🇭 Suisse : La Maîtrise Technique Totale

La Suisse domine le très haut de gamme horloger grâce à une précision mécanique incomparable.

Domaines ClésExemples ConcretsForcesLeçon de Compétitivité
HorlogeriePatek Philippe, Audemars Piguet, Vacheron ConstantinInvestissements en micro-mécanique, finitions manuellesFaire de la technicité une barrière d’entrée très élevée

Exemple concret :
Le polissage manuel des platines et ponts (anglage) nécessite des dizaines d’heures de travail, créant une valeur non automatisable.

Faiblesse : coûts de production très élevés et dépendance à un seul secteur clé.


🇩🇪 Allemagne : Le Luxe Fonctionnel et Durable

Positionnée sur l’ingénierie, la performance et la robustesse.

Domaines ClésExemples ConcretsForcesLeçon de Compétitivité
Automobile et mécanique de précisionPorsche, LeicaFiabilité, durabilitéFaire de la performance la base de la valeur perçue

Faiblesse : faible présence dans les secteurs émotionnels (haute couture, maroquinerie).


🌏 Asie : Tradition Ancestrale et Nouveau Pouvoir de Marché

🇯🇵 Japon : Le Culte du Geste Parfait (Shokunin)

Domaines ClésExemples ConcretsForcesLeçon de Compétitivité
Coutellerie, Laque, TextilesCouteaux de Sakai, Laque de Wajima, Kimono NishijinPerfection du geste, temps longValoriser le temps et la virtuosité manuelle

Exemple concret :
Un maître coutelier peut consacrer 20 à 40 ans à la maîtrise d’une seule technique de forge.

Faiblesse : difficulté à transmettre les métiers traditionnels aux jeunes générations.


🇮🇳 Inde : Le Joyau de l’Art Ornemental

Domaines ClésExemples ConcretsForcesLeçon de Compétitivité
Broderie, JoaillerieBroderies Zari et Aari, orfèvrerie JaipurMain-d’œuvre hautement qualifiée et compétitiveDevenir un maillon indispensable de la chaîne de création

Exemple concret :
Les robes haute couture européennes utilisent fréquemment des broderies indiennes artisanales invisibles pour le grand public.

Faiblesse : traçabilité et normes sociales inégales selon les régions.


🇨🇳 Chine : Le Challenger de Demain

Domaines ClésExemples ConcretsForcesLeçon de Compétitivité
Joaillerie, Design, Mode émergenteQeelin, Shang XiaPuissance industrielle et demande locale croissanteConstruire une identité luxe nationale crédible

Faiblesse : image encore associée à la production de masse.


🎯 Conclusion : Les Clés Mondiales de la Compétitivité dans le Luxe

L’excellence artisanale ne repose pas sur le coût, mais sur la capacité à :

  1. Garantir la qualité extrême
    Suisse, Japon, Italie
  2. Maîtriser la rareté et le récit
    France
  3. Innover dans la forme et la matière
    Italie
  4. Posséder une spécialité unique non reproductible
    Suisse, Japon, Inde

Le succès naît de l’alliance entre :

  • un geste ancestral maîtrisé,
  • un récit de marque cohérent,
  • et une stratégie de rareté, d’émotion et de perfection.

Entre marque et franchise, mon coeur balance !

Je croise de nombreux talents qui souhaitent créer et innover mais tou.te.s ne rêvent pas d’être entrepreneur.

Risque financier personnel, risque de réputation, peur d’ « abimer » son nom ou son nom de famille en cas de faillite ou de liquidation ou encore de problème avec un client ou un fournisseur.

Pas facile de parler de soi ou risque de se « survendre » ou encore de paraître arrogant en utilisant son propre nom comme une marque pour se présenter sur un marché.

Pas forcément envie de réinventer la roue, ou de risquer de dépenser de l’argent en dépot de marque pour rien et que cela n’aboutisse pas.

Pas réellement envie de passer ses soirs, ses weekends et ses vacances à galérer avec la compta et le décompte TVA, à débugguer les mails ou la flemme de mettre à jour le site web.

Pas forcément en possession de l’apport financier nécessaire à la création d’entreprise ou à la protection de la propriété intellectuelle.

bref, j’en passe et des meilleures, chacun.e ses raisons et je les respecte.

La bonne nouvelle, c’est que l’innovation et la créativité ne sont pas exclusivement réservées aux entrepreneurs ou aux créatrices de sociétés.

Si l’on se penche sur la question des noms de marques et des franchises, de nouvelles perspectives de liberté, de décision, et de conquête de marché peuvent s’ouvrir aussi sous ces formes, peut-être moins connues.

Si la marque peut parfois couter cher, ne plus être disponible dans les classes ou les géographies qui nous intéressent, la franchise peut être une option pertinente pour se lancer. Il faut alors bien maîtriser les relations entre franchiseur et franchisé et comprendre les risques et les opportunités pour les deux parties.

Avantages de la franchise pour le franchisé ou la franchisé.e :

Réduction des risques:

  • Bénéficier d’un concept qui a déjà fait ses preuves.
  • Profiter de la notoriété et de l’image de marque du franchiseur.
  • Accéder à un savoir-faire et à des outils éprouvés.
  • Bénéficier d’une assistance technique et commerciale du franchiseur.

Meilleures chances de succès:

  • Taux de réussite plus élevé que pour les entreprises créées ex nihilo.
  • Accéder à un réseau de franchiseurs et de franchisés pour échanger et partager des expériences.
  • Bénéficier de formations et d’un accompagnement personnalisé.

Facilité de gestion:

  • Moins de démarches administratives à gérer.
  • Bénéficier des outils et des procédures du franchiseur.
  • Profiter d’une mutualisation des services (marketing, communication).

Financement:

  • Accéder à des conditions de financement plus avantageuses grâce au réseau du franchiseur.
  • Bénéficier de l’aide du franchiseur pour la recherche de financement.

Développement personnel:

  • Acquérir de nouvelles compétences et connaissances.
  • Développer son sens entrepreneurial.
  • Rejoindre une communauté d’entrepreneurs partageant les mêmes valeurs.

En résumé, être franchisé.e, c’est se donner la possibilité de développer un existant plutôt que de partir de zéro dans un modèle hazardeux, et cela peut avoir de grands avantages.

Certes, vous ne pourrez peut-être pas changer le logo ou la police de caractère, mais vous pouvez vous appuyer sur un existant qui vous convient.

Si vous avez envie de vous lancer dans le développement d’une franchise, ou simplement mieux comprendre les enjeux (nom, couleurs, classes, pays, coût, avantages, inconvénients…) nous pouvons en discuter.

Un simple message courriel suffit avec le titre « franchise » , adressé à Yves Zieba (yveszieba@ik.me). Nous pourrons explorer les différentes options ensemble, selon vos envies.

Maman, j’ai 3 PhD et 0 visibilité, qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cela ???

Ces dernières années, j’ai eu l’occasion et le plaisir de former de nombreux cadres supérieurs et C-Level Executives sur des sujets comme la stratégie de communication, le marketing digital ou la stratégie media et relation publique.

Dans mes cours, j’ai pu également accueillir des scientifiques, des chercheurs et des académiques, avec des connaissances de pointe dans des sujets précis, voire assez « niche », habitués aux applaudissements dans des grands colloques spécialisées entre pairs.

Dans tous les cas, une tendance forte émerge, lorsque ces personnes quittent l’institution qui les accueille (Centre de recherche, université, multinationale ou organisation internationale…), elles retrouvent une certaine liberté d’expression, ce qui les réjouit, et elles doivent surtout compter sur elles-mêmes pour gérer leur présence digitale, leur image, leur contenu et pour rayonner auprès d’une audience. Envolées les fonctions support, à qui on pouvait balancer nos Word et nos PowerPoint, et à qui on pouvait demander « pourquoi ce n’est pas encore publié ? ça fait quand même déjà 5 minutes que je te l’ai envoyé !!! » C’était quand même bien pratique d’avoir quelqu’un qui « s’occupait de la com » ! Maintenant, il convient de s’organiser pour exister, indépendamment de l’institution que nous venons de quitter. J’ose rarement un conseil en carrière, mais celui là me semble important, on ne sait jamais ce qui peut arriver à ce contrat de travail ou à l’entreprise qui m’emploie 😉 surtout par les temps qui courent.

Après avoir pu échanger avec ces différentes personnes sur leurs envies, leurs aspirations et leurs besoins, plusieurs tendances ont retenu mon attention, et j’ai voulu comprendre :

  • Pourquoi celles et ceux qui avaient objectivement produit le meilleur contenu jusqu’à présent, n’étaient pas celles et ceux qui avaient réussi à obtenir la meilleure visibilité ?
  • Est-ce parce qu’elles ne savent pas le partager ?
  • Est-ce une question de format ?
  • Comment font celles et ceux qui tirent leur épingle du jeu ?
  • Est-ce uniquement une question d’argent ou est-il possible d’améliorer sa visibilité sans se ruiner ?

Parmi les nombreuses anecdotes que l’on m’a confié, j’ai pu puiser quelques bonnes pratiques, que je recommande à mon tour à mes clients.

Un apprenant m’a par exemple indiqué avoir produit une vidéo avec plus de 300,000 vues pour une candidate à une élection (je lui ai demandé son secret…). Un autre avait arrêté de faire des vidéos par drône tellement c’était facile. Un troisième m’expliquait comment il avait choisi de racheter un restaurant, après s’être rendu compte que l’établissement était magnifique et que le propriétaire précédent ne faisait aucun marketing en ligne.

Plus exotique, un client devait détecter aujourd’hui de futurs champions masculins européens, susceptibles d’être de futures icônes pour une audience chinoise féminine, en amont des jeux olympiques.

Le nombre de cas est infini, et chaque personne a son cahier d’idées, de rêves et de projets. Ce que je trouve passionnant, c’est de pouvoir déterminer ensemble la bonne stratégie, le bon use case, les bons objectifs, les bons personas, les bons outils pour qu’ils puissent réaliser leur projet.

Ne pas confondre objectifs et canaux

Il n’est pas rare au début de nos ateliers que les questions posées soient sur les canaux. Facebook ou LinkedIN ? Faut-il être sur Instagram ? C’est vrai qu’il faut être sur YouTube ? J’ai une copine qui a trouvé ses clients sur TikTok, vous pensez que je devrai y aller aussi ?

Photo de Pixabay sur Pexels.com

Revenir aux fondammentaux pour mettre de l’ordre dans tout cela.

Il ne s’agit pas vraiment de savoir si tel ou tel canal est bon dans l’absolu, ou si on aime bien Twitter ou si on préfère Pinterest !!! Il s’agit plutôt de savoir qui est dans notre cible, sur quel canal cette cible se trouve, et passe son temps, et comment nous allons pouvoir l’atteindre avec nos messages. Le choix des outils, c’est certes important, mais cela découle de la stratégie et des objectifs (ce n’est donc pas par cela qu’on commence).

Tout est dans le contenu, non ?

C’est bien connu, le contenu est roi ! Cette perception est encore bien présente. Est-ce toujours vrai ? Effectivement, mieux vaut avoir un bon contenu qu’un mauvais. C’est une condition nécessaire pour exister. Sans contenu, on ne peut pas faire grand chose. Le contenu est donc utile et nécessaire, mais il n’est pas suffisant. Loin de là.

J’ai une mine d’or de contenu et tout le monde s’en fout 😦 !

Combien de fois, j’ai pu constater que des auteurs avec un contenu incroyable (des viviers de photos magnifiques et inédites, des rapports d’experts de 500 pages ou des présentations PowerPoint d’enfer, avec une double effet spirale 🙂 !!!) et tout cela pour… une audience proche de zéro (les bons jours) !!! Damn It !!!

Quand on pense que des YouTubers de gaming ont des millions de fans et que des jeunes Instagrameuses, qui testent un nouveau maquillage bleu ou un nouveau shampoing vert, se font rémunérer, et que personne n’a lu mes trois rapports de thèses, il y a de quoi enrager, non ? Quelle injustice flagrante !!!

Alors que faire pour devenir « visible » ?

En fouillant bien, nous avons toutes et tous dans nos archives du contenu de qualité. Il ne s’agit certainement pas de tout réutiliser, mais cela peut nous donner une bonne base, un bon premier vivier de photos, d’infographies, de textes. Nous pouvons aussi produire du contenu, tout frais, tout neuf. Pour ce que l’on produit, c’est bien de connaître les canaux que nous utiliserons, car le canal détermine le format. C’est surtout vrai pour les photos et les vidéos. Dans mes cours, j’explique quel format fonctionne le mieux pour les différents canaux. Je me rend compte fréquemment, ce sont aussi des barrières psychologiques qui nous freinent ou nous bloquent. « Parler face caméra, cela fait vraiment trop peur », « je n’aime pas mon image », croire que l’ « on n’y arrivera jamais à faire une vidéo » ou à créer un site, c’est un truc de geek, ou encore croire que l’ « on est nul en com » et que l’on sera toujours.

C’est trop chronophage

Vous êtes bien aimable avec tous vos gadgets, mais vous comprenez, nous avons des choses sérieuses à faire ici !!!!

Souvent, les auteurs préfèrent produire du contenu que de « perdre leur temps sur les réseaux sociaux ». C’est pas tout ça, mais on a d’autres choses plus importantes à faire. Admettons. Certes, c’est chronophage et on peut facilement y passer sa journée. Mais il faut savoir ce que l’on veut. Si on veut être présent et visible, cela ne se fait pas sans temps, ni sans effort. D’où l’importance de clarifier ses priorités et de faire des choix. Nous avons toutes et tous nos limites de compétences, on ne peut pas être bons sur tous les outils, et c’est utile de savoir à quel moment déléguer. Les jeunes générations sont très calées sur ces sujets et nous apprennent plein de choses.

De toute façon, à la fin, c’est toujours Google, Facebook et LinkedIN qui gagnent.

C’est souvent le premier réflexe quasi pavlovien. Est-ce le bon choix ? Cela dépend !!! Certes tout le monde y est, et c’est difficile de ne pas être là où tout le monde se trouve. Cela ne signifie pas nécessairement qu’il ne faut pas explorer d’autres alternatives, souvent moins concurrentielles et qui peuvent néanmoins rapporter gros.

Une bonne vidéo, cela compte autant que 75 sites web

Quoi ? C’est vrai !!!!? Quand je pense au temps que j’ai mis à créer mon site web… Bon, là aussi, dédramatisons des deux cotés. Faire une vidéo, ce n’est plus réservé à des experts spécialistes, tout le monde peut en faire avec son smartphone (de la captation à la publication en passant par le montage). Créer son site web, dans les hackathons, on le fait en 5 minutes avant la présentation. On peut créer un site sans coder, c’est devenu facile de mettre en valeur son contenu.

Tout se mesure, mais dois-je tout mesurer ?

Alors, lorsqu’on aborde les sujets des données et des Analytics, c’est souvent là que cela se gatte, et que certains décrochent. Donc posture formateur… ne mettons pas les personnes en situation d’échec !!!! Je peux comprendre que c’est un peu complexe (même si cela s’apprend très bien avec des vidéos de 5 minutes qu’on peut suivre dans le tram, le bus ou le train. Grâce au digital, on peut tout mesurer. C’est génial, c’est vertigineux, c’est fantastique. Oui, mais … c’est aussi un peu un piège, et je vois pas mal de personnes, qui se perdent dans les analytics (je forme essentiellement sur Google Marketing Platform, sur Mailchimp et Hubspot). Le fait de pouvoir tout mesurer, c’est grisant, mais si on ne sait pas ce qu’on cherche à atteindre comme objectif, c’est un peu comme partir en vacances sans savoir où aller.

Et l’éthique dans tout cela ?

Au moment de choisir vos canaux, vous allez être confronté à quelques dilemnes cornéliens.

Il y a bien sûr les outils que vous connaissez et maîtrisez, (souvent ceux de l’organisation dans laquelle vous avez passé beaucoup de temps) et il y a les nouveaux outils qui émergent et qu’il faut apprendre. Ce sont sans doute ceux que vos futurs employeurs, clients ou partenaires vont avoir adopter. Donc, il y a fatalement besoin de former un minimum.

Autre bonne nouvelle, les algorythmes changent constamment. Je savais que vous alliez l’aimer celle là… donc non seulement il faut apprendre comment les algorythmes de Facebook, Google et consors fonctionnent, mais en plus, cela fonctionnera différemment dans disons, quelques mois. Alors heureux !!! 🙂

Il y a des agences publicitaires peu scrupuleuses (qui commencent par F et finissent par K.) et il y a des plateformes beaucoup plus sensibles à la protection des données privées. Sur certaines plateformes, on peut légitimement se demander si nous sommes le client ou le produit. Pour vous faire un avis éclairé, je vous recommande Social Dilemna sur Netflix et cet article qui le présente. Et un petit conseil qui ne mange pas de pain, et que personne ne fait, c’est quand même bien de lire les conditions générales d’utilisation. Je sais, c’est super ennuyeux, mais c’est quand même là dessus que presque tout se joue.

Opportunité de visibilité ou complicité de capitalisme de surveillance ?

Entre les deux, mon coeur balance !!! Celui des personnes que je coache aussi. Il y a probablement autant de profils de directrice ou de directeur marketing que de personnalités. Certains font favoriser le « call to action » très direct, avec des boutons « Buy now » un peu partout. En gros, les 3 options qui se présentent pour le visiteur, sont « Achète maintenant », « Achète tout de suite » ou « pourquoi tu n’as pas encore acheté, c’est quoi ton problème?! ». On peut saluer l’efficacité transactionnelle de l’approche. Parfois, c’est approprié. Parfois moins.

D’autres vont vous proposer douze étapes de sensibilisation avant de vous proposer quinze étapes éducatives à vocation d’infléchir votre position légèrement, avant de ne plus savoir quel était déjà le « call to action » dont on avait parlé le mois dernier. Difficile de se positionner dans l’absolu. Disons que le juste milieu est celui qui convertit, qui atteint l’objectif et minimise le taux de d’abandon, tout en rendant le client satisfait de son expérience. N’oublions pas nos objectifs et notre pipeline d’opportunités, c’est quand même un peu pour cela qu’on fait tout cela !!! Facile à dire, moins évident à mettre en place. Disons que c’est important de ne pas oublier l’UX, les tests, le design d’interaction, la voix, le podcast et le SEO !!! Je dis cela, je dis rien, C’est juste comme cela au cas où vous seriez tenté de faire l’impasse 😉

Varions les plaisirs, tous les plaisirs !

En terme de production (ou de curation) de contenu, c’est un peu comme pour la gastronomie, les fromages et les vins, j’aime bien la variété. Dans mes medias training, je propose de s’essayer à plusieurs formats: les discours, les interviews, les panels, les micro-trottoirs, les reels, les live 360, les stories, …. En fait, c’est aussi en variant les exercices, que l’on progresse et que l’on trouve des façons différentes de faire passer des messages. C’est aussi une façon de toucher de plusieurs façons différentes une audience. Il parait qu’un message doit être perçu 7 fois avant de déclencher une action (de type achat, engagement). Cela vous donne une bonne indication. Penser qu’en un post, en un tweet, en une story ou un reel, on va changer le comportement des foules, c’est un peu illusoire, cela va prendre du temps.

C’est bien gentil, mais avec tout cela, je ne sais toujours pas quel outil adopter !!!

Au risque de vous décevoir, je ne vais pas vous faire de recommendations d’outils, mais plutôt partager avec vous un document qui fait référence et qui, à mon sens, vous permettra de vous faire votre propre idée sur les 3 ou les 5 canaux qui sont les meilleurs pour vous ou pour votre marque. Vous pouvez ainsi vous familiariser avec les tendances 2021 sur les médias.

Bon alors, on commence quand pour vous donner la visibilité que vous méritez ?

Je vous entends déjà me dire, « j’ai un autre problème, je n’ai que deux PHD et demi, et je n’ai pas encore fini le troisième, est-ce que vous pouvez quand même m’aider pour ma visibilité ? Rassurez-vous, personne n’est parfait !!! Vous vous occupez de finir votre 3ème Phd, et je vous donne un coup de main pour votre visibilité. Deal ?

Voici le lien pour en discuter !!! (Maintenant, tout de suite ou éventuellement sans attendre ;-)))) : https://meetings.hubspot.com/yves-zieba/15-min