L’époque de la carrière linéaire, où l’on entrait dans une entreprise pour y rester jusqu’à la retraite, est bel et bien révolue.
Aujourd’hui, le parcours professionnel est une succession de chapitres, de virages et parfois de sauts dans l’inconnu.
Que ce soit par choix (désir de renouveau, ambition) ou par nécessité (restructuration, plafond de verre), la mobilité professionnelle est devenue une compétence à part entière.
Mais comment naviguer efficacement entre les opportunités internes et le marché externe ?
Comment s’assurer que le prochain mouvement sera le bon ?
Explorons ensemble les cycles de vie professionnels et les outils indispensables — tests, bilans et coaching — pour transformer une transition en tremplin.
Comprendre les cycles de vie de l’employé
Avant d’envisager un mouvement, il est crucial de comprendre où l’on se situe. Tout comme un produit, un collaborateur traverse différents cycles au sein d’une organisation ou d’un poste.
On distingue généralement quatre phases :
L’Intégration (Onboarding) : La phase d’apprentissage et de découverte.
L’Engagement (Croissance) : La performance augmente, la motivation est à son comble.
La Maîtrise (Maturité) : L’employé est expert, mais la courbe d’apprentissage s’aplatit. C’est le moment charnière.
Le Désengagement (Déclin) ou le Renouveau : Sans nouveau défi, la motivation chute. C’est ici que la mobilité doit intervenir.
Reconnaître que l’on a atteint la phase de « Maturité » ou de « Désengagement » est le premier pas vers une transition réussie.
Mobilité Interne vs Mobilité Externe : Deux stratégies, un objectif
Lorsque le besoin de changement se fait sentir, deux routes s’offrent à vous.
La mobilité interne : La sécurité du changement
C’est l’art de se réinventer sans changer de maison. Elle permet de conserver son réseau, sa culture d’entreprise et son ancienneté tout en changeant de métier (mobilité fonctionnelle) ou de lieu (mobilité géographique).
Avantage : Risque limité et valorisation de la fidélité.
Défi : Réussir à changer l’étiquette que les collègues vous ont collée au fil des années.
La mobilité externe : Le saut vers l’inconnu
C’est le départ vers une autre entreprise, voire l’entrepreneuriat. C’est souvent la seule option pour faire un bond salarial significatif ou changer radicalement de secteur.
Avantage : Renouveau total et acquisition de nouvelles perspectives.
Défi : La perte des repères et la nécessité de refaire ses preuves.
Le processus de transition : préparer son rebond
Une transition professionnelle ne s’improvise pas sur un coup de tête. Pour qu’elle soit réussie, elle doit être structurée autour de trois piliers fondamentaux : l’introspection, l’évaluation et l’action.
C’est ici que les outils d’accompagnement RH prennent tout leur sens. Il ne s’agit pas seulement de « chercher un emploi », mais de « définir un projet ».
1. Le bilan de compétences : La boussole
C’est la pierre angulaire de la transition. Le bilan de compétences permet de faire un inventaire exhaustif, non seulement de vos savoir-faire techniques (Hard Skills), mais aussi de vos motivations profondes.
À quoi ça sert ? À identifier les compétences transférables d’un poste à l’autre et à valider le réalisme d’un projet.
2. Les tests de personnalité : mieux se connaître pour mieux choisir
Pourquoi avez-vous échoué dans votre dernier poste ou pourquoi vous y ennuyiez-vous ?
Souvent, ce n’est pas une question de compétence, mais de tempérament et d’adéquation avec l’environnement. L’utilisation d’outils psychométriques (comme le MBTI, le PAPI, ou Process Com) permet de mettre en lumière :
Votre style de communication.
Vos leviers de motivation intrinsèque.
Votre gestion du stress.
Comprendre sa personnalité permet d’éviter les erreurs de casting et de cibler des environnements de travail où vous pourrez vous épanouir naturellement.
3. Le coaching professionnel : L’accélérateur
Si le bilan de compétences est la carte et les tests sont le véhicule, le coach est le copilote.
Le coaching de transition (ou outplacement dans le cadre d’un départ contraint) est essentiel pour :
Lever les freins psychologiques : Peur de l’échec, syndrome de l’imposteur.
Travailler la posture : Apprendre à se vendre, à « pitcher » son histoire et son parcours.
Maintenir la dynamique : Une recherche d’emploi ou une reconversion est un marathon, le coach aide à garder le rythme.
Conclusion : acteur de sa propre employabilité
Que vous visiez une promotion interne ou une aventure à l’extérieur, rappelez-vous que la mobilité est une opportunité de croissance.
En vous appuyant sur des outils solides comme le bilan de compétences et les tests de personnalité, et en vous faisant accompagner par un coach, vous ne vous contentez pas de changer de travail : vous construisez une carrière durable et alignée avec qui vous êtes.
Le prochain chapitre de votre vie professionnelle est une page blanche.
🇨🇭 Créer son entreprise en Suisse après la perte d’emploi dans une Organisation Internationale : une voie vers le maintien de son statut
La perte d’un poste au sein d’une Organisation Internationale (OI) en Suisse est un moment charnière. Au-delà du défi professionnel, le personnel non affilié aux assurances chômage suisses et titulaire d’une carte de légitimation du DFAE (Département fédéral des affaires étrangères) se retrouve face à une urgence administrative : la potentielle perte du droit de séjour.
Cette urgence administrative est souvent incompatible avec un retour à l’emploi dans des conditions comparables à leurs postes au sein des organisations internationales, surtout dans le cycle économique actuel particulièrement difficile.
La création d’une entreprise ou l’exercice d’une activité indépendante peut alors devenir une stratégie vitale pour obtenir un titre de séjour relevant du droit des étrangers (LEI) et continuer à vivre en Suisse.
Le Défi : Mutation du statut particulier au droit commun
Le personnel des OI bénéficie d’un statut particulier, avec une carte de légitimation qui tient lieu d’autorisation de séjour.
La cessation d’emploi entraîne l’obligation de restituer cette carte et, sauf exceptions (comme la retraite ou le fait de récupérer une autorisation détenue avant l’OI), de quitter le territoire ou de solliciter une nouvelle autorisation de séjour conformément à la Loi fédérale sur les étrangers et l’intégration (LEI).
Pour les ressortissants de pays tiers (hors UE/AELE), le passage à une activité lucrative en Suisse, qu’elle soit salariée ou indépendante, est soumis à des conditions strictes et à l’obtention d’un permis de séjour.
💡 L’Option de l’Indépendance : Un Plan de Sauvegarde, le plan B qui devient le plan A.
Pour les anciens employés d’OI souhaitant rester, la création d’une entreprise individuelle (raison individuelle) ou d’une société (SARL, SA) en Suisse est l’une des voies possibles pour obtenir un permis de séjour lié à une activité lucrative. Surtout lorsque les entreprises reconnaissent des cycles de recrutement qui peuvent aller jusque 6 mois…
1. L’Examen de l’Intérêt Économique (Non-UE/AELE)
C’est l’étape la plus critique.
Pour un ressortissant de pays tiers, l’autorisation d’exercer une activité indépendante est soumise à l’examen de l’intérêt économique pour la Suisse (ou pour le canton concerné, comme Genève ou Vaud).
Démonstration de la valeur ajoutée : Il ne suffit pas de créer une entreprise ; il faut prouver qu’elle apporte un bénéfice mesurable à l’économie locale.
Cela peut être démontré par :
L’innovation du projet.
La création potentielle d’emplois pour des Suisses ou des résidents.
Un investissement conséquent.
Un marché viable et des perspectives de croissance concrètes.
Viabilité financière : L’entrepreneur doit pouvoir démontrer des ressources financières suffisantes pour le lancement et l’exploitation durable de son activité, ainsi que pour subvenir à ses propres besoins sans recourir à l’aide sociale.
2. La procédure de changement de statut
Les démarches sont cruciales et doivent être entamées rapidement après la perte d’emploi, avant l’expiration du délai accordé pour la restitution de la carte de légitimation.
Demande d’Autorisation de Séjour : Il faut déposer une demande auprès de l’autorité cantonale des migrations et de l’emploi (OCPM à Genève, SPOP dans le canton de Vaud) pour obtenir une autorisation de séjour avec activité lucrative indépendante.
Le Dossier de Demande : Le dossier doit être complet et convaincant. Il inclut généralement :
Un Business Plan détaillé (stratégie, marché, prévisions financières).
La preuve des qualifications professionnelles (diplômes, licences).
La preuve du financement de l’entreprise.
Les formulaires de demande de permis.
📝 Conseil : L’anticipation est essentielle. Dès la notification de la fin de contrat, il est impératif de se faire conseiller par un avocat spécialisé en droit des étrangers et par un expert en création d’entreprise.
🔑 Points clés pour un succès durable
Le maintien du permis de séjour est subordonné à la viabilité continue de l’activité indépendante.
Le Maintien de la Conformité : L’entreprise doit se conformer à toutes les obligations légales, fiscales et sociales suisses. L’inscription à l’AVS/AI/APG en tant qu’indépendant est obligatoire.
Preuve de Revenu : L’activité doit générer des revenus suffisants pour éviter la dépendance à l’aide sociale, condition essentielle au renouvellement du titre de séjour.
La création d’une entreprise offre une opportunité de reconversion professionnelle tout en assurant une transition légale de statut en Suisse. C’est une démarche complexe qui exige de la rigueur, une vision entrepreneuriale claire, et un dossier juridique solide pour convaincre les autorités migratoires de l’intérêt de la présence de l’ancien fonctionnaire international sur le territoire.
1. Rendre le business plan agile : Clé de la Réussite Entrepreneuriale
Dans un environnement caractérisé par la volatilité, l’incertitude, la complexité et l’ambiguïté (monde « VUCA »), Yves Zieba soutient que le Business Plan (BP) traditionnel n’est pas mort, mais qu’il doit impérativement se transformer pour devenir un outil de stratégie adaptative.
Approche Traditionnelle (Statique)
Approche Agile (Recommandée)
Document rigide de 50 pages rédigé une seule fois.
Document synthétique (10-20 pages) et évolutif.
Basé sur des prévisions linéaires et des chiffres théoriques à 3 ou 5 ans.
Basé sur des hypothèses testables et des scénarios (optimiste, réaliste, pessimiste).
Met l’accent sur le détail formel.
Privilégie le pragmatisme et la preuve terrain (tests rapides).
Selon M. Yves Zieba, l’exercice de planification du BP reste fondamental pour l’entrepreneur, car il agit comme :
Un outil de réflexion stratégique interne : Il oblige à clarifier la vision, définir le modèle économique (souvent via le Business Model Canvas) et défier les hypothèses clés (marché, clients, concurrence).
Une boussole essentielle : Il permet de guider l’entreprise vers l’agilité et la résilience, à condition d’être constamment mis à jour et confronté à la réalité du terrain.
La finalité n’est plus la prédiction, mais la préparation.
2. Outils et méthodes pour réussir cette transition
Cet article phare s’adresse aux professionnels aguerris, notamment ceux basés à Genève, qui se retrouvent en transition de carrière après avoir quitté des organisations internationales (telles que l’ONU, l’OMS, l’UNICEF) suite à des coupes budgétaires ou des changements de priorité.
Le constat : Le départ de ces organisations n’est pas seulement une perte d’emploi, mais une remise en question de l’identité professionnelle et un passage de la structure institutionnelle à l’incertitude du marché.
L’approche d’Yves Zieba :
Humaniser la transition : illustrer comment ces professionnels peuvent transformer leur expertise globale en opportunités locales (consulting, entrepreneuriat, ONG) en traduisant leurs compétences dans un langage connu par les recruteurs et par les investisseurs.
Les outils de transition : Il insiste sur la nécessité de :
Adopter un état d’esprit agile orienté sur les résultats et la performance du secteur privé suisse.
Développer un elevator pitch clair et commercial pour synthétiser leur proposition de valeur.
Construire un réseau flexible pour s’intégrer dans la communauté locale.
En bref, l’expertise d’Yves Zieba en création d’entreprise en Suisse combine une approche stratégique moderne (l’agilité) avec une connaissance précise du tissu économique et professionnel genevois et un large réseau local.
Yves Zieba se positionne comme un expert reconnu dans l’accompagnement à la création d’entreprise et au développement stratégique, en particulier en Suisse (Genève).
Une expertise multidisciplinaire pour l’entrepreneuriat
Yves Zieba est un chef d’entreprise, business coach et conférencier qui a fait de l’entrepreneuriat, de la stratégie agile et de l’innovation ses domaines de prédilection.
Entrepreneur en Suisse : Il a créé notamment SYNTEZIA Sàrl à Genève en 2022 et exerce également sous forme de raison individuelle (Yves Zieba) depuis 2016, avec pour objectif l’accompagnement dans les domaines de la création d’entreprise et du coaching.
Historique de carrière : Après plus de 13 ans d’expérience au sein de grands groupes, notamment pour Reuters (puis Thomson Reuters) en tant que Global Program Manager, Sales Efficiency, il est devenu entrepreneur indépendant.
Accompagnement ciblé : Son expertise couvre le coaching individuel pour transformer une vision en réalité entrepreneuriale, l’aide à la clarification de la vision, la structuration de la démarche et le développement du leadership. Il met l’accent sur l’importance de rendre le Business Plan Agile.
Focus sur la Transition : Ses publications abordent des sujets spécifiques comme les « Transition Tools for Geneva’s Displaced International Workers » (Outils de Transition pour les Travailleurs Internationaux déplacés de Genève), soulignant sa connaissance des problématiques de reconversion professionnelle dans le contexte genevois.
Ses Domaines d’Intervention
En tant qu’expert en création d’entreprise, il propose des services de conseil et de coaching basés sur :
La stratégie agile et le management de l’innovation.
Le Design Thinking comme levier d’innovation.
L’intégration de l’intelligence artificielle pour les PME.
Le développement commercial et la gestion de carrière pour accompagner les créateurs dans leur parcours.
L’investment readiness pour démontrer aux investisseurs que l’entreprise sera viable, rentable et performante dans toutes les dimensions.
Il intervient également en tant que conférencier et formateur sur ces sujets, notamment auprès de programmes universitaires (HEG, Université de Genève, EPFL Innovation Park).
En résumé, Yves Zieba est un conseiller de confiance et un coach d’affaires basé à Genève, dont l’expérience et les services sont clairement orientés vers l’aide aux individus et aux organisations souhaitant concrétiser et développer un projet entrepreneurial en Suisse.
🚀 Quand le Plan B Dépasse le Plan A : De la Recherche d’Emploi à l’Entrepreneuriat
Nous avons tous été là.
Nous élaborons un Plan A, méticuleux, sécurisant, qui représente la voie la plus logique vers le succès.
Le Plan B est souvent l’option de secours, la roue de secours que l’on espère ne jamais avoir à utiliser. Mais que se passe-t-il lorsque ce Plan B, initialement envisagé comme un simple filet de sécurité, se révèle être, non seulement la meilleure option, mais le véritable moteur de votre succès ?
L’histoire de la transition d’une recherche d’emploi à temps plein vers la création d’entreprise illustre parfaitement ce phénomène.
💼 Le Plan A Classique : Le Salariat Sécurisé
Pendant longtemps, le Plan A pour beaucoup de jeunes diplômés ou de professionnels en reconversion est resté le même : décrocher un emploi à temps plein dans une entreprise stable, avec un salaire régulier, des avantages sociaux et une évolution de carrière tracée.
Ce Plan A est séduisant par sa sécurité et sa prévisibilité. Il correspond à un modèle bien établi où le succès se mesure par le titre, l’ancienneté et la fiche de paie. On se lance alors dans le marathon des candidatures, des entretiens, des espoirs et des déceptions, en concentrant toute son énergie sur cet objectif unique.
💡 Le Plan B : L’Étincelle de l’Entrepreneuriat
Face à la difficulté de trouver le « job idéal », ou face à l’incertitude de vouloir retourner dans la « corporate life », au chômage prolongé, ou simplement au désir de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, on esquisse un Plan B : créer sa propre entreprise, lancer un projet parallèle, ou se mettre à son compte.
Au départ, ce Plan B est souvent perçu comme un pis-aller, une occupation en attendant que le Plan A se concrétise.
Il est mené avec prudence, avec peu d’investissement initial, et souvent beaucoup de doutes.
C’est l’idée de faire de petites missions en freelance, de tester un concept de produit, ou de monétiser une passion.
🔄 Le Basculement : Quand le plan B prend le dessus
Le moment où le Plan B devient le Plan A est un véritable point de bascule.
La Frustration du Plan A : Le marché de l’emploi peut être rigide, les opportunités rares ou peu satisfaisantes. Les rejets successifs ou le manque d’alignement avec les postes proposés peuvent engendrer une frustration qui pousse à se réinvestir ailleurs.
La Validation du Plan B : À force d’y consacrer du temps « en attendant », le projet entrepreneurial commence à prendre forme. Les premiers clients arrivent, les premières ventes sont réalisées, et, surtout, on reçoit un retour positif et direct du marché. Cette validation externe est incroyablement motivante.
Le Plaisir et la Liberté : Contrairement à la recherche d’emploi qui est souvent perçue comme une contrainte, la construction de son entreprise est intrinsèquement liée à la passion et au sens. La liberté de choisir ses projets, ses horaires, et d’être l’unique maître à bord devient un facteur d’épanouissement personnel bien plus fort que la sécurité perçue du salariat.
🏆 Le Plan B Devient Plan A : Une Nouvelle Définition du Succès
Lorsque le revenu du projet entrepreneurial dépasse les attentes, lorsque la passion se transforme en véritable vocation, et que l’on réalise que l’on n’a plus envie de revenir au Plan A, le basculement est total.
Le Plan B, jadis modeste, est désormais doté d’une vision claire et d’une ambition décuplée. Il est passé de « une source de revenu temporaire » à « mon chemin de carrière ».
Le Succès n’est plus la Sécurité, mais l’Autonomie : L’entrepreneuriat révèle qu’une sécurité construite par soi-même (une base de clients fidèles, une marque forte) peut être plus solide et plus satisfaisante que celle déléguée à un employeur.
L’Échec est une Leçon, pas une Fin : Les échecs et les pivots, inhérents à la création d’entreprise, deviennent des expériences d’apprentissage cruciales, là où l’échec dans la recherche d’emploi peut être démoralisant.
Conclusion : Oser Voir au-Delà de la Sécurité
L’histoire du Plan B qui devient Plan A est un puissant rappel : les chemins les moins conventionnels sont souvent les plus enrichissants.
Si votre Plan A ne fonctionne pas, ne voyez pas votre Plan B comme un échec, mais comme une opportunité de réévaluer vos priorités et de puiser dans votre créativité. Le marché du travail change, et l’économie moderne valorise de plus en plus l’initiative et la capacité à créer sa propre valeur. Parfois, la meilleure porte à ouvrir est celle que vous construisez vous-même.
Et vous, quel Plan B cache le Plan A de votre futur succès ?
Envie de parler de plaisir, de liberté, de vos passions et de ce qui a du sens ?